Monologue Chat

liberté est le droit de faire ce que les lois permettent. Chacun de nous est une lune avec une face cachée que personne ne voit. Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire. Peu importe que le chat soit noir ou blanc, l’important, c’est qu’il attrape les souris. La vie ressemble à un conte; ce qui importe, ce n’est pas sa longueur, mais sa valeur. Deux choses instruisent l’homme de toute sa nature: l’instinct et l’expérience.

quelques moyens plutôt ingénieux ! I/Pharaon Pharaon est certainement la meilleure des idées qu’est pu avoir ce Palace. Il s’agit d’un chat de race (sacré de Birmanie ) qui vagabonde à sa guise dans l’hôtel . ( Je vous est joint une petite interview que je me suis amusé à faire avec un employé du Bristol qui me dictait les réponses qu’aurait pu donner le chat si bien entendu ce dernier auraot eu la parole) En effet Fa-Raon est la mascotte de l’hôtel…il se promène partout excepté dans les cuisines

il ne te mordra pas, sois tranquille. Le garçon sortit le violon de son lit et le prit comme il avait vu les musiciens le faire. Il posa l’archet sur les cordes et en tira un grincement épouvantable. Grand-mère se boucha les oreilles tandis que le chat, réveillé en sursaut, disparaissait sous le buffet. Tout le monde se mit à rire. - Eh bien ! dit Grand-père, si c’est ce que tu appelles chanter ! - Il faut qu’il apprenne, dit Vincendon en prenant l’instrument, qu’il plaça sous son menton. Et le vieux

qu'il affectionnait tant mais surtout où trouver tout l'argent que coûte un tel manteau ? Mais, peu à peu, des perspectives s'entrouvrent et Akaky se met à fréquenter les magasins avec Petrovitch pour acheter le drap , le callicot de la doublure, le chat pour le col en guise de martre. Il jeûne même pour se payer son manteau tant cela lui tient à coeur . Finalement, un beau jour, Akaky reçoit son manteau . Une nouvelle ère commence , il part radieux au ministère où, le bruit du changement se répandant

verre de toute façon. » Dit Pierre en se levant, et il quitta le bar et salua le patron et le client. Jean reprit, comme si de rien n’était, pour ne pas laisser s’installer un blanc, gênant pour tous. Ils continuèrent leur discussion, parlant du chat de la vieille du neuvième, du bruit infernal des talons de la jeune femme du quatrième. Tout le monde y passa, sans exception. Le seul autre client, qui n’avait pas encore dit mot se leva et dit : «  Je me présente tout de même, je suis le nouveau

tombait, un soir équivoque d’automne : Les belles, se pendant rêveuses à nos bras, Dirent alors des mots si spécieux, tout bas, Que notre âme depuis ce temps tremble et s’étonne. Paul Verlaine, Fêtes galantes Le Chat Je souhaite dans ma maison : Une femme ayant sa raison, Un chat passant parmi les livres, Des amis en toute saison Sans lesquels je ne peux pas vivre. Guillaume Apollinaire La lune blanche… La lune blanche Luit dans les bois ; De chaque branche Part une voix Sous la

de vous pour vérifier que vous ne bougez pas. Le PE procèdera à des immobilisations de plus en plus rapprochées. Temps : moins de 5 min Situation d’apprentissage : But : S’immobiliser sur un geste d’animal (grenouille, serpent, lapin, chat) avec un passage au sol (serpent) Rechercher des positions d’animaux. Critère de réussite : -Réaliser un geste précis et reconnaître le geste de l’animal dit. -Rester immobile. Critère de réalisation :

vivante Qui ne pèche en ceci. Rien de trop est un point Dont on parle sans cesse, et qu'on n'observe point. * Le cierge : Tout en tout est divers : ôtez-vous de l'esprit Qu'aucun être ait été composé sur le vôtre. * Le singe et le chat : (Le chat ayant tiré les marrons du feu) N'était pas content, ce dit-on. Aussi ne le sont pas la plupart de ces princes Qui, flattés d'un pareil emploi, Vont s'échauder en des Provinces Pour le profit de quelque Roi. Livre Dixième : * L’Homme

Quatre animaux divers, le Chat grippe-fromage, Triste-oiseau le Hibou, Ronge-maille le Rat, Dame Belette au long corsage, Toutes gens d'esprit scélérat, Hantaient le tronc pourri d'un pin vieux et sauvage. Tant y furent, qu'un soir à l'entour de ce pin L'homme tendit ses rets. Le Chat de grand matin Sort pour aller chercher sa proie. Les derniers traits de l'ombre empêchent qu'il ne voie Le filet ; il y tombe, en danger de mourir ; Et mon Chat de crier, et le Rat d'accourir, L'un plein

m'engage dans la première rue à gauche. Une porte rouge au fond, chez moi. Enfin le sec, enfin le chaud. Je range ma veste et mes chaussures puis m'écroule dans mon pouf. Le chat miaule et me rejoint En face, la fenêtre donne sur des toits vides, noirs... Au moins les vitres seront lavées par toute cette eau. Le chat ronronne sur mes genoux, il n'est pas sorti lui. Son poil doux glisse sous ma main. Je m'enfonce doucement dans le pouf, tas de mousse moëlleux et vert. « Un brin de couleur