Monnaie Forte Monnaie Faible

 Tout incite l'individu rationnel à ne pas faire grève.  Phénomène du « free rider » ( passager clandestin, c'est à dire fucking bastard ) +  explique l'échec des grèves. Or, Olson affirme que les individus peuvent se mobiliser  sous certaines conditions : groupe plus petit = mobilisation plus forte. Incitations  collectives :  – incitations sélectives négatives : coût + élevé de la non participation. Petit  groupe = plus soudé, la non participation entraîne un bouleversement du groupe  qui est de petite taille. Conséquences : le passager clandestin est stigmatisé

général de hausse cumulative du niveau général des prix. Les sources de l’inflation sont très diverses, cependant, trois d’entre elles apparaissent particulièrement importantes. La théorie quantitative de la monnaie (I. Fisher) insiste sur le fait que l’inflation résulterait d’une émission de monnaie trop importante. L’inflation peut être également associée à un déséquilibre du marché. Si Keynes insiste sur l’inflation par la demande (déséquilibre entre la demande globale et l’offre globale), les théoriciens

1) La dématérialisation progressive de la monnaie Comment on est passé de la monnaie métallique à la monnaie fiduciaire puis scripturale ? -Commençons d’abord même par la monnaie marchandise : le sel, le thé, le bétail... * « Age métallique » : dès l’Antiquité, sont apparus les avantages d’une monnaie métallique : -d’abord, une forte valeur sous un faible volume et toute proportion gardée, sous un faible poids, donc transportabilité, discrétion. - la conservation : l’inoxydabilité. - la divisibilité

macroéconomique et pas seulement microéconomique. L’économie dans son ensemble ne marche pas comme une entreprise. Théorie de la demande effective : si l’économie est mauvaise cela est du au fait que la demande qui s’adresse aux entreprises est trop faible car il n’y a pas assez de revenus distribués. C’est la demande anticipée par les entreprises qui détermine l’emploi. Un entrepreneur va embaucher quand il a besoin d’augmenter sa production. Ça ne dépend donc pas du coût du travail. Chapitre 2 :

de la hausse généralisée des prix, et correspond donc à une baisse durable de la valeur de la monnaie1,2. Il s'agit d'un phénomène persistant qui fait monter l'ensemble des prix2, et auquel se superposent des variations sectorielles des prix3. La monnaie (ou l'argent) étant l'étalon des valeurs, sa variation n'est pas directement mesurable ; on l'évalue à partir des variations des prix à la consommation des biens et services, mesurée à quantité et qualité égales. En France, l'inflation est évaluée

La monnaie est-elle neutre ? « Les activités réelles sont influencées par les variables monétaires, d’autre part, les grandeurs monétaires sont dépendantes des grandeurs réelles » explique Jean-François GOUX dans son ouvrage Macroéconomie monétaire et financière. Cet économiste français du XXIème siècle fait ici le constat d’une relation de réciprocité entre sphère monétaire et sphère réelle. La monnaie est un actif parfaitement liquide qui permet de s’acquitter de ses dettes. C’est donc un

La monnaie est un élément qui existe depuis plusieurs siècles. Mais au fur et à mesure du temps, cette dernière a prit des formes variées, à savoir les marchandises et les pièces métalliques. C’est à compter du XIVe siècle que la monnaie scripturale et la monnaie fiduciaire sont apparues. Pour cela, nous étudierons en quoi la monnaie se révèle t elle indispensable à la vie économique ? Aussi nous verrons tout d’abord la présentation de la monnaie et de la masse monétaire, par la suite nous nous intéresseront

3) Les points faibles de la France en matière de commerce extérieur sont le manque de spécialisation et donc de différenciation vis à vis de la concurrence, un commerce insuffisamment tourné vers les pays emergeants et donc fortement dépendant du peu de pays vers lesquelles elle exporte, cela signifie que si ces pays rencontre des difficultés économiques cela va également se répercuter sur la France. La France se concentre sur les gros contrats mais qui représentent un faible revenu, la France

la création monétaire dans le financement de la croissance. Reprenant alors la distinction classique au sein des intermédiaires financiers entre ceux qui sont "bancaires" et ceux qui ne le sont pas selon qu'ils ont ou non le pouvoir de créer de la monnaie, nous posons dans une troisième et dernière partie la question de la spécificité des banques au sein de la galaxie des intermédiaires financiers. Plan : Partie 1 : L'intermédiation au centre de la macroéconomie monétaire. Chapitre 1 : L'intermédiation

du monde A) Une exeptionnelle capacité productive : 1/4 du PIB mondial ; Forte consomation (31 des 100 premiers groupes mondiaux sont américains) Un secteur tertiaire puissant employant près de 80% des actifs et créant plus des ¾ des richesses. (Wall-Mart Stores, US Postal Service, TimeWarner, Citigroup, Bank of America...) Une industrie toujours au 1er rang grâce à quelques secteurs puissants (forte productivité + rôle primordial de la R&D... Persistance de certaines activités