Monopole de la violence

légitimité, en effet pour qu’un pouvoir domine il faut qu’il puisse légitiment recouvrir à la violence, par le biais d’un pouvoir de sanction. Mais il ne faut pas non plus que les autres pouvoirs de s’opposer. Ce pouvoir politique revendique le monopole de la contrainte mais il ne la pas forcement, le pouvoir politique est la source unique au droit à la violence, si il n’avait pas ce droit à la violence il ne pourrait s’imposer à toute la société et aux autres pouvoirs. Il y a bien deux sources :

personnes juridiques non étatiques. Ces dernières sont animées par d’autres buts, par exemple une entreprise recherche le plus grand profit. - Enfin le pouvoir d’État a pour caractéristique d’utiliser la force ou la contrainte. L’Etat a le monopole de la violence légitime (car justifiée par le droit). Ce qui lui confère certains attributs (pouvoir de police, armée, justice ... ) qu’il est seul à détenir.Cette thèse a été développée contre les prétentions de l’Eglise à détenir « un glaive » (qui ne

hors de l'État, rien contre l'État!» Un monopole des moyens de persuasion (R.Aron) ou le système de pouvoir policier terroriste reposant sur le monopole des moyens de communication (C.Friedrich) ou la propagande (H.Arendt): le monopole de la parole publique - l’abrogation de la liberté de la presse, de autonomie des universités et établissements de recherche ; la prise en main de éducation des jeunes; l’importance accordée la propagande officielle Un monopole des moyens de force (R.Aron) ou un système

sociologue va décomposer des situations sociales pour en extraire des idéaux types. Pour M.Weber, « L’État moderne est un groupement de dominations de caractère institutionnel qui a cherché (avec succès) à monopoliser, dans les limites d'un territoire, la violence physique légitime comme moyen de domination et qui, dans ce but a réuni dans les mains des dirigeants les moyens matériels de gestions. » → Opposition avec Durkheim. Weber ne nie pas le conflit et la domination. Pour saisir la spécificité de l’État

financier qui renvoie au monopole étatique d'imposer. Par conséquent, il y aurait une influence de l'environnement immédiat sur la production de violence, et notamment de l'architecture urbaine telle que celle des grands ensembles, tours et autres barres des années 1960 sur les jeunes qui y vivent.[réf. nécessaire]. Des pratiques dites déviantes telle que la toxicomanie15, pratique qui nécessite la mise en place de trafics dont la protection exige souvent le recours à la violence. La consommation éventuelle

Exposé : Violence/Médias Comment aborder la notion de violence au jour ou les médias dominent la vision de nos sociétés ? 1. La violence et ses origines 2. Le rôle des medias dans la propagation de la violence Introduction : La violence est un sujet actuel qui traite d’une réalité sociale plus ou moins divulgué sous son bon angle. Au lendemain des émeutes en banlieue de 2005, qualifiées d’enflammés, il est important de rappeler que les dommages essentiels causés par ces violences

droit sont limités par les textes, et essentiellement par la Constitution. Son pouvoir de droit est complété par son droit de recourir à la violence. La forceutilisée par l’Etat est légitime car elle s’appuie sur le droit ; ainsi il détient les forces de police, armées dont lui seul possède le monopole. Selon Max Weber, l’Etat a ainsi le monopole de la violence physique légitime. L’Etat dispose d’un territoire, d’un gouvernement et d’unepopulation qui lui est propre. C’est ce que nous allons expliciter

droits et devoirs. Théoriquement c'est une organisation politique qui doit permettre à l'individu d'avoir autant de droits et de devoirs que toute autre personne dans cet état. Cela doit permettre de mettre fin au chaos, mettre fin à des rapports de violences, par des écrits. Emmanuelle Cante « la contrainte de la loi n'est pas un obstacle à la liberté mais un obstacle à ce qui fait obstacle à la liberté ». La loi est théoriquement là pour protéger les faibles des forts, pour libérer de la domination

d’un point de vue politique. Les individus prennent position d’un point de vue politique non pas de manière libre mais en fonction de déterminisme socioculturelle, économique, démographique ect. Et que l’état un moyen de domination autour du monopole de la violence légitime. Aussi porteuse de bonne nouvelle, nous invite à dépasser les approches naïves du politique. 1) L’objet de la sociologie politique 2.1) Dépasser le sens commun : de la politique au politique : - La politique : les élections

censitaire permettait un élargissement à la grande bourgeoisie fortunée. À partir du XIXème s. la bourgeoisie fortunée, les grands notables de province, les avocats, les médecins entrent dans l’espace politique et de fait sont amenés à contester le monopole qui était celui des aristocrates sur la vie politique. Les hommes issus d’une fraction de la bourgeoisie moins fortunée pouvait prétendre à participer à la vie politique à partir de 1870. aujourd’hui ce recrutement s’est élargie aux classes moyennes