Monsanto

devient une solution parfaite pour répondre aux impératifs de rendements. Le coton génétiquement modifié est aujourd’hui produit par la plupart des grands pays producteurs : en Chine, en Australie, en Inde, au Brésil... Aux Etats-Unis, c’est le groupe Monsanto, pionnier en matière de commercialisation de traits OGM, qui réalise le premier «coton génétiquement modifié à l’aide d’un gène du microbe Bacillus Thuringiensis capable de tuer les chenilles et les larves, et qui sera inséré dans le cotonnier lui-même

gauche, du centre et de droite, les cinq femmes demandent à travers cet appel que "soient revues, comme le permettent les textes communautaires et nationaux, les études qui ont permis l’autorisation de mise sur le marché du NK603", le maïs OGM de Monsanto étudié par le biologiste Gilles-Eric Seralini. L’étude, publiée le 19 septembre par ce chercheur engagé, mettait en avant la toxicité possible de ce maïs génétiquement modifié pour résister au RoundUp, un herbicide également commercialisé par la

cesser le financement de projets reposant sur la culture intensive du soja. En Amérique latine, plusieurs mouvements de résistance se sont mis en place, rejoignant les campagnes contre le soja transgénique désormais bien implanté en Argentine par Monsanto et également au Brésil. AUTRES Deux types de molécules diminueraient le développement des plantes et s'accumuleraient dans leurs tissus. C'est l'été, l'heure des crèmes solaires, des embouteillages de voitures diesel qui prennent l'autoroute

mettent au point des OGM qui ne présenteront aucun risque et permettront d’améliorer la vie des populations mondiales.               Il est aussi important que ces OGM soient profitables à tout le monde : pas seulement aux grandes entreprises comme Monsanto, mais aussi aux agriculteurs et aux population du Tiers-monde victime de famines. En effet, même si un avantage souvent cité est celui que les OGM pourront permettre de nourrir les populations des pays en voie de développement, celui-ci n’est en

industries locales). Elles provoquent aussi parfois des désastres écologiques (ex de Shell qui est responsable selon les altermondialistes du plus grand déversement souterrain d'hydrocarbures en Afrique du Sud). Il y a aussi les multinationales comme Monsanto à qui bénéficient la culture des OGM et qui ont tenté d'interdire l'étiquetage sur les produits. Et pour finir, les altermondialistes s'opposent aux multinationales du médicament qui, par leurs brevets et le prix de leurs produits, empêchent les

de ses relations avec Obasanjo ». Il ferait 40% de son chiffre avec la Nigeria. Le cabinet effectue des missions de « polissage d’image » pour le Nigeria notamment et travaille pour de grandes sociétés telles que Chevron-Texaco, General Electric, Monsanto ou Coca Cola. GoodWorks International remporte 1,5% des contrats obtenus par les entreprises pour GoodWorks International. Les critiques pleuvent de plus en plus sur Andrew Young (co-fondateur de GoodWorks International) et ses affaires africaines

l'Avocat général à la consommation James Turner en août 1974, de même que des enquêtes sur les pratiques de recherche de G.D. Searle amenèrent la US Food and Drug Administration (FDA) à retarder son approbation de l'aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes.       L'Aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L'Aspartame est tenu pour coupable

production cotonnière est environnementale. En effet l’utilisation de pesticide et d’engrais chimique dégrade le sol et l’environnement. Néanmoins le plus grand danger vient du coton génétiquement modifié proposé principalement par la firme multinationale Monsanto ayant une emprise économique sur les paysans (vends la graine de coton génétiquement modifié et l’engrais qu’elle nécessite par la même occasion), et dont les produits OGM peuvent contaminer les autres cultures. Le coton OGM peut aussi en outre voir

industrielle moderne tend inévitablement à détruire l'équilibre écologique. » « Mais par la suite, il reconnaît que la technologie actuelle, la technologie industrielle moderne réellement existante – par exemple celle imposée par les trusts chimiques comme Monsanto – est dangereuse et nuisible. Il insiste simplement sur l'idée que cette orientation technique n'est pas la seule possible: dans une perspective socialiste on donnerait « la priorité au développement d'une autre technologie, tendue toute entière

pas de place pour la liberté, l'autonomie, la diversité, la création. Aujourd'hui, beaucoup de Français ne comprennent pas le rapport entre les OGM et le reste du système. Ils croient que les OGM sont dus à quelques multinationales bizarres comme Monsanto, BASF, Bayer, etc. Les OGM ne sont pas un accident, ni un complot, c'est la suite logique de ce système totalitaire. Lorsque quelques multinationales contrôlent quasiment l'ensemble du marché mondial, que font-elles ? Elles cherchent à aller toujours