Monnaie constante

Dépenses publiques................................................................. G Investissements........................................................................ I Demande de monnaie pour des motifs de transaction ........ DT Demande de monnaie pour des motifs de spéculation ....... DS Offre de monnaie ..................................................................... M Taux d’intérêt ............................................................................ i Revenu ............

Valeur nominale et valeur réelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. (Redirigé depuis Prix constant) Aller à : Navigation, rechercher En sciences économiques, les notions de valeur nominale et de valeur réelle sont utilisées pour étudier des variations temporelles de quantités. On parle également de mesure à prix courants et de mesure à prix constants. Lorsqu’on étudie les variations d’une quantité entre deux dates, cette quantité étant mesurée au moyen de sa valeur monétaire, ces

| |LA MONNAIE | |  | |Une économie de troc, sans monnaie

national et du taux d’intérêt à partir d’une intéraction entre les marchés des biens et services (IS) et le marché de la monnaie (LM ). Contrairement à l’approche Classique de l’autorégulation par le libre jeu des marchés, où la monnaie est neutre, J.M. Keynes, dans son ouvrage de 1936, intitulé La Théorie Général de L’emploi, de L’intérêt et de la Monnaie, intègre la monnaie dans l’explication des niveaux et des variations des variables réelles. Cette interprétation de J.M. Keynes, popularisée par

exprimé en valeur monétaire or la valeur de la monnaie n’est pas constante ou autrement dit, la valeur des biens n’est pas constante. Si les prix baissent, cela signifie que la valeur des biens diminue donc la valeur de la monnaie augmente. Pour comparer le PIB dans le temps, il faut donc tenir compte de cette évolution des prix sinon la comparaison est faussée. Le PIB nominal est le PIB exprimé en monnaie courante c’est-à-dire valeur de la monnaie de l’année. Le PIB réel ou PIB en volume c’est le

ont aujourd’hui atteint un égal développemt ce qui crée une rivalité encore plus forte.Les 3 clivages entre la micro et la macro : monnaie : micro : ils font abstraction de la monnaie :ils jugent qu’elle n’est qu’un voile : il suffit de le soulever pour percevoir la réalité des faits économiques. Macro : ils jugent la monnaie comme fondamentale : c’est la monnaie qui commande les faits économiques réels. équilibre : micro : économie à condition de respecter la libre concurrence entre les agents :

keynésienne est une tentative d’intégration de la monnaie dans la compréhension des phénomènes réels. Exemple : pour les néo-classiques l’augmentation de la quantité de monnaie en circulation ne peut pas durablement modifier le rythme de la croissance économique alors que pour Keynes il en va autrement : la croissance de la masse monétaire peut avoir des effets durables et entraîner des créations d’emplois. La neutralité de la monnaie La monnaie n’a aucun rôle dans l’économie, selon J.B Say. Il

* Transformation de l’épargne déposée (financement non monétaire) * Crédit par création de monnaie (financement monétaire) B. Le financement indirect Le financement intermédiaire fait intervenir des institutions financières pour servir d’intermédiaire entre les agents à capacité de financement et les agents à besoin de financement Ce financement peut être monétaire (création monnaie) ou non monétaire (transformation de l’épargne déposée) Pourquoi les banques ? * Réduction de

conception de la monnaie comme bien. A : Marchandise ou bien spécifique Lorsqu’un bien remplit des fonctions monétaires, il peut n’avoir que cet usage, on parlera alors de bien et de monnaie spécifiques, ou d’être utilisé à des fins non monétaires, et on le qualifiera de marchandise et de monnaie marchandise. Métaux précieux : monnaie marchandises, puisqu’il y avait une utilisation industrielle. Plus le cas aujourd’hui, car démonétisés. Mais ce n’est pas pour autant n’existe que des monnaies spécifiques

la demande N 0 = N d à ⋅ l 'équlibre Y = f (N d ) Φ( W ) P (W/P)* ψ( W ) P Y f(N) Y*=f(N*) YS=Y* 4. Le marché de la monnaie et l’équilibre offre et demande générale L’analyse néoclassique du marché monétaire est indépendante de l’analyse du secteur réel et de la détermination du niveau de la production. Le marché de la monnaie sert à fixer le niveau général des prix, l’analyse repose ici sur la loi de Say « Toute offre se crée sa propre demande, les produits d’échange