Mondanité

importe donc bien dans le roman et ses enjeux. 2/ L’HÔTE QUI FAVORISE INVOLONTAIREMENT LES LIAISONS DANGEREUSES du roman : a) elle domine à sa façon l’un des deux espaces dominants du roman : le château, la Campagne assez loin de Paris et de sa mondanité. Lieu de répétitions et de tranquillité. Lieu qu’elle appelle aussi cercle (CXII) où l’on s’ennuie assez vite et où les désirs feints ou sincères se dévoilent. Monde certes ouvert sur la nature mais clos tout de même. La grande proximité crée des

Sainte Colombe a perdu sa femme et cherche dans son art un moyen de la retrouver. Mais le jeune homme, dépité d’avoir été chassé de la Cour, voit dans cet instrument une forme de revanche ; il cherche à satisfaire une ambition. Son penchant pour les mondanités se confirme par la suite avec le costume blanc de courtisan et le goût pour les rubans. Loin de concevoir une revanche sur l’existence, Sainte Colombe cherche une consolation, l’apaisement d’une blessure qui n’est jamais dite. Sa conception de la

un jeune prix de Rome, Garnier l'emporte sur Viollet-le-Duc qui avait conçu une architecture moins monumentale le plan de Garnier réponds aux buts du concours Foyer, escaliers, buffets, accès, salle, scène, administration la « cathédrale de la mondanité » foyer et escalier occupent plus de place que la salle les femmes se promènent désormais dans l'opéra façade : loggia (espace en retrait de façade) à arcades, double ordres de colonnes de marbre de couleur, inspiré de la Liberia de Venise (XVIè)

contente de sa journée, elle avait eu bien raison de faire ce geste, d'assister au mariage d'une gentille employée » (page 115) – il reflète leur égoïsme : « cela va aussi mal que d'habitude, rien à signaler » (page 81) – il reflète leur envie de mondanités et de correction : « trembler comme des sottes » (page 43), « grandes sottes » (page 43), « le repas fut excellent, succulent, abondant » (page 114) – il reflète leur futilité, leur bêtise : M'man Donzert tout excitée : on mangeait dehors (page

avec la gestion — dans ses couvents — de l'immatériel même. On est étonné, à lire son Livre de la vie, des luttes quotidiennes que la sainte d'Avila dût pourtant mener contre elle-même, de ses constantes tentations des années durant. Fringale de mondanités et de futilités d'une religieuse qui se savait belle ? Même douée pour les vertiges où peut mener la pratique assidue de la prière — la fameuse « oraison » —, Thérèse restait éloignée de Dieu. Il lui fallut l'image d'un Christ « tout couvert de

éducation libertine pour rejeter l’éducation sotte des jeunes filles de l’époque. Elle possédait déjà jeune fille une grande intelligence pour pénétrer les secrets qu'on cherchait à lui dissimuler et pour comprendre toutes les hypocrisies de la mondanité, de la vie aristocratique. C’est une femme stratège, qui est exigeante envers elle-même et s’inflige volontairement des douleurs pour apprendre la dissimulation de ses sentiments et de ses pensées. Elle déteste l'amour car cela permet aux hommes

l’époque du baroque, les poètes lyriques se raréfient à partir de 1640. La figure du poète se trouve alors relativisée, sinon dénigrée, Malherbe lui-même va jusqu’à écrire “qu’un bon poète n’est pas plus utile à l’État qu’un bon joueur de quilles”. Mondanité et préciosité ne suffisent pas à donner un sens au “commerce des muses”. Le lyrisme trouve alors à se loger hors de la poésie: il n’est absent ni des Oraisons funèbres (1667-1687) de Bossuet ni des tragédies de Corneille, où il anime les stances

sous les pommiers, et elle se revit elle-même, comme autrefois, écrémant avec son doigt les terrines de lait dans la laiterie. », La fenêtre devient l’outil d’irruption dans le passé. Les souvenirs de son enfance refont surface et s’oppose à la mondanité du bal. Le monde extérieur lui rappel son enfance de campagnarde mais ces souvenirs s’effacent devant le luxe et le passé devient une sorte d’ombre. La fenêtre lui permet donc de rêvé et de fuir la réalité. Plus loin, toujours dans l’épisode du bal

perverti l’humanité et a dénaturé sa vertu naturelle. Le nouveau philosophe va plus loin : il ne suffit pas d’écrire, il faut mettre sa vie en accord avec les théories qu’il défend. Ce qu’il appelle sa « réforme morale » est radicale : il quitte les mondanités parisiennes. Malgré le triomphe de son opéra Le Devin du village (1752), il rentre quelques mois à Genève où il abjure le catholicisme. En 1755, son Discours sur l’inégalité l’éloigne de plus en plus de ses amis parisiens : les encyclopédistes,

retrouve ce qu’elle a perdu et arrive à s’assumer financièrement en ouvrant une boutique de décoration, qui décolleras avec l’aide de son amie danseuse Niquette. Elle vivra une relation passionnée avec Niquette, qui lui ouvrira les portes de la mondanité, de la sexualité, mais aussi de la drogue. Monique est opiumane, bisexuelle et se moque bien des convenances. Mais peu à peu, Monique se lasse de son existence libertine, elle fait alors la rencontre de Régis BOISSELOT. Leur relation est dans un