Monstre de Frankenstein

Nom : Date : Prénom : Classe : Français : contrôle de lecture M.Shelley, Frankenstein Texte littéraire : /30 E.E : /10 Orthographe : /10 Les narrateurs Différents narrateurs se succèdent tout au long de l’histoire. Citez-en deux pour lesquels vous établissez le portrait . /5 Situation spatio-temporelle a. Relier chaque personnage à la ville qui lui correspond : /5 William Genève Elizabeth Saint-Pétersbourg Robert Walton Paris

contaminer leur entourage, en particulier s’il est vertueux. Par ailleurs, l’identification est quasi absente parfois comme c’est le cas dans le roman de Mary Shelley. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein sont plus problématiques dans la mesure où on ne peut s’identifier ni à un monstre (qui du reste s’humanise au fil du roman) ni à un savant obnubilé par ses recherches et qui lui a donné la vie. L’identification tient ici à ce que tous deux représentent le coté obscur de l’homme

son combat pour la justice. Il y a donc une morale, celle de ne jamais lâcher ses efforts, il faut au contraire persévérer jusqu'à atteindre son but » « Mais, il ne reflète pas énormément de personne regarde le monstre qu'à créé Frankenstein dans le roman de Mary Sheylley. Le monstre reflète les sentiments tel que la solitude, la place qu'à son créateur, il y a donc un lien qui les réunis. Celui-ci va commettre des crimes, ce qui le catégorise d'anti-héros mais il va tout faire pour que son créateur

n'est pas pour autant désagréable. Le héros peut être en effet tellement extraordinaire qu'il est impossible pour nous de nous mettre à sa place. Mary Shelley imagine un personnage pour le moins habituel dans Frankenstein ou le Prométhée moderne, il s'agit d'un monstre crée par Victor Frankenstein. Il est malaisé de s'identifier à cette créature. Bien avant cette écrivaine, François Rabelais dans Gargantua met en scène des géants, à l'image de Grandgousier qui porte bien son nom, ou de Gargamelle. Difficile

maintenir l'intérêt du lecteur. Ex : · les héros des romans de Jean Genet, glorifiés par leur crime et leur débauche peuvent s'apparenter à des héros noirs ou « mauvais » · Le professeur Frankenstein et son monstre dans le roman éponyme de Marie Schelley. 3) L'intérêt de l'anti-héros : caractéristique de l'humanité, il pousse à la réflexion En opposition à la domination dans le roman du héros positif, certains romanciers préfèrent mettre en

que ses enjeux, vous pouvez revenir sur la dimension semble-t-il inéluctable du progrès technique en montrant qu’à côté des bienfaits, on peut relever des méfaits de ces progrès. Pensez, par exemple à Frankenstein qui utilise les connaissances scientifiques et les progrès techniques pour créer un monstre qui lui échappe et qu’il ne parvient plus à maîtriser. Pensez au fait que les progrès technique ont pu permettre de créer des bombes atomiques…On saisit alors immédiatement la nécessité d’une maîtrise

MONSTRES ET MONSTRUOSITE Introduction : A/ d’abord consacré au mot Le mot monstre a de multiples sens : -un être vivant présentant une importante malformation, la science qui étudie ces êtres est la tératologie. -un être fantastique que l’on trouve dans les mythologies, les films et qui est particulièrement effrayant. Ex : centaures, cyclope -un être particulièrement mauvais sur le plan moral, ex : Dutroux est donc un monstre, Eichmann et Hitler sont ils des monstres ? (Hannibal etc.)

Selon la doxa, dans un premier temps nous étudierons , en nous appuyant sur le mythe de Prométhée ainsi que sur Descartes, comment la technique libère l’homme des dangers qui l’entourent. Dans un deuxième temps, avec Aristote, Hannah Arendt ainsi Frankenstein ou le prométhée moderne nous verrons les conséquences asservissantes de la technique. Dans un premier temps, nous étudierons comment la technique libère l’homme de la nature. Tout d’abord, il est important de se demander de quoi l’homme a t-il

les représentations de la science-fi ction et méritent d’être interrogées à nouveaux frais. Le mythe d’un pouvoir démiurgique de la technique bricolant le vivant, la nature comme le corps humain, réinventant un nouveau Frankenstein ou des espèces hybrides, monstres modernes, hante les esprits. Poussée à outrance, cette logique engendre des visions cauchemardesques d’une société entièrement soumise à un contrôle à la fois omniprésent et de plus en plus déshumanisé, s’insinuant jusque

rétrograde : en fait elle va à rebours du temps pour répéter à satiété les mythes archaïques où l’imagination humaine semble s’épuiser (…) » Elle continue en comparant la science-fiction au mythe : « elle à beau raffiner sur l’extra-terrestre, ses monstres bardés de gadgets et ses créatures innommables dissimulent mal leur parenté avec les dragons malfaisants du répertoire immémorial : disposant de force prodigieuses capables de ramener le monde du néant d’avant la Genèse, ils méditent les même forfaits