Monstres Bts

eux »( l.3, 5, 19 ), entre « je » et « tout le monde »( l.35, 37). Déplacement de la norme. Comme Bérenger est le dernier de son espèce, il est devenu « l'anormal », alors que les rhinocéros constituent la norme de référence : il se qualifie de « monstre »l.27 et se compare, à son désavantage, aux rhinocéros Les rhinocéros sont connotés positivement. Le contraste de la beauté et de la laideur (« je ne suis pas beau »l.1, « ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de

le Divinement Distrait, je ne peux que m’extasier devant la lune et retenir l’impatient Passager noir en espérant que cette douce folie va bien finir et que je vais retourner à cette vie normale et bien rangée où je découpe avec méthode d’autres monstres que moi. Car j’ai l’habitude de le faire en toute liberté, de la main précise et enjouée qui pour l’heure se contente de tenir celle de Rita, tout en s’émerveillant durant une lune de miel – quelle ironie ! ― où tout ce qui est délicieux et lunaire

magie utilisé n'est pas celle des grand cabarets, elle est plus simpliste tout en restant efficace permettant de se rapprocher peu à peu de nos souvenirs . Dans cette oeuvre de Shakespeare , la magie est naturel car Ariel est un esprit et Cariban un monstre qui vivent depuis toujours sur l'île déserte. Pour Prospera et Miranda , ils semblent si être habituer. L'état d'esprit dans lequel sont ces derniers laisse penser qu'ils sont tellement habitué à la magie, qu'ils en sont lasses. Cette impression se

« lance » v6, « sortent » v17, «vient » v19) + humanisation des lieux et des éléments naturelle + personnification. ⇨ Une véritable dynamique (ce n’est plus la natures mais des être imaginaires qui prennent vie), la nature s’anime. (vers 15 « milles monstre écaillés » (périphrase)) ⇨ Rôle subtile des verbes d’action dans le troisième dizain (« venir » trois fois, d’on deux fois comme semi-auxiliaires (matérialisation d’un état mais garde sa valeur de verbe d’action)) ⇨ Importance de la dynamique

personnage : Quasimodo le pape des fous, le monstre A. Découverte progressive de Q Discours descriptif + dialogues : portrait -Impression du physique : Q est laid - Son nom correspond à son physique (quasi homme) -Place pour un portrait moral B. Coté spectaculaire -Scène : Spectacle => Acteur (Q) , spectateurs, scène (chapelle, rosace), lumière(« rayonnement »), metteur en scène (maitre capenolles), apparition durant une fete. -Q = monstre (eth monstrum= se montrer) C. Entre peur

Kyokiss, mais elles nous ont paru milles de plus. Pendant de longues heures, nous n'avions que quelques minutes de répit entre chaque assaut. Evidemment nous n'étions pas seuls et de nombreux aventuriers combattaient avec nous, mais la puissance de ces monstres était si... Colossale et leur acharnement si féroce que nombre d'entre nous gisent actuellement sur le sol du vieux continent. - Il dit vrai, continua Lex, jamais... - Ô grand jamais ! Interrompit le Sadida, nous n'avons vu une horreur pareille

car dans la presse les compte rendu conduise a la fabrication a limage d’un monstre moderne. en 1921 l’affaire est d’autant plus importante qu’elle joue le rôle de souvenir écran qui masque à la société française l’horreur de la guerre 14-18. Tout se passe comme si la société avait besoin d’une figure humaine qu’elle pouvait diabolisé pour conjuré son incapacité a digéré la monstruosité de la guerre Landru est le monstre moderne qui permet à la France d’intégré et de socialisé la barbarie en la rendant

arrondissement de Paris. Puis il s’exile à Bruxelles volontairement peu après le coup d’état de Napoléon le 2 décembre 1851. Il a écrit neuf romans, un des derniers, rédiger durant son exile, est L’homme qui rit. Il engage le lecteur à une réflexion sur un monstre : Gwynplaine. Gwynplaine est le fils d’un Lord dans l’Angleterre du XIIème siècle, il est enlevé par des brigands et est défiguré : il a un sourire permanent taillé au couteau. A l’aide de l’extrait à étudier nous allons chercher quel sont les conséquences

les monstres pour Ambroise Paré sont à la fois des créatures repoussantes et fascinantes. Ambroise Paré est un médecin du XVIe siècle fasciné par la science du « surnaturel ». Il est considéré comme le « père de la chirurgie moderne »: Il développe la ligature quand, à l'époque on se servait de la cautérisation pour refermer une plaie. Il est donc considéré comme un génie de la chirurgie qui a révolutionné la médecine moderne. A 63 ans, l'homme écrit un livre qui s'intitule Des monstres et prodiges

ne pense pas que la poursuite de la science fasse exception à cette règle. » Chapitre V Il a fini par créer un monstre qui le dégoûte lui-même. Il fait un rêve prémonitoire avec Elizabeth au cours duquel elle meurt. Le monstre se réveille et Frankenstein s’enfuit, erre dans les rues. Arrivée opportune de Clerval venu voir son ami. À leur retour chez Frankenstein, le monstre a disparu. Frankenstein est victime d’une grave crise et tombe malade, son ami s’occupe de lui. Chapitre VI Lettre