Monstre de Frankenstein

du trente-un Octobre,veille de la Toussaint. Fete originaire des Iles Britanniques=Etats-Unis, Irlande,Canada,Australie et Grabde-Bretagne. La tradition moderne est que les enfants se deguisent avec des costumes qui font peur (fantomes,sorciéres,monstres ,vampires …) et aillent sonner aux portes des maisons voisines pour demander des bonbons,fruits ou argent en disant :Trick or treat !=Farce ou friandise ! ou Happy Halloween !Au Quebec les enfants crient :Bonbons s’il vous plait !.La collecte de

pour réfléchir au-delà du film. • Le monde de demain, collection Les Yeux de la découverte, Puis un vade-mecum (bibliographie, glossaire, adresses internet). 2 Gallimard Pinocchio, de Carlo Collodi, Folio Junior n° 283, Gallimard Frankenstein, de Mary Shelley, Folio SF n° 5, Gallimard Fahrenheit 451, de Ray Bradbury, Folio SF n° 3, Gallimard Contes choisis, de Grimm, Folio classique n° 3372, Gallimard La Vénus d’Ille, de Prosper Mérimée, La bibliothèque Gallimard n° 76 • •

mais ils possèdent alors d'autres qualités ou du caractère qui les rend attachant. Quasimodo, dans le Bossu de Notre Dame de V. Hugo, archétype du "monstre sympathique", atteint de déformations physiques, il reste capable de sentiments, amoureux d'Esméralda, il va mourir auprès de son corps après qu'elle fut exécutée. De même, la créature de Frankenstein, inventé par Mary Shelley, est hideuse et criminelle, pourtant elle touche le lecteur par sa particularité, elle est paradoxalement émouvante. Cependant

dans la foule en cherchant éperdument un être de chair et de sang sur qui se poser, pour se gonfler de sa chaleur et de sa vie : c'est le lecteur ». Selon Michel Tournier, le lecteur serait donc la « victime » du roman, que Tournier compare à un monstre. Le lecteur aurait donc une place minime dans la naissance et l’existence du roman, puisqu’il ne servirait que d’intermédiaire entre l’auteur et sa création. Nous pouvons donc nous demander si la part qu'accorde Michel Tournier au lecteur n'est pas

époques : XVII et XXème) | L’Homme et la Nature | Le jardin | Le jardin est-il un moyen de représenter le rapport entre l’homme et la Nature. | Frontières | La place du monstre dans la littérature | Quelle est l’actualisation des mythes dans chacune des œuvres du corpus ? (Frankenstein de Shelley, L’Eve future, de Barbey d’Aurevilly, Faust, de Goethe, L’étrange cas du DR Jekyll et Mr Hyde, de Stevenson) |   |   |   |   |   |   |   |  

lois de la nature. Le créateur, ou explorateur, de ces techniques prend le rôle d' « apprenti sorcier », qui se prendrait pour Dieu comme dans le roman éponyme Frankenstein de Mary Shelley – autrement appelé le « Prométhée moderne » en référence au mythe de Platon – où le professeur Frankenstein souhaite créer un être humain, un monstre, qui lui échappera par la suite. Cela montre que seul Dieu est l'auteur des lois de la nature et de la vie. L'homme utilise quand même une certaine puissance

Tenue de soirée (1986) Trop belle pour toi (1991) Decision at sundown (1957) Qui tire le premier ? (1971) Le bel Antonio (1960) Ce merveilleux automne (1969) Léo the last (1970) Délivrance (1972) Zardoz (1974) Excalibur (1981) Trains potting (1996) Frankenstein (1995) Beaucoup de bruit pour rien (1996) Hamlet (1997) Jean-Claude BIETTE : Bertrand BLIER : Budd Oscar BOETTICHER : Mauro BOLOGNINI : John BOORMAN : Danny BOYLE : Kenneth BRANAGH : Marlon BRANDO : Robert BRESSON : La Vengeance

révolution industrielle au XIXe siècle. Ses pères fondateurs sont généralement considérés comme étant Jules Verne et Herbert-George Wells, mais le vrai premier roman de science-fiction est dû à une femme : c'est le Frankenstein de Mary Shelley (paru en France en 1821). Car le monstre créé par le fameux docteur, même s'il évoque le Golem des traditions juives, n'est ni un démon, ni le résultat d'une invocation magique, mais est le résultat d'applications supposées de l'électricité, découverte peu

l’intrigue. L’intrigue fait donc que le lecteur ne voit pas directement le héros dans l’histoire. C- En revanche on peut ne pas s’identifier au monstre de « Frankenstein » de Mary Shelley où le personnage principal commet plusieurs meurtres, mais on développe à la fin du roman un sentiment de pardon. Le lecteur ne s’identifie jamais au monstre mais arrive quand même à le pardonner lui et son créateur, car l’un veut se purifier de ses péchés en mourant sur un bûcher, et l’autre reconnait ses

spectateur sera amené a rencontré une pléiade de personnages plus extravagants les uns que les autres: Outre le roi des citrouilles, on trouve Sally, poupée de chiffon créée par l' odieu Docteur Finkelstein, qui parodie et reprend l' histoire du monstre de Frankenstein. Ces créatures fantasques évoluent dans des décors insolites, ocillants entre le gotisme baroque et la féerie pure: Champs de citrouilles au faciés ricanants, manoir biscornu, cimetière et laboratoire diabolique encombré de fioles et d' éprouvette