Monologue Comique

| |Il rappelle l’histoire. | |LA FORME DE PAROLES |C’est un dialogue théâtral : échange de répliques |C’est un monologue. | | |entre deux personnages. | | |LE NIVEAU DE LANGAGE |Niveau

aLes structures du Comique au théâtre INTRODUCTION 3 LES MATERIAUX DE JEU 3 LE TRAIT DE CARACTERE INADAPTE 4 QUELS TRAITS DE CARACTERE ? 4 QUAND ET COMMENT EN AVERTIR LE PUBLIC ? 5 LE TRAIT DE CARACTERE EST MASQUE. 6 LE TRAIT DE CARACTERE EST JUSTIFIE. 8 LE TRAIT DE CARACTERE DEVIENT SYMBOLIQUE. 8 LES REGLES DU DISCOURS NON RESPECTEES 9 ABSENCE DE CONTACT DIRECT ENTRE LES INTERLOCUTEURS 9 MANQUE DE COOPERATION 10 MANQUE D’ECOUTE 10 MANQUE DE RESPECT 11 NON RESPECT DE LA PERTINENCE DES

CORNEILLE L’illusion comique Scène 5 de l’acte II UNE SCENE DE DECLARATION AMOUREUSE ORIGINALE. Scène 3 Isabelle repousse les avances de Adrasque. Liaison de fuite. Scène 4 Isabelle, Matamore et Clindor. Matamore fait la cour à Isabelle qui feint d’entrer dans son jeu. Matamore sort car un page le demande (en réalité c’est lui qui demande au page de venir le chercher en temps voulu soit disant parce qu’il reçoit un important message.) Scène 5 La sortie de Matamore permet

amoureux (Octave et Hyacinthe). No4. Au début de la scène 4, Argante et Scapin prennent la parole à tour de rôle. Peut-on pour autant parler de dialogue? Pourquoi? Non, car lorsque dans une réplique le personnage s’adresse à lui-même cela se nomme un monologue. No5. Comment Scapin excuse-t-il le mariage d’Octave auprès de son père Scapin excuse le mariage en expliquant qu’Octave a été forcé de prendre Hyacinthe comme épouse. Les parents d’Hyacinthe ont forcé Octave. Il a aussi été poussé par sa destinée

douleureux et de joyeux voyages », v.121 « tu regardes les yeux pleins de larmes ces pauvres émigrants » … ). Le poete se designe tour a tour par des « je » ou des « tu » comme si la reflexion sur soi exigeait un dedoublement a la manière d’un monologue tragique ( monologue d’Hermione dans Andromaque, Moliere ). Aux ves 115, 117, 119, 121, il utilise le passé composé, le temps de l’accompli / action revolue : « tu as fait, tu as souffert, .. ». Par la, il tire le bilan d’une vie passée. Le regard que porte

veut le faire rembourrer ("Il est devenu bien dur ce trône."). Les ordres du roi ne sont plus suivis (injonctions: "Allez chercher les ministres"(page 34) le roi parle seul, personne ne l’écoute, il s’exprime en longues tirades, parfois même des monologues. Les autres personnages ne prêtent plus attention au roi et n’exécutent plus les ordres qu’il donne. ("Il ne peu plus parler sire, il est pétrifié. Il ne vous écoute plus..."(page 41). Le roi change d’attitude et de ressenti au fur et à mesure

répliques de « Jean ! » à « salade », cernées de deux monologues. Le premier justifie les accessoires saugrenus. Le second dévoile les ambitions et les angoisses du personnage. Labiche recourt au monologue pour souligner la solitude du personnage, forcé de dissimuler une tare qui doit rester secrète : quand on ne connaît pas l’orthographe, on est bien seul ! 3. L’aparté que Jean marmonne en sortant de scène (l. 14-15) se rapproche du monologue dans la mesure où Jean se parle à lui-même. Cette

un ou plusieurs personnages de donner aux spectateurs les informations nécessaires le plus naturellement possible. Or Ionesco se sert de cette scène pour dénoncer le côté artificiel de ce procédé. Tout d’abord il ne s’agit véritablement ni d’un monologue ni d’un dialogue. Mme Smith parle à son mari qui ne lui répond que par des claquements de langues. Mme Smith raconte donc ce qu’elle a mangé sans aucune justification. La phrase déclarative « Tiens il est neuf heures » l. 8, est une parodie de la

(ne pouvant recourir à un narrateur) utilise des artifices de langage que chacun accepte comme s’ils allaient de soi. Ce sont d’abord les monologues sans lesquels on ne saurait rien des pensées du personnage6. Autre artifice du même ordre : l’aparté qui oblige à croire que le personnage présent physiquement sur la scène n’a pas entendu. Ex extrême de monologue délibératif, les stances du Cid. - Concernant l’acteur, personne ne s’étonne du fait qu’on l’ait vu mourir à l’acte V et qu’il se relève

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