Monsieur De Ronsard

fait partie de la branche des ducs de Retz. Monsieur le Connestable, p.171 : Son rôle était de commander l’armée. Ici, c'est Anne de Montmorency. Il a entre autres dirigé le siège du Havre contre les Anglais, évoqué p.169. Monsieur le mareschal de Bourdillon, p.175 : Imbert de la Platière de son vrai nom. Catherine de Médicis le fait nommer Maréchal de France en 1562. Il contribua à la victoire du Havre. Aussi : Duc d'Alba, Amiral et Andelot, Monsieur de Guise. 2. Pour ce qui est du critère d'

la plus connue), section Spleen et Idéal, bon exemple des productions macabres ou fantastiques du romantisme noir (début 19ème siècle), un couple en promenade tombe sur une charogne, qui devient le sujet du poème, revisite du carpe diem chanté par Ronsard mais avec une dimension macabre dominante, inverse valeurs et exprime volonté transformation horrible en objet esthétique, véritable thème du poème = fonction de l’art et pouvoir artiste de recomposer le réelProjet de lecture : comment

les mentions d’un temps qui est personnifié, le «pas» du vers 4 étant «les pas du temps qui s'enfuit». La deuxième et la troisième strophes manifestent la révolte de l’être humain devant la fuite du temps et devant l’éternité de la nature, que Ronsard avait déjà exprimée (par exemple dans «Quand je suis vingt ou trente mois / Sans retourner en Vendômois....»), mais qui venait d’être ranimée par Lamartine (particulièrement dans “Le lac”) et qui est un des grands thèmes du romantisme . Au vers

que nul ne peut cueillir ! Votre aile en le heurtant ne fera rien répandre Du vase où je m'abreuve et que j'ai bien rempli. Mon âme a plus de feu que vous n'avez de cendre ! Mon cœur a plus d'amour que vous n'avez d'oubli ! Pierre de Ronsard, XVI siècle Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse, Pour ce bel oeil, qui me prit à son hain, Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein D'ambre et de musc, baiser d'une Déesse. Je veux mourir pour cette blonde tresse, Pour l'embonpoint

du titre et du sous-titre de l’ouvrage soulignés ou en italique, du lieu d’édition, de la maison d’édition, de la collection entre guillemets, de l’année de publication et des pages correspondant au chapitre, au poème ou à l’extrait. Exemple : RONSARD, Pierre de, « Quand vous serez bien vieille… », dans SABBAH, Hélène et al. Littérature, textes et méthode, Paris, Hatier, 1993, p. 63. 5.3 Dictionnaires ou encyclopédies Les renseignements bibliographiques sont présentés dans l’ordre suivant

texte, ici soumis à notre étude, évoque la mort prématurée de Nusch, la jeune épouse du poète, mais surtout le désespoir de ce dernier et sa nostalgie du bonheur perdu. Ces thèmes ont déjà été traités par les poètes lyriques des siècles passés comme Ronsard par exemple ; nous verrons comment Eluard les renouvelle par le moyen d'une écriture simple, mais qui parvient à suggérer toute la gravité de cette perte. Nous étudierons d'abord le thème dominant du poème : la douleur de la séparation, et la dimension

b) Portraits des personnages jansénistes de l'oeuvre Monsieur de Sainte-Colombe Il aurait été en contact avec des familles protestantes. (source:Jonathan DUNFORD, musicien américain). A partir de ces quelques informations, Pascal Quignard imagine alors un personnage musicien, austère et intransigeant, proche du jansénisme. Bien qu'on ne sache pas précisément les dates de vie et de mort du musicien, s'il est né vers 1640, le roman commence "au printemps 1650", dans le livre, Sainte-Colombe

ANTHOLOGIE SOMMAIRE Poésie expression de l’humain 3 Eluard,L'intèrprète 3 Verlaine, Il pleure dans mon coeur 6 Malherbe, Consolation à monsieur du Perier 8 Poésie exercice verbale 10 Careme, Ponctuation 10 Apollinaire, La colombe poignardée et le jet d’eau 12 Charpentreau, A l'écoute de Jacque 14 Poésie engagée 16 Rimbaud, Dormeur du val 16 Desnos, Ce qui haissait le guerre 19 Agrippa d’Aubigné, Les tragiques 23 Poète un prophète, un devin 25 Baudelaire, L'albatros 25

(Ardennes), le 24 mai 1870. | |  | |À Monsieur Théodore de Banville. | |  |

les mentions d’un temps qui est personnifié, le «pas» du vers 4 étant «les pas du temps qui s'enfuit». La deuxième et la troisième strophes manifestent la révolte de l’être humain devant la fuite du temps et devant l’éternité de la nature, que Ronsard avait déjà exprimée (par exemple dans «Quand je suis vingt ou trente mois / Sans retourner en Vendômois....»), mais qui venait d’être ranimée par Lamartine (particulièrement dans “Le lac”) et qui est un des grands thèmes du romantisme . Au vers