Monologue Vautrin

s'installer à Paris. Il aime la fille du père Goriot, Delphine. Le père Goriot a environ 69 ans. C'est un ancien vermicellier qui a fait fortune. Il se ruine pour ses filles Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Vautrin est un ancien forçat, il a environ 40 ans. Vautrin est un pseudonyme, il s'appelle réellement Jacques Collin et est surnommé Trompe-la mort. Madame de Bauséant, cousine de Rastignac, est une vicomtesse. Elle est l'amante du marquis d'Ajuda Pinto, qui va l'abandonner

Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents s'y côtoient, dont Eugène de Rastignac, jeune étudiant en droit, un mystérieux personnage un peu rustre et grossier nommé Vautrin et un ancien vermicellier (fabriquant de pâtes et de pain) ayant fait fortune pendant la révolution, retraité maintenant complètement désargenté et veuf, surnommé le père Goriot par la veuve Vauquer, frustrée dans ses intentions de mariage avec lui

alcoolique, sensible, se retrouve seul face à un miroir, et face à des têtes de rhinocéros devenues très belles. Dans ce monologue final, Bérenger s’interroge. Ce monologue occupe donc la place dévolue au dénouement et prend l’expression de la parole solitaire, la prise de parole du « dernier homme » en quête de valeurs humaines et marque l’accession du personnage au statut de héros. Le monologue suit une progression qui rend compte du débat intérieur de Bérenger face à la rhinocérite : le texte oscille entre

Quels sont les moyens théâtraux mis en œuvres afin de manifester ces enjeux ? Pour exprimer ce dilemme, le monologue est tout d’abord très présent. Notamment dans la scène 7 de Racine ; la scène 5, la première réplique de Argo de la scène 6 et la scène 7 de Gaudé. Le monologue permet la révélation des sentiments du personnage énonciateur. La scène 8 de Racine compterait tel un monologue, puisque le confident ne dit qu’un mot. Dans la scène 6 de Gaudé, la dernière réplique d’Argo est un faut dialogue

l'utilite et l'usage des langages propres au theatre qui permettent au dramaturge d'orienter sa piece vers l'artifice ou "l'engagement" 1) dialogue, monologue,tirade (chacun a son utilite dialogue : faire avancer l'histoire etablir un echange entre les personnages / la tirade : peut servir a engager un debat, confronter des personnages / monologue : permettre au spectateur ou lecteur de connaitre le personnage qui parle, connaitre ses idees, emotions, sentiments, etc...) 2) les costumes, gestes

------------------------------------------------- Devoir de Français : * Quel est l’utilité du monologue dans la Acte V scène 3 de : Le mariage de Figaro ? Dans l’acte V scène 3 de : Le mariage de Figaro on peut constater que nous sommes vous et moi face a un monologue. Au sens premier du terme le mot « Monologue » signifie un dialogue dont le locuteur et l’interlocuteur ne font qu’un. Comme l’indique son étiologie latine, mono voulant dire seul, unique et logue signifiant le

Beckett chercha incontestablement, avec les mots, avec leur faillite, à dégager quelque chose qui leur échappe fondamentalement. Reste l’énigme finale : la fin de la partie est-elle la fin de la parole de Hamm? Au début de son dernier monologue, le tyran impotent est sûr que Clov restera: il gagne du temps, raconte, appelle son père, Clov. Rien. Il joue à celui qui accepte le jeu jusqu’au bout. Il dit n’en parlons plus, ne parlons plus. Or nous savons qu’il avait dit toute son angoisse

des émotions secrètes grâce notamment au monologue intérieur. Le dramaturge ne peut que traduire le monologue intérieur en soliloque. Ce qui n'est pas sans inconvénient sur le naturel: dans la vie courante, se parle-t-on à soi-même tout haut et devant les autres sans une certaine gêne? Le risque d'invraisemblance de ce procédé est évité dans la tragédie classique grâce au faux dialogue, dialogue entre un héros et son confident. MOLIERE use du monologue avec parcimonie, lui donnant parfois la

après il n'y a +=>tt est placé ss le signe de l'act°. On passe progressivement de la réflex à l'act. La sc est construit sur les 3 parties: (l.31)=confusion=ces q° ne st ps efficaces=moment de la cohue. Pour Tagensen les pensées st + développées(monologue intérieur)=>focalisation interne, le narrateur omniprésent Per Tagensen trouve que les J ne servent à rien=il retarde le moment où il va aborder le vrai sujet. L'aut s'aventure ds le caractère qui ne ns intéresse ps au premier chef=un moyen d'accentuer

des Huit. 2° partie : MONOLOGUE de Philippe (avant l’arrivée de Lorenzo): « les 2 aînés d’une famille vieille comme la ville emprisonnés comme des voleurs de gd chemin ! » « l’honneur des Strozzi souffleté en place publique » (un soufflet = une gifle) REBONDISSEMENT : Phil. revient sur ses paroles pacifiques précédentes : « Allons ! mes bras, remuez ! et toi, vieux corps courbé par l’âge et par l’étude, redresse-toi pour l’action ! » = dernières paroles du monologue JUSTE AVANT l’entrée en