Monologue Sabine

au centre dela Terre’’ étant, comme beaucoup d’autres ‘’Voyages extraordinaires’’, un périple qui ramène lespersonnages à leur point de départ.Dans les scènes d’épreuves qui se multiplient, est employée une technique du gros plan, avecrecours au monologue intérieur, aux répétitions des repères temporels qui accentuent I'impression deralentissement du temps, de coïncidence du temps de l'écriture et du temps de I'action. Au chapitreXXX, la pause descriptive sur «la vaste nappe d'eau» reconduit I'effet

- fonction guerrière, - reproduction (pasteur et cultivateur) Dumézil travaille sur l’épopée comme sur un document culturel : ex : Enéide, Virgile. 2) un apport au niveau historique : - guerre entre les sabins (enlèvement des sabines) : épisode réel et historique transposé dans l ‘Enéide. - Reflet des mentalités par les types de personnages : guerrier violent, etc Quelques exemples du rapport épopée / histoire :Transposition de noyau historique en vue de la recomposition

d'adultère : en cours, je cherchai une fille aussi larguée que moi. Une certaine Sabine me parut convenir. Je me reconnaissais en elle : elle véhiculait un tel malaise qu'elle était toujours seule, car personne ne voulait partager sa gêne. Elle regardait les autres avec des airs implorants de chat affamé ; personne ne la voyait. Je m'en voulus aussitôt de ne jamais lui avoir adressé la parole. En vérité, les êtres comme Sabine et moi étaient coupables : au lieu d'aller vers leurs semblables et de se réconforter

LOWY, MCF Jean-François MORIS, MCF Olivier NEVEUX , MCF Jean-Pierre PERCHELLET , MCF Armelle TALBOT, MCF autres enseignant-e-s: Roseline BAFFET (Lettres) Sandrine BERREGARD (Lettres) Nathalie BOUDET (Staps) Valérie CARRE (études allemandes) Sabine CORNUS (Staps) Brigitte DODU (Lettres) Romuald FOUKOUA (Lettres) Jean-Matthieu MEON (université de Metz) Christine MONS (Staps) Corine PENCENAT (arts visuels) Jean-François ROBIC (arts visuels) Germain ROE SZ (arts visuels) Patrick TENOUDJI

dramatique : ces récits racontent des actions en laissant le spectateur imaginer ce qui s’est passé hors scène. Intrigue plus dynamique, plus vivante. 3. Le comique Cette pièce n’est pas seulement comique : les monologues d’Arnolphe = douleur et désarroi, accents tragiques. Ces monologues apparaissent après les tirades d’Horace qui révèlent son échec. Champ lexical du désespoir et de la mort = souffrance : acte III, scène 5 = mortifie (v. 977), me voilà mort (v. 982), funeste écrit (v. 982), désespoir

effets de surprise... la brièveté et la légèreté de l’octosyllabe contrastant par exemple avec l’ampleur et la tonalité épique, dramatique ou lyrique de l’alexandrin, le beau vers par excellence. Ainsi, dans Le corbeau et le renard, le premier monologue du renard fait alterner ces deux mesures en réservant l’alexandrin aux vers du paroxysme de la louange que les octosyllabes ne font qu’introduire progressivement. L’agencement très subtil des rimes respecte le principe classique d’alternance

accélérations, effets de surprise...la brièveté et la légèreté de l’octosyllabe contrastant par exemple avec l’ampleur et la tonalité épique, dramatique ou lyrique de l’alexandrin, le beau vers par excellence. Ainsi, dans Le corbeau et le renard, le premier monologue du renard fait alterner ces deux mesures en réservant l’alexandrin aux vers du paroxysme de la louange que les octosyllabes ne font qu’introduire progressivement. L’agencement très subtil des rimes respecte le principe classique d’alternance

rencontrer dans les études sur Bérénice couramment disponibles en format de poche. B Le découpage dramatique Acte I Scènes Résumé Scène 1 Antiochus envoie son confident Arsace solliciter pour lui un entretien auprès de Bérénice. Scène 2 (monologue) Antiochus aime Bérénice désespérément et se tait depuis cinq ans, cachant son amour « sous le voile de l’amitié ». Il souhaite néanmoins lui ouvrir à présent son cœur avant de quitter Rome. Scène 3 Bérénice accepte de le recevoir. Le roi de

se mouler dans les conventions et pour entrer dans le monde social. Cette partie serait la partie émergée de l’iceberg : celui du verbal, soit des paroles prononcées par le moi social. Nathalie Sarraute distingue le monologue intérieur de la sous-conversation ; derrière le monologue intérieur, se cache une abondance infinie « de sensations, d’images, de sentiments, de souvenirs et d’impulsions [...] qui se bousculent aux portes de la conscience, s’assemblent en groupes compacts et surgissent tout

depuis toujours – quoique pas de toute éternité – posé sur moi.[60] Pierre Assoun, de son côté, soutient l’opinion qu’on n’aura jamais campé un si intense dialogue de sourds, justement parce qu’il s’agit de toute autre chose qu’un dialogue : « monologue à deux voix », que nous voyons comme l’épine plantée au cœur de toute « théorie de la communication », autant que comme ce qui dit l’essence paradoxale de la « communication passionnelle ».[61] « Le petit monde privé de chacun est non juxtaposé