Mondo

crissements du sable sous les semelles des chaussures, les brindilles qui se cassent. La terre paraissait immense à cause de ces bruits, à cause du ciel noir aussi et des étoiles qui brillaient d'un éclat fixe. J.M.G. Le Clézio, « Les Bergers » dans Mondo et autres histoires, Gallimard, 1978 Consignes : Faire la dictée le dernier quart d'heure de la première partie. Lors de la dictée, on procèdera successivement à une lecture préalable, relativement lente, bien articulée du texte, à la dictée

fascino che tanto ammalia i poeti del secondo Ottocento francese. Per il poeta, come per il fanciullo, sono belle e degne di canto anche le piccole cose, umili, quotidiane, familiari, le piante più consuete e modeste, i piccoli animali, gli eventi del mondo naturale e campestre. La poesia del Pascoli canta le minime nappine, color gridellino, della pimpinella, sul greppo; canta l’umile fatica delle lavandare e il loro stornellare, la famiglia raccolta attorno alla tavola, i frulli d’uccelli, lo stormire

l’Art, tout l’œuvre peint de Vincent Van Gogh, édition Flammarion, 1971 * M. Tralbaut, Van Gogh le mal aimé, édita Lausanne, 1969. * Graham-Dixon, L’histoire de l’art en image, édition Mondo, 2009. * W. Beckett, Histoire de la peinture, la fascinante épopée de la peinture occidentale, édition Mondo, 2002. * S. Grégoire, Les impressionnistes dans le paysage, édition Hazan, 1993. La résurrection de Lazare, Vincent Van Gogh (d’après Rembrandt)

n’aurait pu dire d’où venait Mondo. Il était arrivé un jour, par hasard, dans notre ville, sans qu’on s’en aperçoive, et puis on s’était habitué à lui. C’était un garçon d’une dizaine d’années, avec un visage tout rond et tranquille, et de beaux yeux noirs un peu obliques. Mais c’était surtout ses cheveux qu’on remarquait, des cheveux brun cendré qui changeaient de couleur selon la lumière et qui paraissaient presque gris à la tombée de la nuit. J.-M.G. Le Clézio, Mondo ** Son poil a senti passer

tutto è vanità e il mondo e coloro che ci vivono trascinano il loro male incurabile. Male che possiede anche Maupassant, la morbida tristezza, le sue sofferenze fisiche etc. L’autore ci trasmette la visione della società del suo tempo, società che ha perduto la sua anima, e che invece è caratterizzata da bassezze, scorrettezze, compromessi, agevolazioni etc. Egli riflette sulla mediocrità delle nostre gioie, sull’inutilità dei nostri piaceri, sull’incoerenza di un mondo dedito al dio denaro

C’est là où il admire la splendeur du Grand Bleu et la douceur du soleil. Parallèlement à ce voyage toujours nouveau vers la mer et la lumière, on remarque que la plupart de ses personnages sont jeunes. Dans Désert, le chercheur d’or, la fièvre, Mondo, Onitsha,…les héros sont soit des filles soit des garçons. Tel est le cas de notre nouvelle. Le Clézio, dont l’œuvre est déjà volumineuse, incarne la volonté de tous ceux qui aiment la terre, les valeurs suprêmes (liberté, générosité, solidarité, fraternité

rami sul giovane fino a raggiungere il suolo di sabbia azzurra, dove l'ombra diventava viola e si muoveva come i rami stessi: sembrava così che i rami e le radici si baciassero con dolcezza.Non c'era per lei gioia più grande che sentir parlare del mondo degli uomini sopra di loro; la vecchia nonna dovette raccontare tutto quanto sapeva delle navi e delle città, degli uomini e degli animali; soprattutto la colpiva in modo particolare il fatto che i fiori sulla terra profumassero (naturalmente non profumavano

una avventura degna di essere intraprendente. Il solo problema che io visto è questa della contingenza della natura e della vità. Sfortunatamente, Costantino e tutta la razza umana sono umani semplici, senza potere divino o controllo solido sullo mondo. E sempre possibile di trovare la felicità, ma questa non è una garanzia che noi la troveranno. La felicità forta, come "l'amore che cancella tutto", è una cosa rara, imprevisibile per la più grande parte degli situazioni. E io penso che la gente,

géographique et culturelle a conduit une partie de la critique à parler de rupture à l’intérieur de l’œuvre, à établir une périodisation avec des changements dans la thématique, une évolution dans la manière d’écrire. L’Inconnu sur la terre et Mondo marqueraient un tournant, 2 Essais, III, IX, «De la vanité», 1588.17Itinerários, Araraquara, n. 31, p.15-31, jul./dez. 2010 Le Clézio, un écrivain de la rupture? affi rmeraient la rupture consommée avec les valeurs rationalistes et consuméristes

conséquences immédiates qu'on voit, et non des effets ultérieurs qu'on ne voit pas. XI. Épargne et Luxe 50 Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas Essayons de rectifier cette vue incomplète. Mondor et son frère Ariste, ayant partagé l'héritage paternel, ont chacun cinquante mille francs de rente. Mondor pratique la philanthropie à la mode. C'est ce qu'on nomme un bourreau d'argent. Il renouvelle son mobilier plusieurs fois par an, change ses équipages tous les mois ; on cite les ingénieux procédés