Monétarisme

l’Etat pour l’équilibre économique car ordre spontané du marché, uniquement dans une logique sociale pour un optimum social. La monnaie qui ne sert pas à l’équilibre économique doit être neutralisée : politique monétaire de lutte contre l’inflation (monétarisme de Friedman). une vision macro-économique et peut traiter les problèmes macro comme le chômage. Il est le seul à pouvoir faire des anticipations macro qui s’opposent aux cycles issus des décisions microéconomiques rationnelles des Entrepreneurs

un paradoxe, car le monétarisme s’est, dès l’origine, déclaré en complète hostilité avec le keynésianisme : Friedman, le « pape » du monétarisme, s’est toujours montré viscéralement anti-keynésien. Cependant, un autre grand monétariste, Allan H. Meltzer, a publié, en 1988, une analyse plus mesurée de la pensée monétaire de Keynes. Envers celui-ci, il déclare éprouver somme toute une certaine sympathie : en le lisant intégralement, il a vu en lui un précurseur du monétarisme en raison de sa découverte

• L’éCOLE DE LA RéGULATION : M. AGLIETTA – R. BOYER – A. LIPIETZ – B. CORIAT… • LE RENOUVEAU DES Idées CLASSIQUES et Néo-classiques : ➢ Le courant normatif de l’équilibre général : K. ARROW – G. DEBREU – M. ALLAIS… ➢ LE MONéTARISME : M. FRIEDMAN – R. LUCAS – AB. LAFFER – T.J. SARGENT… ➢ LES THéORIES DU PUBLIC CHOICE : G. TULLOCK – J. BUCHANAN… ➢ LA NOUVELLE Micro-éCONOMIE NEO-CLASSIQUE : A. LAFFER –G. BECKER F. HAYEK – R. COASE – G. STIGLER - … • LES

conservent un fort taux d’épargne, ce qui laisse penser que la reprise économique pourrait être plus longue.II. La consommation et l’épargne , des effets difficile à étudierA. Théorie-Depuis la fin des années 70, le modèle économique dominant est le monétarisme dont le but est de garantir la croissance économique en maîtrisant l’inflation, ainsi le pouvoir d’achat et la valeur de l’épargne sont préservés et assure une croissance saine. Cette situation a pu être possible en acceptant une baisse de la consommation

le mode de production. John Maynard Keynes (1883/1946) et le Keynésianisme Il opère une véritable rupture avec la pensée classique, et le keynésianisme sera le nouveau paradigme des 30 glorieuses jusqu’à ce qu il soit remis en cause par le monétarisme. C’est la crise de 29 qui va l’amener à rejeter les hypothèses classique et néo-classique. La démarche keynésienne est macroéconomique, contrairement au classiques et néoclassique qui expliquent les mécanismes économiques a partir des décisions

l'accroissement du PIB. Friedman = père du constitutionnalisme économique.Pourquoi demande de monnaie est-elle stable ? Parce qu'elle est fonction d'une fonction stable : le revenu permanent (chez Keynes elle est fonction du revenu courant). Le monétarisme radical autrichien de Hayek2 notions : celle de Free Banking et de crise de surcapitalisation avec effet d'accordéon.Il a une vision non dichotomique mais la monnaie en étant active, est nocive.Free Banking : Hayek est opposé à un système bancaire

l’édifice que constitue à l’heure actuelle. Ainsi parmi les courants qui ont marqué l’histoire de la pensée économique, nous pouvons retenir le mercantilisme, la physiocratie, l’école classique, l’école néoclassique, le marxisme, le guédésialisme et le monétarisme. SECTION I : LE MERCANTILISME La fin du moyen âge annonce la renaissance, période de grandes découvertes (boussole, loi de la pesanteur) est le début de l’essor des échanges internationaux. C’est le temps des mercantilistes. Le mercantilisme est

Révolution conservatrice des années 80 : Tournant historique pour l’ultra-libéralisme Le choc pétrolier des années 1970 a causé une stagflation de l’économie, inflation et chômage au rendez-vous, soit la chute du modèle Keynésien au profit du monétarisme de Friedman. Les politiques économiques des USA avaient pour objectif de réduire les dépenses de l’Etat ainsi que ses interventions économiques. Le 20 janvier 1981, Ronald Reagan a été élu 40ème président des Etats-Unis, en s’inspirant du Thatchérisme

de la rationalité de l’individu (difficulté de l’anticipation), la viscosité des prix et des salaires, les imperfections du marché en général qui appellent l’Etat à intervenir sur le marché pour les corriger en utilisant l’outil monétaire. 6. Monétarism e Représentant : Milton Friedman Ouvrage-clé : Une théorie de la fonction de consommation (1957) MF A la relance ponctuelle et rendue nécessaire par la conjoncture que propose Keynes, MF oppose une politique monétaire continue qui suit la progression

essentiellement américain, qui vit à crédit : dette. Surendettement des américains L’inflation est basse et les taux d’intérêt aussi. En effet, si il n’y a pas d’inflation, il n’est pas nécessaire de pratiquer une politique de taux d’intérêt élevé (monétarisme) qui ne servent qu’à éviter la création monétaire. Défaut de remboursement des crédits immobiliers des ménages. Pour bénéficier d’un crédit, il y a consentement d’hypothèque aux sociétés de crédit hypothécaires (Fanny MAE, Freddy MAC). A cause