Monseigneur Myriel

(ou qui symbolisent) une morale précise : Monseigneur Myriel (évêque avec une morale idéale ; il est le Bien personnifié) ; Gavroche (l’intrépide enfant de la Rue) ; Javert (policier qui incarne l’implacabilité de la justice de l’époque, la Loi c’est sa religion) ; et Thénardier (le malhonnête, le méchant voleur). En effet, Jean Valjean devient une personne avec une morale idéale, (parfaite), après sa rencontre avec l’évêque, Monseigneur Myriel. Du coup, il se retrouve dans l’oubli social

famille originelle grâce a sa réconciliation avec son grand père. L’évêque (Monseigneur Myriel) : Il fait preuve de charité chrétienne, est à l’origine de la conversion de Jean Valjean. Il est attentif au bien des êtres les plus misérables. Il donne son évêché pour le reconstruire en hôpital car se dernier trouve l’hôpital actuel trop petit. Il a beaucoup appris de sa rencontre avec le grand conventionnel. Monseigneur Myriel avait besoin de l’avis du grand conventionnel pour qu’il fasse de bonnes

Partie I : Un juste Chapitre 1 : Monsieur Myriel Chapitre 2 : Monsieur Myriel devient monseigneur Bienvenu Chapitre 3 : A bon évêque dur évêché Chapitre 4 : Les œuvres semblables aux paroles Chapitre 5 : Que monseigneur Bienvenu faisait durer trop longtemps ses soutanes Chapitre 6 : Par qui il faisait garder sa maison Chapitre 7 : Cravatte Chapitre 8 : Philosophie après boire Chapitre 9 : Le frère raconté par la sœur Chapitre 10 : L’évêque en présence d’une lumière inconnue Chapitre 11

combats de Jean Valjean entre le bien et le mal, son rachat jusqu'à son abnégation, le combat de Javert entre respect de la loi sociale et respect de la loi morale. Les Misérables est aussi un hymne à l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire4) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page de

classe les personnages du point de vue de leur importance dans la trame narrative des Misérables, on peut distinguer, selon Brochu, un « personnage soleil », c’est-à-dire le héros des Misérables (Jean Valjean), des « personnages planètes » (Monseigneur Myriel, Fantine, Cosette, Marius, Thénardier, Javert) et des « personnages satellites ». Par le terme de « personnage satellite », André Brochu désigne les personnages qui n’apparaissent qu’en relation avec d’autres personnages. Tholomyès, par exemple

prison, mais en tant qu'ancien détenu, il est méprisé par la société française et personne ne lui offre un abri, à l'exception de l'évêque Myriel, qui l'aide de manière désintéressée. Un mauvais jour, Valjean s'enfuit de la maison de l'évêque, volant à nouveau, dans ce cas des couverts en argent. Avec une telle malchance que la police l'attrape, mais malgré cela, Myriel, au lieu de l'abandonner, décide de lui donner une autre chance et de lui pardonner, en lui faisant jurer de devenir un homme bon. Mais

ans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très chichement dans son diocèse de Digne en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Son

prostituées comme Fantine, des forçats comme Valjean, et des hommes politiques comme les stupides cocos de l’A B C ? Pas une fois on ne les voit souffrir dans le fond de leur âme. Ce sont des mannequins, des bonhommes en sucre, à commencer par monseigneur Bienvenu. […] Où est l’évêque qui demande la bénédiction d’un conventionnel ? […] Quant à leurs discours, ils parlent très bien, mais tous de même ». Ce jugement de Gustave Flaubert vous paraît-il correspondre à votre lecture des Misérables

combats de Jean Valjean entre le bien et le mal, son rachat jusqu'à son abnégation, le combat de Javert entre respect de la loi sociale et respect de la loi morale. Les Misérables est aussi un hymne à l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire[3] ) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page

combats de Jean Valjean entre le bien et le mal, son rachat jusqu'à son abnégation, le combat de Javert entre respect de la loi sociale et respect de la loi morale. Les Misérables est aussi un hymne à l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire[3] ) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page