Monétarisme

s’inspirer des théories économiques. Les gouvernants ou les responsables de ces institutions prennent la plupart de leurs décisions en référence à des courants théoriques (théorie Keynésienne conduisant aux politiques de relance ou de redistribution, monétarisme conduisant à la rigueur monétaire…). C’est d’ailleurs l’objectif de ce cours de pouvoir interpréter et comprendre ces décisions avec l’arrière-plan théorique nécessaire. Il ne faut cependant pas exagérer le poids de la théorie économique dans

politique décide du montant des dépenses publiques à engager ainsi que le montant des prélèvements fiscaux Politique monétaire : Cette politique est définit par la BCE. Elle est centrée sur l’objectif de stabilisation des prix. Sous l’influence du monétarisme, on considère que l’inflation résulte d’une création excessive de monnaie. Les autorités monétaires ont disposent de deux instruments pour atteindre ces objectifs L’action par la liquidité bancaire L’action par les taux d’intérêts Les politiques

même mécanisme que tout établissement financier (voir infra). B) Limites La première et principale limite pour l'émission par la banque centrale est sa propre crédibilité. Même si les économistes divergent (notamment entre keynésianisme et monétarisme) sur les effets d'une émission monétaire inadaptée, il y a consensus entre eux pour estimer qu'il y a des effets (inflation ou déflation, bulles financières, Resserrement du crédit, Crise de liquidité, etc.). Il y aura trop d'émission si la banque

keynésienne de la production et de l'emploi est lié a la théorie des salaires et de l'inflation. On remarque que lors du pleine emploi, l'inflation est nul. Le Keynesianisme à été contesté par toutes les branches de l'école libérale. Ainsi le monétarisme, qui s'inscrit dans la logique de Keynes, pense que le keynesianisme est positif a cours termes mais a long termes entrainerai une inflation sans diminution de chômage. La théorie de Keynes va être mise en ouvre en avec le New-deal. En

plusieurs courrants : - éco de l'offre: Laffer - le monétarisme: Friedman ces analyses justifient des politique éco néolibérales Economie de l'offre Ce qui importe sur le marché est l'offre et non la demande. C'est un discours favorisant la liberté d'entreprendre et l'initiative privée. Laffer dit : « l'impôt tue l'impôt ». Par l'impôt, on peut inciter ou désinciter à produire. Il faut laisser faire le marché sans l'Etat. Le monétarisme Courant de pensée libéral qui explique l'inflation

22%. Cela représente 5 fois les dépenses pour l’enseignement supérieur ou 10 fois les crédits du ministère de la justice. IV Les politiques de rigueur comme solution ? Des politiques de lutte contre l’inflation s’inspirant plus ou moins du monétarisme de Milton Friedman se remettent en place en 1979 en G-B et aux E-U, et en 82-83 en France. Ces politiques s’appliquent sur la limitation de la création monétaire, notamment par l’augmentation des taux d’intérêts. Ce sont effectivement des politiques

infra). ------------------------------------------------- Limites [modifier] La première et principale limite pour l'émission par la banque centrale est sa propre crédibilité. Même si les économistes divergent (notamment entre keynésianisme et monétarisme) sur les effets d'une émission monétaire inadaptée, il y a consensus entre eux pour estimer qu'il y a des effets (inflation ou déflation, bulles financières, Resserrement du crédit, Crise de liquidité, etc.). Il y aura trop d'émission si la banque

semblent démonter les risques de tout régime bâti sur le seul principe de l'égalitarisme. FICHE AUTEUR sur : Milton FRIEDMAN (1912 -) “ L'inflation est toujours et partout un phénomène monétaire”. COURANT DE PENSEE Néo-libéralisme Monétarisme PRINCIPAUX OUVRAGES Théorie de la fonction de consommation (1957) Inflation & système monétaire (1968) THEMES & CHAPITRES DU PROGRAMME Rôle économique des pouvoirs publics (E.D.S.) Intégration économique & politiques conjoncturelles

| |DU PROGRAMME | |Néo-libéralisme | |Inflation & système monétaire (1968) | |Rôle économique des pouvoirs publics (E.D.S.) | |Monétarisme | | | |Intégration économique & politiques conjoncturelles (T.C.) | |ELEMENTS DE BIOGRAPHIE

Keynes, qui vise à favoriser la croissance et l’emploi. Le niveau de la production dépend du niveau de l’emploi et le chomage est relié à l’emploi. En effet, l’état a un rôle considérable dans le cadre de politique de relance. D’autre part, le monétarisme peut servir à court terme, mais à long terme il n’apporte que de l’inflation et ne diminue pas le chômage pour autant. Le keynésianisme débouche donc sur une politique budgétaire (qui assure l’équilibre interne) et monétaire (qui assure l’équilibre