Monstre marin

Français: Ogopogo • Nom Amérindien: n'ha-a-itk, « démon du lac » • Taille: environ 20m • Ressemble à un plésiosaure (dinosaure marin) • Habitât: lac Okanagan (C-B) L’histoire (l’ancienne) Bien avant l'installation des premiers européens, des légendes amérindiennes mentionnaient déjà l'existence de Naitaka (salish : N'ha-a-itk), un « monstre » apparenté à un gigantesque serpent hantant les eaux du lac. N'ha-a-itk était supposé habiter sur le petit îlot de Rattlesnake

L'ODYSSEE - Figures féminines: Charybde et Scylla Scylla et Charybde sont deux monstres marins voisins, surnommées les Roches Planctes par les dieux. On suppose qu'elles résident dans le détroit de Messine. - QUI SONT ELLES? SCYLLA fille de Phorcys et d'Hécate Le dieu Glaucos s'éprit d'elle, mais elle le repoussa ; il s'adressa alors à la magicienne Circé pour lui demander de fabriquer un philtre d'amour. Celle-ci, amoureuse du dieu et jalouse de sa rivale, mit au point un poison que

Voici (enfin pour certains) le deuxième Média's Book, consacré aux monstres de la mythologie grecque, égyptienne et scandinave (nordique). Juste pour dire que le Média's Book sera divisé en trois parties.   LA MYTHOLOGIE GRECQUE: Le centaure: Le centaure était une créature mi-homme, mi-cheval. Les centaures étaient des êtres sauvages, connus pour leur agressivité. Dans les légendes, on disait qu'ils vivaient en Thessalie, et en Arcadie. Le seul centaure qui était sage, c'était Chiron, l'éducateur

sont deux monstres. Dans le récit, cela implique une pause, un temps de répit pour les décrire « physiquement » et les définir en tant que tels. Charybde, elle, « engloutit la saumure de la mer » (chant XII, v. 240) et la « vomit » (v.237) « trois fois d'un jour,/ terriblement » (v.105-106), menaçant d'engloutir « l'équipage tout entier » (v.110). Son statut de monstre est indubitable, il est évident. Scylla est plus ambiguë car elle possède une triple nature, féminine, canine et marine. En effet

de l’animer, accentuant surtout l’horreur et la violence du combat et celle du monstre, tels que le vers : « De rage et de douleur le monstre bondissant ». Par ailleurs, au début du récit de Théramène vers 1598 à 1506, l’emploi de l’imparfait permet de décrire la venue d’Hippolyte. Il indique une action longue, mais il permet aussi d’étendre comme une toile, un support sur lequel va s’appuyer et intervenir le monstre en deuxième partie, lors du passage au présent de narration. Cette valeur de temps

Les monstres dans l’Odyssée sont indéniablement l’incarnation du mal : dans leur sauvagerie, ils représentent tout ce que le lecteur peut craindre : les Lestrygons et le Cyclope sont anthropophages, les Sirènes usent de leur « belle voix »pour attirer les marins et mieux les tuer, et on ne peut pas échapper à Charybde sans tomber dans les bras de Scylla. Ils sont en quelque sorte l'allégorie de l'excès, de la sauvagerie. Malgré leur apparence effrayante, les monstres sont une sorte de pilier pour

Racine, écrit au XVIIème siècle, se doit respecter les règles de bienséance du théâtre classique interdisant la représentation de scènes violentes sur scène. Par conséquent le spectateur ne peut voir directement la confrontation d’Hippolyte et du monstre marin et doit écouter avec attention le discours de Théramène qui relate du combat et de la mort de ce dernier. A l'inverse, on retrouve dans La machine infernale des dialogues entre le sphinx et Œdipe et des didascalies comme à la ligne 5 « Il se

Les monstres dans l’Odyssée a. Les Cyclopes Les Cyclopes (IX vers 106 107) dont le nom signifie “oeil rond” et renvoie à l’image du cratère d’un volcan. La mythologie situe d’ailleurs ces géants dans des zones volcaniques, peut-être proches de l’Etna ou du Vésuve, près de l’actuelle Naples. Dans la mythologie, ces cyclopes sont trois : Brontis, Argis et Steropis. Ils travaillent avec Héphaïstos dans sa forge souterraine. La tradition leur attribue la construction des murailles de Mycènes

soutenu : « ardeur » ; « coursiers »….. Cependant, ce qui fait le plus ressortir ce registre, c’est l’affrontement du héros avec le monstre marin, référence à Neptune, le dieu marin invoqué par Thésée. On y retrouve des hyperboles comme : « ses longs mugissements font trembler le rivage » ou encore : « la terre s’en émeut et l’air en est infecté ». On exagère donc ici la description du monstre pour donner au spectateur et au lecteur l’impression qu’Hippolyte accomplirait un exploit en échappant à la mort. Mais

Tristan L’Hermite, La Mer ‘‘Métamorphoses marines’’ Introduction : Le XVII° siècle est perçut comme le siècle du classicisme étant donné les œuvres phares que l’on connaît entre 1660 et 1680 avec pour auteur le plus connut : Racines. Toute foi, au début du siècle jusqu'à l’installation des règles classiques et surtout à partir de la querelle du Cid (1636) qui a été l’occasion d’un véritable débat sur le théâtre, le mouvement littéraire et culturel Baroque c’est développé. Tristan L’Hermite