Monologue D Harpagon Satire

surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Contrairement à la presque totalité des auteurs de comédie de son temps, l'invention dramatique de Molière s'appuie peu sur l'imitation de modèles

le décasyllabe dans une succession de laisse. Genre oral et formulaire, riche en phrases toutes faites, à syntagmes fixes. Ex : l’épithète homèrique : « Achille aux pieds légers » 1)les techniques narratives : Omettre est l’inventeur : - du monologue intérieur - du début « in médias res » - du retour en arrière - du travelling, focalisation - alternances de scènes dialoguées et d’actions relatées. Aristote : La Poétique : « L’épopée va de pair avec la tragédie » le point commun :

comparaison. Rousseau avance trois exemples. Dans chaque œuvre, il compare deux personnages : un personnage ridiculisé par Molière, et un autre amené à ruser. Ainsi, Mr Jourdin ≠ Dorante ; Georges Dandin, riche paysan ≠ sa femme Angélique, désargentée ; Harpagon ≠ son fils qui lui vole sa cassette et lui manque de respect (L’Avare). La construction des phrases est particulière : * Conjonctions de coordination : « ou » (l.14 – 17) * Superlatifs ; comparatifs « le plus blâmable » (l.13) ; « le plus

galanterie. Un troisième temps analysera le mot « illusion » : faire illusion, est-ce ce que voulait Matamore ? Pourquoi a-t-il échoué (voir réponse 5) ? Est-ce le but du théâtre ? xvii e siècle 121 corneille Objectifs – Analyser un monologue délibératif – Étudier les valeurs du héros cornélien Le Cid page 144 Repères Furetière définit la stance comme ce « qui se dit d’un certain nombre réglé de vers graves et sérieux qui contiennent un sens au bout duquel il se fait un repos

surtout de la bourgeoisie dont il dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt…), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Contrairement à la presque totalité des auteurs de comédie de son temps, l'invention dramatique de Molière s'appuie peu sur l'imitation de modèles

prosaïsme contraste fortement avec le climat enchanté de l’églogue, ne marque pas pour autant un retour complet à la réalité la plus ordinaire : redoublant lui-même les sons de la clochette (« drelin, drelin, drelin »), Argan termine en effet son monologue en instillant une fantaisie qui sera constamment rappelée dans la pièce, par les intermèdes d’abord : la fable antique est remplacée par l’exotisme des Mores lors du deuxième, et par la cérémonie burlesque pour le dernier. Les costumes de ces

maître et le valet restent très proches l’un de l’autre. Ils se connaissent bien, et en fait, auraient du mal à se séparer l’un de l’autre. Certes, l’avarice d’Euclion le rend méfiant, mais cette méfiance fait partie du comique de caractère (ici, la satire de l’avarice poussée à l’extrême) et Staphyla, qui le connaît bien, s’étonne de son changement d’attitude, devenue étrange l. 29 à 32 : « Par Castor ! Je ne peux deviner quel sort on a jeté sur mon maître, ou quel vertige l'a pris. Qu'est-ce qu'il

différence du héros s’est glissé un intrus. Saurez-vous le retrouver ? ¨ « ma fourrure naissante » ¨ « un monstre » ¨ « l’air enfariné comme un paillasse de la foire » ¨ « cette malheureuse queue blanche » ᕢ Qu’est-ce qui fait de ce conte une satire du bourgeois sous la Monarchie de Juillet (1830 – 1848) ? ¨ Le père, comme les bourgeois qui posent pour leur portrait, porte un « bel habit noir à la française » ce qui lui donne « l’air d’un marguillier en train d’avaler une omelette. » ¨ La

polémiques publiques comparables à celles provoquées par L’École des Femmes en 1662. En 1669, Molière est au faîte de sa gloire, et les thèses défendues dans sa comédie n’ont au fond rien de particulièrement choquant, bien au contraire. D’abord, la satire anticléricale est un genre bien ancré dans la littérature européenne depuis la fin du Moyen-âge : la réputation de corruption d’une partie du clergé lui a fourni de nombreuses occasions de railleries, et le portrait par Molière d’un faux dévot, menteur

s’appliquer aux comportements des hommes. C’est sur ce principe qu’est conçu le recueil : des histoires légères qui ressemblent à des contes, mais qui dispensent des enseignements conformes à la vérité. 13. La fable 10 ne peut être considérée comme une satire. Comment la qualifieriez-vous ? Nous serions plutôt en présence d’une parabole, c’est-à-dire un récit allégorique sous lequel doit se découvrir une leçon morale. La Bible délivre ses enseignements sous la forme de paraboles. Écriture 14. Dans la fable