Monologue Femme

haine internalisée s’est propagée parmi les autochtones. Cette haine s’est traduite par une augmentation importante de la violence envers les femmes. On estime qu’au Canada, 80% des femmes autochtones ont été ou sont encore victimes de violence. Une femme sur deux (57%) aurait été victime d’agression sexuelle[10]. Violence et racisme Les femmes racisées nées ici et les femmes immigrantes du Québec, tous statuts confondus, en provenance des pays du Sud[11] anciennement colonisés, vivent

l’ascension sociale de Georges Du Roy, homme ambitieux et séducteur, utilisant ses conquêtes pour arriver à ses fins. Cet extrait met en scène son mariage à l’église de la Madeleine avec Suzanne, fille de son patron dont il avait préalablement séduit la femme. Nous allons voir comment la présentation d’un personnage cynique sert à la critique d’une société sans valeur. Dans cette extrait est mis en scène un ambitieux séducteur mais non moins cynique. La présence du lexique de l’odorat, « l’odeur »

encore, supposant d'ailleurs que cette démarche pressante n'était point ignorée de la jeune femme, Mariolle fit un "Peuh ! je n'y tiens guère" où le dédain voulu se mêlait au consentement acquis déjà. Massival reprit : - Veux-tu que je te présente un de ces jours ? Tu la connais d'ailleurs par nous tous qui sommes de son intimité, car nous parlons d'elle assez souvent. C'est une fort jolie femme de vingt-huit ans, pleine d'intelligence, qui ne veut pas se remarier, car elle a été fort malheureuse

bossu avait fait une remarque insultante, et le condamna à être fouetté pendant deux heures sur le pilori. Un peu plus tard, un groupe de trois femmes et un enfant marchaient dans les rues de Paris. Elles allaient rendre visite à Sœur Gubule, une femme qui s'était enfermée volontairement dans une pièce souterraine dont l'entrée donnait sur les rues de Paris. Dans cette pièce, appelée un Trou de Rats, elle priait toute la journée pour une lamentation éternelle. En s'y rendant, les trois femmes passèrent

sélectionné les données les plus importantes et les plus utiles pour constituer nos textes. Après avoir travaillé plusieurs mois, j'ai appris beaucoup de choses sur la violence conjugale et ma vision a changé. Pour moi c'était juste un homme qui battait sa femme mais il s'avère que cela était beaucoup plus complexe. J'ai pris connaissance de la spirale, je ne savais pas qu'il y avait plusieurs étapes dans cette agression. Puis j'ai appris que cette violence augmentait depuis quelques années. Les victimes subissaient

Une tache mal placée . Blair Waldorff , jeune femme de 23 ans avait décidé ,le week-end passé , d'aller à la recherche de son père à New-York . Blair, n'avait plus vu son père depuis 20 ans , il les avait laisser tomber elle et sa soeur après son divorce avec sa mère. Ils s'étaient séparés car il lui était sans cesse infidèle, et la trompait toujours avec des femmes beaucoup plus jeunes. Hier, la jeune femme avait un rendez vous avec un homme qu'elle avait rencontré le jour de son arrivée

Duroy et Madeleine ont honte ses origines * la mère Duroy est jalouse de sa bru (belle-fille) Extrait 15 : Jalousie posthume de Duroy : * se demande comment Madeleine a eu toutes ces relations * il est surnommé Forestier, car c’est sa femme qui écrit pour lui cela le vexe * recommence ces allusions au « cocuage » de Forestier * il a le poste de rédacteurs politique. Extrait 17 : Duroy pris au piège : * furieux de l’amour envahissant de Mme Walter * voit toujours Mme

GENERATION MAI 1968 SOMMAIRE ● Généralités sur le mouvement de Mai 68 Une crise générationnelle multiformes Les conséquences des contestations de la génération 68 ( les soixante-huitards) ● ● PROBLEMATIQUE ► En quoi le mouvement contestataire de mai 1968 est révélateur d'une génération en crise ? Généralités ● Définition : Un soixante-huitard est un individu ayant participé aux événements de Mai 1968, ou ayant adopté les mœurs et les idées qui se sont imposées à cette

principales du jour … Elle vit sa beauté naturelle disparaitre avec l’âge même si pour moi elle reste une femme forte et surtout une femme ayant un charme indéniable. Elle se mit à la lecture de grand auteur t’elle que Racine, Montaigne. Je me fis dire dans un coin de ma tête que ceci n’aller en aucun cas lui faire du mal et qu’elle pourrait en retirer que des points forts. Je découvris alors une femme ayant beaucoup de facilité à voir les sujets de l’auteur, elle lisait très vite, elle avait une soif

ainé à son cadet (« De cinq ans plus âgé que moi, Charles fut aussi bel enfant qu’il est bel homme, il était le privilégié de mon père, l’amour de ma mère, l’espoir de ma famille. »), elle est étrangère à Félix. Celui-ci la décrit comme une « grande femme sèche et mince, joyeuse, égoïste, impertinente comme toutes les Listomère chez qui l’impertinence se compte dans la dot ». Il se confie à Nathalie en disant «  Quel poète nous dira les douleurs de l’enfant dont les lèvres sucent un sein amer, et dont