Monstre de Frankenstein

films d'horreur. Le film d'horreur, ou film d'épouvante, est un genre cinématographique dont l'objectif est de créer un sentiment de peur et d'angoisse chez le spectateur. Parmi les films d'horreur les plus connus, il est possible de citer : Frankenstein de James Whale, Dracula de Tod Browning, L'Exorciste de William Friedkin, Halloween de John Carpenter, Vendredi 13 de Sean S. Cunningham, La Colline a des Yeux, Les Griffes de la nuit, Scream de Wes Craven, la saga Resident Evil de Paul W.S. Anderson

nous rappelle le film des Lumière, Aki Kaurismäki utilise dans L'Homme sans passé trois figures du fantastique : la résurrection, la momie et l'homme invisible. La momie est indissociable des autres monstres du bestiaire fantastique : le vampire, le golem, le zombie, la créature du docteur Frankenstein, etc. Présente à la fois dans la littérature et dans le cinéma, la momie apparaît dans le film de Kaurismäki à plusieurs fins : le réalisateur tient à transformer son histoire en fable, il fait un clin

Frontispice de l'édition de 1831. Frankenstein ou le Prométhée moderne (Frankenstein; or, The Modern Prometheus) est un roman publié en 1818 par la jeune Anglaise Mary Shelley, maîtresse et future épouse du poète Shelley. Son système narratif est fondé sur une série de récits en abyme enchâssés les uns dans les autres. Le cadre général est celui d'une tentative d'exploration polaire par Robert Walton ; à l'intérieur se situe l'histoire de la vie de Victor Frankenstein, recueilli par l'explorateur sur

Dans son roman "l'homme qui rit" victor hugo évoquait les fameux comprachicos qui mutilaient les enfants pour les exposer dans des foires. Ces monstres satisfaisaient à un goût de l'étrange et de l'horrible qui sembleent habiter l'homme. "Mais les monstres suscitent t-ils fascination ou répulsion?" La question se pose en effet lorsque l'on constate l'engouement pour ces créatures réels ou imaginaires qui peuples la mythologie, la littérature, le cinéma et l'art en général. Mais ces sentiments opposés

le monde Burtonien est à l'image de son créateur, complexe, infiniment riche, extrêmement sombre et délicatement enfantin et innocent. Si on veut résumer le monde de Tim Burton en quelques mots, on pourrait dire : Johnny Depp pale, épouvantails et monstres, musique signée Danny Elfman, rayures noires et blanches, décor sombre et déstructuré… Ces éléments définissent en quelques sortes les films étranges de Tim Burton et les unifient dans un même style qui rend hommage à l’expressionisme Allemand et

l’Odyssée à travers ses monstres permet d’aborder nombre de notions à la fois culturelles, narratives et techniques à travers des figures fantastiques impressionnantes et évocatrices. On pourra aussi opérer certains prolongements grâce à un parallèle avec des représentations plus contemporaines du monstre, dont les élèves sont assez familiers (cf. Bibliographie). Une séquence qui choisirait ce thème pour fil directeur pourrait s’appuyer sur une étude des différentes fonctions du monstre dans l’Odyssée

capable de refaire la même expérience que ces personnages ? Mais il arrive que le héro ne soit pas un héro. Comme dans le livre Frankenstein de Mary Shelley écrit en 1816, le héro est le docteur Victor Frankenstein, mais il est en même temps son antihéros ou aussi il le crée, par son œuvre. Il crée un monstre et tente de le tuer ensuite, pour se venger de ce que ce monstre a fait à sa femme. Le héros du roman n’a pas accomplis d’acte héroïque, il a tenté d’imité Dieu en créant la vie malgré sa bonne

vers 1920 l'expressionnisme Allemand avec ses jeux d'ombres et de lumières, ses décors étranges et déformés (Le cabinet du Docteur Caligari, Robert Wiene, 1919), ses personnages tourmentés et excessifs : des criminels comme Mabuse, toutes sortes de monstres (Le cabinet des figures de cires, Paul Leni, 1924 ; Nosferatu, le vampire, Murnau, 1922). Entre 1931-1939 aux Etats-Unis, c'est l'âge d'or du cinéma fantastique américain. On assiste à l'avènement des grands mythes inspirés des classiques de la littérature

la statue d’ivoire qu’il a lui même sculpte, ainsi après ses prière auprès de la déesse Venus, celle ci donne vie à sa sculpture qui devient alors sa femme. Le deuxième texte quand à lui est l’histoire de Frankenstein qui a trouver le moyen de donné la vie a sa création désigner comme un monstre. Dans ces deux textes, le processus de création est le même mais il est abordé de manières différentes, ainsi le lien qui les unit et les oppose à la fois est la relation entre le créateur et la création

parfois, bien plus intéressants que les personnages-même Par ailleurs, l’identification est quasi absente parfois comme c’est le cas dans le roman de Mary Shelley. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein sont plus problématiques dans la mesure où on ne peut s’identifier ni à un monstre (qui du reste s’humanise au fil du roman) ni à un savant obnubilé par ses recherches et qui lui a donné la vie. L’identification tient ici à ce que tous deux représentent le coté obscur de l’homme