Monnaie constante

catastrophe ou pénurie d'une matière stratégique (indisponibilité du pétrole raffiné, bien que le brut reste relativement abondant). Inflation et quantité de monnaie : Théoriquement, l'inflation peut être la conséquence logique des deux cas suivants : - À abondance de marchandises fixe, lorsque trop de monnaie est émise. Le surcroît de monnaie peut être dû à une émission massive par l'État (l'illustration la plus marquante de ce facteur pourrait être la situation financière de l'Allemagne au début

importations IM augmentent avec le PIB. La dégradation de la balance commerciale provoque une  augmentation de la demande de devises étrangères contre devise nationale ­ demande de dollars  contre euros ­ et toutes choses égales une ​ dépréciation​  de la monnaie domestique.    ● L'augmentation du PIB provoque aussi une ​ hausse du taux d'intérêt ​  car,  à masse monétaire  7  ​ On peut se représenter le système de taux de change flottant comme un  marché des changes   sur lequel le taux de change  bilat

plus aujourd’hui l’affaire des manuels d’économie mais s’impose de plus en plus à l’attention des décideurs publics qui avaient l’habitude de considérer les problèmes de « monnaie et finance » comme essentiellement liés à des phénomènes cycliques. Après une progression très lente des idées concernant le rôle de la monnaie dans le développement, on peut signaler qu’une rapide évolution s’opère actuellement sur le plan théorique, évolution à laquelle la brutale élévation des prix pétroliers

Macroéconomie Cours 1 - Monnaie-marchandise vs. Monnaie-fiduciaire Pas de valeur intrinsèque mais une valeur de confiance instituée par le gouvernement. Ex: L'euro >Intermédiaire des échanges privilégiés dans la zone monétaire >cours légal: 1€ = 6,55957 francs >cours de change L'euro n'a aucune valeur intrinsèque s'il n'y a pas de confiance. Masse monétaire, ou offre de monnaie,correspond à la qté de monnaie disponible dans l'économie. Elle est régulée par une institution: la

• Estimation des taux d'inflation dans le monde, pour l'année 2005 L'inflation est une baisse durable de la valeur de la monnaie[1][2], qui se traduit par une hausse globale du niveau général des prix. C'est un phénomène persistant qui touche la totalité des prix[2], auquel se superposent les variations sectorielles des prix. On l'évalue à partir des variations des prix à la consommation des biens et services, mesurée à qualité égale. En France, l'inflation est évaluée au moyen de l'indice

LA POLITIQUE MONETAIRE AU BURUNDI Introduction La politique monétaire est le processus par lequel l’autorité monétaire assure la régulation de l’offre de monnaie en vue d’atteindre des objectifs de politique économique qui peuvent concerner la croissance, le plein emploi, l’équilibre extérieur et/ou la stabilité des prix. Depuis la fin des années soixante dix du siècle dernier, la fonction de régulation conjoncturelle traditionnellement assignée à la politique monétaire, dans une perspective keynésienne

marché ne doit pas être confondue avec la finance d’entreprise (corporate finance) qui traite non plus des marchés et de la mouvante conjoncture économique et politique mais des entreprises devant respecter des règles quasi immuables (poursuite constante de la création de la valeur inhérente au fait que la rentabilité des investissements doit être supérieure au coût des ressources).les outils utilisés ici (gestion financière, analyse financière) permettent de vérifier que les équilibres garantissant

Macroéconomie Introduction ➢ Inflation début années 2000 : Faible. ➢ Car : Stratégie de ciblage des banques Centrales (BCE => 2%) Il y a une recherche constante d'une forte rentabilité : ➢ Mais : Raréfaction des projets non-risqués. ➢ D'où : Hausse des investissement dans les projets risqués. ➢ Mais : Défaut des créantier des subprimes. ➢ D'où : Peur d'un passage de crise financière économique/réelle. ➢ à crise Quelles sont les limites fixées par les pays d'Europe pour garantir

fins socialement et individuellement productive SAUF la « thésaurisation »= détention de monnaie « pour elle-même », sorte d’avarice jugée irrationnelle et exclu de l’analyse. L’ajustement I-S chez Keynes Keynes réfute la loi des débouchés=> la thésaurisation, bien qu’elle soit improductive au niveau global, peut être profitable au niveau individuel : On parle de motifs de transaction (détention de monnaie pour mener à bien des transaction présentes et futures), motifs de précaution (faire face

qu'en moyenne, et la plupart du temps, les hommes tendent à accroître leur consommation à mesure que leur revenu croît mais non d'une quantité aussi grande que l'accroissement du revenu." Keynes, Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, 1936. Il ne donne pas d’explication théoriques, juste des explications théoriques : la fonction de consommation est juste un peu riche. Il est possible de dégager deux éléments fondamentaux : d’abord, que la consommation des mélanges dépend uniquement