Mondialisation Et Repli Identitaire

ou d’isolement. Son histoire, lointaine ou récente et qui ne fut pas un long fleuve tranquille, a été marquée par des périodes diverses d’expansion et de faiblesse, d’ouverture et de repli, mais aussi par des mouvements humains, culturels et matériels qui ont façonné le peuplement du pays et forgé son socle identitaire. Sans s’appesantir sur l’histoire lointaine du pays, il importe de retenir, de prime abord, que la nation et l’Etat au Maroc ne sont pas une pure création post-coloniale. L’Etatnation

Derrière la culture un bien culturel et à qui cela s’adresse ? 1 Médias et culture populaire On assiste à des phénomènes culturels très impressionnant par leurs nombres et par le poids que ce phénomène occupe dans la société. Ici, on associe mondialisation et culture populaire. Si on prend la saga Harry Potter, c’est évidemment plus qu’une culture populaire, c’est un phénomène culturel mondialisé. En 2008, 400 millions d’exemplaires vendus de la saga Harry Potter, traduit dans 70 langues, relégué

de la société civile. Mobiliser l’imaginaire collectif Refonder les politiques culturelles territoriales supposera un tout autre point de vue sur la production de savoirs sociaux et leurs articulations. Les processus de repli sur soi, de peurs sociales et de crispations identitaires des groupes sociaux, socioprofessionnels et politiques constituent le nœud de blocage d’une pourtant nécessaire « expansion » démocratique. Le travail collectif de ces crispations ou des motifs d’exclusion devient un objectif

Séquence 4 Les dynamiques de la mondialisation Sommaire 1. La mondialisation en fonctionnement 2. Les territoires dans la mondialisation 3. La mondialisation en débat Glossaire Séquence 4 – HG00 1 © Cned – Académie en ligne Gé o g r ap hie 1 La mondialisation en fonctionnement Avant de commencer la séquence sur la mondialisation, il faut faire attention à la définition que l’on va utiliser. En effet ce terme de mondialisation est aujourd’hui utilisé par de nombreuses personnes

des parures et des voitures, de l’argent ostentatoire, acquis vite, dépensé vite ou investi dans le pays d’origine pour y recueillir, là-bas, le sentiment de compter aux yeux des autres.(3) Le troisième moment, celui du voile, de l’affirmation identitaire par la religion, enchaîne sur l’assimilation croissante de l’immigration à la délinquance et tente d’y apporter un remède qui fasse écho, en même temps, au sentiment de rejet qui s’est accru en proportion de cette image de l’immigré source d’immoralité

dominante (son leadership) et dés lors est moins à même d’assurer la protection à l’individu. Si on l’observe à très grand traits, on se rend compte que l’état semble perdre de plus en plus de pouvoirs en raison d’un point de vue économique et de la mondialisation. L’état n’est plus un acteur fondamental dans l’économie, son rôle s’affaiblit. Même si les politiciens font beaucoup de déclarations, on voit qu’ils n’ont pas beaucoup d’emprises sur le phénomène économique. L’état n’est plus nécessairement à

dans ce paradoxe. Les sources de ces représentations cartographiques sont systématiquement mentionnées. Tous les types de cartes sont proposés : cartes descriptives, cartes analytiques, cartogrammes par anamorphose. BIBLIOGRAPHIE • Atlas de la mondialisation ; comprendre l’espace mondial contemporain, Presses de Sciences Po, 6e édition, 2013. • FOUCHER M., La bataille des cartes : analyse critique des visions du monde, François Bourin Éditeur, 2011. • L’Atlas des atlas, le monde vu d’ailleurs, Courrier

seulement visible sur le terrain ; elle tient aussi une place importante sur la scène politique mondiale au sein d’organisations internationales. 2. Une place de choix dans les organisations internationales Loin de la tentation de se replier derrière ses frontières, la France a la volonté de jouer un rôle important dans les affaires du monde. Par son histoire, ses valeurs universelles, elle est omniprésente dans les débats et ne se prive jamais d’exprimer sa vision. Avec la montée en

Ellipses, 1997.). Contraints de gagner en efficacité, les acteurs des établissement culturels se sont inspirés des méthodes managériales imaginées et expérimentées dans les entreprises confrontées à la crise, à l'accélération du temps, à la mondialisation de la compétition. Le recours aux méthodes de projet en l'honneur dans de nombreuses organisations culturelles, tant pour exposer les demandes de subventions que pour piloter les réalisations, procède de cette nouvelle dynamique, son emploi dans

d’un communautarisme ethnique ou religieux. Certains y ont décelé les limites du modèle républicain, d’autre ont fait la relation avec l’abandon des valeurs de la République dans une société devenue « libérale à l’américaine ». Tandis que la mondialisation accompagnait l’expansion de la puissance américaine et de son modèle de société, il devenait facile de donner libre court aux diatribes contre le modèle républicain. Aujourd’hui, la défense acharnée de la laïcité et l’invocation du péril « communautaire »