Monnaie Exogene Et Endogene

une politique monétaire appropriée. Définition : La masse monétaire représente la quantité de monnaie en circulation dans une économie. Elle regroupe l’ensemble des avoirs détenus par les agents économiques non financiers.   La masse monétaire se décompose en divers agrégats regroupant la quasi-totalité des placements. Bien que floue, la limite entre monnaie et épargne est maintenue : - est monnaie ce qui est liquidable rapidement sans incertitude, - est épargne le reste. Au 31 Août 1997

la dépression des années 1930 la conséquence des erreurs de politiques monétaires. Ce n’est plus qu'une défaillance des marchés cependant, le facteur n’est plus endogène mais exogène. Avec l’aggravation de la dépression (selon Friedman), la crise a conduit à des faillites bancaires, or ces faillites bancaires réduisent la quantité de monnaie en circulation, et l’erreur principale de la FED tient à leur mauvaise appréciation des conséquences des faillites bancaires sur la masse monétaire. La FED n'injecte

cependant contestées (II). I – L’épargne, pierre d’achoppement d’un cycle économique vertueux : Les théories de la croissance endogène retiennent le rôle essentiel de l’épargne dans le financement des investissements en recherche et développement, qui conditionne ainsi la croissance au sein du modèle. De même, dans le cadre de théories de la croissance exogène, les travaux de Robert M.Sollow (prix Nobel d’économie en 1987) ont établi que l’épargne concourrait à la réalisation de phases transitoires

décisions des entrepreneurs par des interventions monétaires et budgétaires de ce contrôle de l'évolution de la conjoncture. Dans cette perspective de neutralité, F. A. von Hayek va jusqu'à préconiser la privatisation de la banque d'émission de la monnaie. §2 Conception marxiste de l'Etat Dans une approche marxiste, c'est une théorie coercitive de l'Etat qui est développée. L'Etat est le représentant de la seule classe dominante et il est un appareil d'oppression au service de cette classe dominante

écrits dans ce domaine, les réactions des agents à ces asymétries d'information sous la forme d'échanges d'information, qu'il s'agisse de prix, de quantités ou d'autres signaux informatifs. Nous voyons donc que l'information devient endogène et n'est plus fixée de façon exogène 1. Pour une présentation formelle des structures d'information, voir Laffont (1985), chapitre 3, qui s'appuie sur: Arrow (1970), Blackwell (1951), Diamond et Maskin (1979), Marshak (1971), Marshak et Radner (1972). 90

reste) alors que lorsqu’on s’intéresse à l’équilibre de plusieurs marchés on parle d’équilibre général. On a un marché fondamental qui est celui du travail. Ensuite on a le marché des biens et des services, le marché des actifs et le marché de la monnaie. Loi de Walras : si on a plusieurs marchés en équilibre, le dernier est forcément en équilibre. Si on est indépendants des uns des autres, les individus pris isolement ont les mêmes pouvoirs. Le seul langage qu’on puisse parler entre individus

dont la quantité peut varier. Parmi ces variables, on distingue les variables endogènes et les variables exogènes. Les endogènes sont celles déterminés par le model et qui varie lorsqu'il se passe quelque chose dans l'économie. Les variables exogènes sont celles déterminées en dehors du model. Dans un model de marché du travail, on cherche à expliquer la détermination du salaire et du chômage, ce sont des variables endogènes. Pour décrire des caractéristiques fixes et quantifiables de l'économie

effective < croissance potentielle (écart positif) = écart recessionniste Hausse du chômage (=choc négatif) Pour lutter contre cet écart on mène une politique conjoncturelle. II. Les raisons des fluctuations économiques A. Les explications exogènes des fluctuations économiques Les fluctuations économiques à court terme peuvent provenir de chocs économiques, c’est-à-dire un évènement qui affecte l’économie et qui va faire que la croissance effective s’éloigne du Trend de la croissance potentielle

demande en investissements privés et éventuellement la consommation (effet dit d’éviction). Dans une économie ouverte avec des cours de change flexibles (modèle de Mundell-Fleming), cet effet sur les intérêts aboutit également à une valorisation de la monnaie et, par conséquent, à la baisse des exportations et à la dégradation du bilan extérieur, ce qui réduit l’impact généré par l’accroissement de la demande publique. Quoi qu’il en soit, face à une sous-activité dans des conditions normales, l’augmentation

est favorable à l’association des ouvriers et non pas à leur assistance par l’État. • MILL reconnaît la relation entre la quantité de monnaie et le niveau général des prix. Cette théorie quantitative de la monnaie se fonde sur l’observation de l’arrivée massive de métaux précieux au XVIième siècle et de la hausse des prix. La monnaie n’a qu’un rôle négligeable dans l’échange : c’est un simple moyen de faciliter l’échange Sous-section 2 Les principaux classiques français