Monstre de Frankenstein

humaines-, son rôle d’agent est renforcé. Ex. : Frankenstein, MARY SHELLEY (1817) Frankenstein est un savant qui crée un homme artificiel à partir de morceaux de cadavres mais, en voyant sa créature, il prend peur et s’enfuit. Le monstre, puissant et conscient, souffre de la peur qu’il inspire. Condamné à la solitude, il se venge de son créateur et de la race humaine en général en tuant les proches de Frankenstein avant d’en finir avec ce dernier. La créature est

Ver Blanc et bien entendu Dracula, son œuvre majeure, qu’il mit 10 ans à écrire et qu'Oscar Wilde décrit comme "le beau roman du sciècle". Cette oeuvre lui permis de se hausser au niveau des auteurs du genre gothique tels que Mary Shelley avec Frankenstein, Stevenson avec Dr Jekile et Mr Hyde, ou Oscar Wilde avec Le Portrait de Dorian Gray. Précurseur de  la littérature moderne, il inspirera également Lovecraft. Bram Stoker meurt le 21 Avril 1912 à l'âge de 64 ans.     Tout a debuté avec un

à leurs peurs pour mieux accepter leur compagnie. Cela dit, il ne faudrait pas surtout pas oublier que la littérature fantastique a aussi cet autre grand mérite d’aider à faire comprendre et accepter tous les exclus de la société (fous, malades, monstres, opprimés, etc.) qui, manifestement, sont autant de figures de l’Autre que de soi. Mais, il est vrai, le fantastique part toujours de ce qu’on connaît : dans le miroir que souhaite nous faire traverser l’écrivain, il y a d’abord — ne nous en déplaise

et parvient à maintenir l’intérêt du lecteur. On cite ainsi Frankenstein ou Le Prométhée moderne (XIXe), roman éponyme de Marie Shelley où le personnage principal, le professeur Frankenstein se dévoue entièrement pendant une longue période à une tâche particulière, ce qui portera ces fruits : il donne naissance à un être surhumain mais hideux d’apparence. Tout au long du roman, il passera sa vie à la traque de ce qu’il a créé : un monstre qui bouleverse les vies humaines. Le héros négatif permet

Jean Potocki, également écrit en français. Une autre caractéristique du roman gothique est la recherche de l'exotisme : l'Italie pour Le château d'Otrante, l'Orient pour Vathek, l'Espagne pour le Manuscrit et Le moine. En 1818 paraît le célèbre Frankenstein de Mary Shelley, un roman charnière profondément enraciné dans la tradition gothique et considéré a posteriori comme le prédécesseur de la science-fiction. Enfin, la parution la même année de deux romans qui parodient le genre gothique (Northanger

littérature---------------------p II/ Un être fascinant et sensuel---------------------p a) Une monstruosité désirable------------------------p b) La morte amoureuse--------------------------------p c) Le vampire d’Edvard Munch------------------------p III/ Un monstre infiltré parmi les humains---------p a) Une apparence humaine-----------------------------p c) Le vampire, entre humanité et bestialité---------p d) L’incarnation de la tentation et du mal -----------p IV/ La fin d’un mythe ---------------------------------p

rapport avec un concept. Pour en revenir à notre fascination pour l'irréel, nous observons que ces monstres légendaires possèdent toujours des concepts en commun à l'humain et donc au réel. Que ce soient des vampires, des loup-garous ; nos monstres restent des images mises bout à bout de sorte qu'elles effraient ,qu'elles provoquent de la peur. On peut penser à la créature du docteur Frankenstein, formée de différentes parties de corps humains issus de cimetières. Et de même, les caractéristiques

souligne le caractère absurde voire grotesque de la guerre et de ce qu’elle a engendré dans la société. .Il nous montre qu'il n'y a rien de bon dans la guerre que tout est mutilation et désolation. On se retrouve avec des hommes “monstres” limite Frankenstein, des êtres humains assemblés et racommodés à la fois avec des prothèses en fer et en bois comme des marionnettes. Malgré ce faux semblant d'humanité dans l'idée que ces hommes soient bien habillés, bien coiffés, qu'ils sortent au café

choses, trop étroite. II. MAIS les personnages romanesques ont d'autres fonctions. 1. Un personnage peut distraire le lecteur, susciter l'émotion, le rire ou les larmes. Manon Lescaut, le chevalier des Grieux la pitié du lecteur. Dracula, le monstre de Frankenstein… 2. Un personnage peut donner lieu à une analyse psychologique. Le bovarysme. Le père Goriot, ce Balzac : Le "Christ de la paternité". Chez Balzac, encore : l'avarice de Grandet, l'ambition de Rastignac. Meursault dans L'Étranger, de Camus

Joueur R. EMMERICH, Le jour d’après FRISON-ROCHE, Premier de cordée A. GIDE, Les Caves du Vatican, le livre V (Lafcadio) W. GOETHE, Faust J. de LERY,Histoire d’un voyage en la terre du Brésil P. PONSON DU TERRAIL, Rocambole M. SHELLEY : Frankenstein ou le Prométhée moderne D. SIMMONS, Ilium R.L. STEVENSON, L’étrange Cas du docteur Jekyll et Mr Hyde E. ZOLA, Au Bonheur des Dames Essais M. CALLON, P. LASCOUMES, Y. BARTHE, Agir dans un monde incertain. Essai sur la démocratie technique