Monstre de Frankenstein

Surtout en Amérique du Nord, le symbolisme est inspiré par les classiques du cinéma d'horreur, avec des personnages comme Dracula, le monstre de Frankenstein, le Loup-Garou et la Momie. Les maisons sont souvent décorées avec ces symboles. Tradition: La tradition moderne veut que les enfants se deguisent avec des costumes qui font peur (fantômes, sorcières, monstres, vampires) et aillent sonner aux portes en demandant aux adultes, des bonbons, des fruits ou de l'argent avec la formule : Trick or

contaminer leur entourage, en particulier s’il est vertueux. Par ailleurs, l’identification est quasi absente parfois comme c’est le cas dans le roman de Mary Shelley. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein sont plus problématiques dans la mesure où on ne peut s’identifier ni à un monstre (qui du reste s’humanise au fil du roman) ni à un savant obnubilé par ses recherches et qui lui a donné la vie. L’identification tient ici à ce que tous deux représentent le coté obscur de

contaminer leur entourage, en particulier s’il est vertueux. Par ailleurs, l’identification au personnage principal est parfois absente par exemple dans le roman de Mary Shelley. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein sont plus problématiques dans la mesure où on ne peut s’identifier ni à un monstre ni à un savant obnubilé par ses recherches et qui lui a donné la vie et donc l’identification ici permet de représenter les deux du côté Obscur. Le héros romanesque est particulier dans

mortel. Une des premières citations chez Marlowe, comme chez Goethe réside dans la volonté d’agir sur la vie elle-même. Le mythe se rapproche en cela d’une autre grande figure née au début du XIXe siècle : Frankenstein. Mais alors que Faust ne se définit que grâce à Méphistophélès, Frankenstein n’a pas besoin du diable (donc de la magie) pour dépasser sa condition et se lance dans un processus « rationnel » pour créer sa créature.(4) Faust demeure - pour reprendre l’expression de Michel Schneider-

français avides de raccourcis et de vengeance au début de la Grande Guerre. Sauf que cette dénonciation des « porcs allemands », nous montre l'historien critique, se retourne contre les propagateurs de cette idéologie facile et dégradante; les monstres, ce ne seraient pas les Français eux-mêmes, aptes à tout croire, à tout faire croire au nom d'idéaux tout aussi sanguinaires que les ennemis qu'ils dénoncent? Le cas est encore plus simple avec le document n°5, une couverture de la revue mensuelle

bien. D'autre part, le mystère autour du personnage de Hyde contribue à une atmosphère inquiétante. En effet, les premières impressions des personnages quand ils rencontrent Hyde ne sont pas des plus stupéfiantes. Pour la plupart, la présence de ce monstre est dérangeante et provoque du dégoût et de la haine (p.7) : « le visage d'un homme dont les entrailles étaient inaccessibles à la pitié ; un visage auquel il suffisait de se montrer pour susciter dans l'âme du flegmatique Enfield un sentiment de

incluse sur un album intitulé Musiques de films d’Audrey Hepburn. « La fiancée de Frankenstein » de Francis Ford Coppola Le Lord Byron persuade Mary Shelley de continuer l'histoire terrifiante de la créature qu'elle a imaginée. Près des cendres du moulin, les parents de la petite fille noyée découvrent que le Monstre n'est pas mort. La créature a échappé à l'incendie et les tue. Ne voulant plus être seul, le Monstre sauve une bergère de la noyade mais il est capturé par les habitants du village

bonne place au rang des obstacles qui s’opposent à Ulysse un certain nombre de monstres, qu’Homère décrit en déployant les talents de son imagination fertile. Quel rôle l’évocation des monstres joue-t-elle alors dans le texte ? Au-delà de leur fonction descriptive, en quoi ces créatures servent-elles de faire valoir à l’homme grec qu’est Ulysse, et de repoussoir pour le lecteur ou l’auditeur de l’épopée ? Les monstres ont tout d’abord une fonction narrative certaine. Leur évocation laisse tout

influencée par : - mythologie grecque (que les romains se sont ensuite réappropriés) Grandes figures, lieux communs Homère : grand conteur du 8ème siècle avant J.C = l’Illiade et l’odyssée Mise en scène des stéréotypes de personnages : des monstres, des centaures, des sirènes, des cyclopes…Ces personnages vont évolué avec le temps : cyclope => ogre Agamemnon : un roi Clytemnestre : la femme du roi, infidèle Médée : la sorcière Des héros : Achille, Jason, Ulysse, Hercule… Hercule : toujours

âme au diable en échange de la jeunesse éternelle qui lui permettra de poursuivre ses recherches. Hamlet est le type de l'homme irrésolu, dont l'attitude incompréhensible sème le trouble, la mort et la folie autour de lui. Le monstre créé par le docteur Frankenstein, rappelle une vieille légende juive, celle du Golem : un vieux kabbaliste avait créé, avec de la terre et des formules magiques un être. Il avait gravé sur son front le mot « Emeth » (connaissance) ; quand la créature devint meurtrière