Monétarisme

1. L’analyse de l’histoire de la pensée économique reste aujourd’hui un débat ouvert. Sur le plan mondial, les développements économiques sont l’une des préoccupations majeures des économistes, des décideurs politiques et de la population en général. Des lors, force est de constater qu’il y’a un réel passage de la macro au micro. Plusieurs arguments peuvent être développement sur l’origine de ce passage : - L’éco contemporaine cherche à s’intéresser de moins en moins au fonctionnement d’ensemble

Dans un article paru en 2013 dans Open Economies Review[1], C. A. E. Goodhart et D. J. Lee comparent les mécanismes de sortie de crise aux Etats-Unis et en Europe. S’appuyant sur une comparaison de la situation de trois Etats (l’Arizona, l’Espagne et la Lettonie) confrontés à un krach immobilier et à une récession, les auteurs explorent les raisons de la divergence croissante observée entre les pays de la zone euro, divergence qui ne se retrouve pas aux Etats-Unis. Leur analyse s’appuie sur les critères

Introduction Les premières formes de monétarisme sont apparues dès les années 50 Le terme de monétarisme est un « faux ami » : -L'accent et mis sur le rôle de la monnaie dans la perturbation de l'équilibre économique et dans la croissance économique. -Il ne s'agit pas de « défendre » la valeur des monnaies nationales. -Il s'agit de montrer que la monnaie ne doit pas être utilisée en tant qu'instrument de politique publique. Attention : l'emploi du terme monétarisme a été galvaudé. Il a servi à couvrir

Smith B. David Ricardo C. Jean-Baptiste Say 2- Ecole néoclassique  A .Comparaison entre les néo-classiques et les classiques  B .Le courant libéral  3- Ecole keynésien  4- Ecole Marxiste  5- Le monétarisme  II –Les politiques économiques : 1- La politique monétaire 2-Le carre magique de Nickolas kaldor  I – les grands courants de la pensée économique : 1- Courant classique : Le courant classique est apparu durant la révolution

l’analyse dichotomique, la monnaie agit sur l’activité économique à travers le taux d’intérêt. 23. Le taux d’intérêt et le taux de rentabilité pousse les investisseur à investir. 24. Le monétarisme est une école de pensé crée par Milton Friedman chef de fil de l’école de Chicago, le monétarisme est fondé sur l’hypothèse de la stabilité de la fonction de demande de monnaie. Pour lui Y=Yp+Yt selon cette analyse toute création monétaire excessive va modifier les encaisses réelles et

autrichienne. Pourtant, en ces temps de crise économique, certains de ses travaux académiques mériteraient d’être davantage étudiés et commentés, à condition de ne pas se cantonner à la seule de ses théories qui soit légèrement connue en France, le monétarisme. Hors cette question, Friedman a ainsi écrit sur la théorie du revenu permanent et sur la temporalité des politiques de relance, deux sujets brulants pour lesquels il a reçu le Prix Nobel en 1976 (il l’a reçu pour l’analyse de la consommation, l’histoire

consacrées a l’enseignement supérieur ou 10 fois les crédits du ministère de la justice. * Les politiques de rigueur budgétaire comme solutions ? (début des années 1980) Des politiques de lutte contre l’inflation s’inspirant plus au moins du monétarisme de milton friedman sont remis en place en 1970 en grande Bretagne et aux états unis et en 1982 1983 en France. Ces politiques s’appuient sur la limitation notamment par l’augmentation des taux d’intérêts. Ce sont des politiques restrictives qui

et d’incompréhension politique. Le monétarisme et les travaux de M. Friedman qui constituent le point d’ancrage théorique de cette vision de la Banque centrale. Les gouvernements, c’est-à-dire les pouvoirs publics, dans les différents pays de la zone euro n’ont plus la possibilité d’utiliser la politique monétaire à des fins de politique économique. La nécessité de lutter contre l’inflation grandissante au début des années 1980, la montée conjointe du monétarisme, les résultats relativement satisfaisants

Intervention exagérée de l’état Forte protection sociale Peu de perte de pouvoir d’HA Inflation – stagnation (=pas de croissance des revenus, affaires de commerce ou de banque) Essaie de concertation Réaction : Néolibéralisme et monétarisme 9. Le monétarisme de Friedman Milton Friedman est professeur à l’université de Chicago, il est considéré comme l’un des économistes les plus influents de 20è siècle. Il a travaillé au coté de Nixon et déjà à ce moment là était contre la théorie keynésienne

les distorsions sur l’évolution du coût du travail b : surtout que la communauté européenne est aussi concernée par un chômage keynésien -la situation française est extrapolable au niveau européen -situation qui résulte de l’application du monétarisme Introduction En 2007, N Sarkozy jugeait souhaitable pour l’économie française que le pouvoir d’achat des ménages augmente. Dans une économie largement salarisée, où l’Etat souhaite ne pas développer de façon illimitée la protection sociale,