Monsanto

d’OGM dans le but de proposer un coton plus performant tant dans la qualité de ses fibres, à travers les chercheurs brésiliens implantant des gênes d’araignée dans la matière première, que dans le renforcement de ses défenses, la firme américaine Monsanto injectant les pesticides directement dans les gênes du coton. D’autre part, la production du coton ne peut écarter un questionnement sur l’impact environnemental de cette culture dans le monde, l’enjeu écologique d’un tel système prenant

de mettre sur Ie marcM tout aussi bien un gene isole dont une fonc• tion a ete decouverte, un etre vivant genetiquement modlfle comme la fameuse souris transgenlque de Harvard porteuse d'un cancer Mredltalre ou Ie soja de la firme americaine Monsanto resistant aux herbi• cides, ou encore un mlcro-organisme transgenlque utilise comme producteur d'un medicament (Nolvllle, 1996). Le genie genetique cree une certalne forme de dlverslte genetlque. Le debat se focallse sur les g~nes Dans la

Amérique, dont la moitié aux Etats-Unis. Les deux autres grands producteurs d’OGM sont l’Inde et la Chine. Les OGM font débat dans le monde (texte fausse promesse des OGM) : les Etats-Unis y sont très favorables car les firmes américaines (Monsanto) dominent le secteur. La Chine et l’Inde investissent massivement dans la recherche génétique. Au contraire, en Europe et au Japon, l’opinion publique est plus sensible des arguments des « anti-OGM », qui insistent sur les risques potentiels pour

méthode de Sturm, pour une durée de 28 à 60 jours, sont très variables selon le type de matériaux : ils varient de 100 % pour l’amidon et les polyhydroxybutyrate/hydroxyvalérate (PHBV initialement com, mercialisés sous le nom de BiopolTM par Monsanto), à 50 % pour des mélanges amidon-polycaprolactone (Mater-Bi® de Novamont), et sont presque nuls pour des acides polylactiques (PLA) ou les polyéthylènes. Les PLAs ne sont en effet biodégradables (hydrolysables, voir point 4.2) qu’en situation

que les prix du blé, du soja ou du maïs du monde entier sont fixés par la « BOARD OF TRADE ». * L’agriculture américaine est fortement intégrée dans un système agro-industriel où le producteur dépend fortement des industriels (FMN / Cargill, Monsanto, Pepsie-schéma) en amont comme en aval. Ce système inclut 20% des actifs. L’agriculture américaine est délibérément tournée vers le futur par une mécanisation poussée : on parle « d’agriculture de précision ». 2) La première place financière

l’acide sulfurique  L’atelier de l’acide sulfurique du Maroc Phosphore II (MP II) comprend trois lignes identiques A, B et C de capacité de production unitaire 1750 t/j d’acide sulfurique concentré à 98,5 % selon le procédé simple d’absorption “MONSANTO“. Il assure en outre la production de la vapeur à haute pression (57 bar à 490°C) à partir des chaudières de récupération. La production de l’acide sulfurique 98,5 % subit une dilution pour atteindre la valeur de 84% qui est nécessaire pour la

du marché mondial et 1/5 des actifs. Ce secteur comprend en amont, les machines, les produits chimiques, l’énergie ; et en aval, le conditionnement, le transport et la distribution des produits. L’agro-business est dominé par les multinationales (Monsanto…) qui constituent des groupes de pression ou lobby qui n’hésitent pas à peser de tout leur poids sur les gouvernements (cf. guerre douanière avec l’UE pour le bœuf aux hormones) Le paysage agricole étasunien est très varié et la modernisation de

Il est sûr que la mondialisation favorise la diffusion des OGM. Ils représentent des profits pour les laboratoires qui les créent, en dépose les brevets et pour les puissantes FTN agroalimentaires qui les commercialisent (n°1 mondial, l’américain Monsanto). Les Etats-Unis, la Canada et l’Argentine cherchent à les étendre. MAIS : On ne sait toujours pas si ils représentent un danger ou bien l’espoir de nourrir toute l’Humanité. Déforestation, érosion des sols et pollution des eaux sont surtout

grandes plaines, les exploitations disposent souvent de 1000 à 2000 hectare et sont gérées comme des entreprises. Agriculture scientifique, recherche agronomique très développé (sélection des races animales, des semences, recherche sur les OGM : Monsanto). Utilisation massive d’engrais, de pesticides. 1er rang pour le maïs, le soja et le lait, 2ème pour le blé, les agrumes et le coton et le cheptel porcin, 3ème pour les arachides et les bovins. L'agriculture est étroitement liée aux secteurs industriel

de succès : * en 2004, l'Union Européenne a décidé que les produits qui contenaient plus de 0,9% d'OGM devaient être signalés * en février 2008, le gouvernement français a suspendu la culture d'un maïs OGM (le MON 810 commercialisé par Monsanto) * en décembre 2008, les ministres de l'Environnement de l'Union Européenne ont demandé une révision du système d'évaluation des OGM.   C'est bien, mais nous ne pouvons pas nous arrêter là. Nous demandons une réforme profonde des méthodes