Mondialisation Street Art

DM de géographie : composition La mondialisation est un phénomène géo historique ancien, qui se caractérise par un triple processus. Il s’agit d’abord d’un processus de diffusion du capitalisme dans le monde. Jusqu’à aujourd’hui, on peut compter trois mondialisations : la première s’étend du XVème siècle au XVIIème siècle -époques Grandes Découvertes- et se caractérise par le capitalisme marchand. La seconde mondialisation, quant à elle, a lieu au XIXème où elle apparaît sous la forme d’un capitalisme

Sujet : Mondialisation et littoralisation Quelques conseils pour bien démarrer : Attention aux termes du sujet : Ici dès la première question, le candidat doit définir deux termes du sujet. Dans un sujet vaste à l’échelle de la planète il faut être très précis sur les termes que le candidat va employer. Le ET du sujet est bien sûr primordial. Il ne faut donc pas faire un devoir sur la mondialisation, ni d’ailleurs sur la littoralisation. Il faut donc voir en quoi la mondialisation favorise la

production colossale dans l’industrie et l’agriculture. Les FTN ( = firmes transnationales) étatsuniennes sont implantées dans le monde * la puissance financière à cause du rôle du dollar .New York est la première place financière mondiale avec Wall Street .Washington est le siège du FMI et de la Banque mondiale .Les EU dominent alors ces deux institutions que sont le FMI et la Banque mondiale. Au moyen de leurs investissements ils placent sous leur dépendance financière les pays d’ Europe occidentale

I. New York , une ville globale Ville globale = métropole puissante , qui dispose d'un nombre suffisant de fonctions rares et de haut niveau pour jouer le rôle de centre actif de la mondialisation. a. La culture new-yorkaise New-York , de par sa qualité de ville globale , se doit d'être l'une des plus culturelle du monde. C'est durant la seconde moitié du XX ème que New-York a le plus développé les arts. Commençons par la peinture avec la création de l'expressionnisme abstrait : cette

24 appelé « Jeudi noir » et le mardi 29 octobre 1929. Le « Jeudi noir est le point de départ de la crise des années 1930. Durant ces deux jours, 28M d’actions ont été vendues.)- connaît un brutal retournement, connu sous le nom de « Krach de Wall Street », et une récession. Les banques sont fragilisées et, en 1931, les ménages s’y précipitent pour retirer leurs dépôts, contribuant ainsi à accélérer les faillites bancaires. L’économie plonge en récession. Le chômage augmente considérablement. Avec

Le système actuel de régulation de problèmes globaux issus de la mondialisation pourrait alors être confronté à un réel obstacle pouvant s’étendre au-delà des questions de propriété intellectuelle sur Internet. La preuve en est qu’ACTA qui est en fin de compte un accord qui parle de nombreuses autres choses que cette thématique, se retrouve face à un probable veto intégral. Certes ACTA est, comme le fait remarquer le Wall Street Journal, un exemple de malfaçon en matière d’accords sur des sujets

sociale(CRI) et du RAPSIM). Dans le cadre de son projet de doctorat, il collabore aux travaux du Groupe de recherche sur l’intégration continentale (GRIC) et s’intéresse aux questions liées à la transformation du travail dans le contexte de la mondialisation. VII TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION ........................................................................................................ IX LISTES DES ACTEURS PRÉSENTÉS .........................................................

visitée chaque année par environ 23 millions de visiteurs du monde entier, et elle est jumelée avec les capitales : Tokyo, New York, Paris, Moscou et Berlin. La partie la plus connue est le West End, car on y trouve les grands magasins d’Oxford Street, il y a les théâtres, c’est aussi ici que ce situent les quartier comme Covent Garden, Mayfair qui se situe aux alentours de Green Park, Soho qui contient une forte population asiatique et où il y a des bars, des « boites de nuits », des salles de

ART CONTEMPORAIN Article écrit par Yves MICHAUD, Raymonde MOULIN Prise de vue Le mot « contemporain » revêt deux sens. De manière courante, il signifie « ce qui est de notre temps », sans autre valeur que celle de la coexistence avec le présent : le monde contemporain est, par définition, celui où nous vivons. Avec une valeur polémique visant à marquer une différence non seulement chronologique mais aussi de forme et de nature, le « contemporain » véhicule par ailleurs l'idée d'une acuité

distinction des groupes les plus favorisés. Pour certains, 5 cette diversité culturelle, que l’on peut considérer comme une richesse, risque d’être laminée sous l’influence uniformisatrice des médias, de la consommation de masse et de la mondialisation. Cette conception des relations entre cultures et sous-cultures pourrait être qualifiée de « misérabiliste ». Selon elle, la culture populaire n’est qu’une version dérivée et appauvrie de la culture légitime. C’est une relation asymétrique