Monétarisme

les interets de chacun font l’interêt collectif. - La non intervention de l'État dans la vie économique. L'État se contente d'assumer les fonctions régaliennes (la police, la défense nationale, l'Éducation nationale, la justice). Le monétarisme est un terme apparu à la fin des années 1960 pour qualifier un courant de pensée économique pour lequel l'action de l'État en matière monétaire est inutile voire nuisible. Les monétaristes sont dans le prolongement de l’école classique mais accordent

monnaie). Il faut donc limiter l'augmentation de la masse monétaire en fixant des objectifs de croissance aux agrégats monétaires. Aujourd'hui l'instrument privilégié pour contrôler la création monétaire est le niveau des taux d'intérêt. * du monétarisme à la politique de désinflation compétitive :différence entre la politique du Franc fort et de désinflation compétitive voir doc 4). Dans la pratique, la PFF débute avant la PDC (qui ne commence que dans les années 80, environ vers 83) en France

thèses monétaristes ont alors commencé à être prises en compte. 3e partie - La philosophie de l'école neo keynésienne C'est une école qui, tout en se distinguant des deux précédentes, en reprend des éléments essentiels. o elle emprunte au monétarisme, en considérant qu'on ne peut descendre sous un taux de chômage « naturel », sauf à déclencher un emballement de l'inflation. o elle retient du keynésianisme l'idée de la rigidité de certains prix qu'elle applique au salaire dont la baisse est

1960, en effet la théorie keynésienne devint la « vision dominante de la profession et des preneurs de décisions ». Seulement au fil des années, l'inflation grimpée de même que le chômage, ce qui selon la théorie keynésienne était impossible. Le monétarisme a alors pris d'assaut la pensée économique, avec son acteur le plus connu : Milton Friedman. Ce dernier critiqua le keynésianisme en remettant en cause ses principes. Entre autre il démontra que l'épargne est en règle générale réinjecter dans le

baisse des salaires 6) collectiviser des moyens de production, plus d’exploitation. - le courant monétariste : Ils sont deux : Milton Friedman et A. Laffer Inflation : hausse générale et durable des prix Le monétarisme est né vers la fin des années 40, il reprend la théorie quantitative de la monnaie selon laquelle l’inflation a pour origine un hausse trop forte de la masse monétaire par rapport a la croissance économique c’est à dire la croissance du PIB.

réescompte est élevé, plus le taux d’intérêt pratiqué envers les particuliers sera élevé, ce qui ralentira l’activité économique. Le canal privilégié de la politique monétaire est le taux d'intérêt qui agit sur la demande de crédit. 2. Le monétarisme Le monétarisme est l'héritier direct de la théorie quantitative de la monnaie. 2.1. ReformulationMilton Friedman élabore une démarche assez originale qui consiste à proposer une théorie de la demande de monnaie en considérant que les agents prennent des

plus qu’elles n’importent, cette stratégie n’est pas indiquée mais plutôt la première. Dans la pratique les attributs des politiques monétaires ne fonctionnent pas avec autant de précision. 3. Les limites des politiques monétaires Le monétarisme qui a acquis au fil du temps, le statut de dogme, concentré sur la maitrise de la quantité monétaire est parvenu à maîtriser l’inflation, mais reste impuissant à régler le problème du chômage, devenu aujourd’hui la première source de déséquilibre

adaptative (définition) cependant sur le plus long terme les effet de la politique monétaire se dissipe. Car les agent se rende compte que la hausse de leur revenu est compensé par l'inflation. – le dérapage de la courbe de pHilips (cours) – Monétarisme: c'est par la stabilité des prix que l'on peut atteindre les objectifs de croissance, de création d'emploi et de lutte contre le chômage. Il y a 2 avantage à la stabilité des prix: 1)la stabilité des prix assure un meilleur équité entre les individus

troc. Elle est simplement là, pour faciliter les échanges. Les anticipations des agents économiques se font toujours en valeurs réelle. Apres les travaux de Keynes et les attaques sur la neutralité de la monnaie, les néo classique et le courant monétarisme vont contre attaquer en montrant : * La monnaie peut être active, mais uniquement a cours terme, a long terme seul les valeurs réelles permettent d’arriver à l’équilibre générale. * Pour les monétaristes l’inflation est toujours monétaire

herself was a key point in her election. Actually, she was determined and clearly efficient. Furthermore, she had become increasingly disenchanted with the way the Labour government governed and had a lot of new ideas to renew her countries (such as monetarism for example). This was significant in a period in which people wanted more than anything a deep change. Finally thanks to her charisma and her determined position, she was likely to become leader rather than others. To sum up, the election of Margaret