Monstres Bts

Princesse Finemouche Alors que certaines rêvent de princes charmants, Princesse Finemouche revendique son célibat. Elle aspire finalement à peu de choses. Elle veut vivre sa vie comme elle le désire, entourée de « ses petits chéris », à savoir des monstres, crapauds et bestioles en tous genres. C’est sans compter la volonté de la Reine-sa-mère qui compte bien voir sa fille mariée. Aussi, la jeune princesse accepte-t-elle de rencontrer les princes demandant sa main mais en les mettant à l’épreuve :

bonne place au rang des obstacles qui s’opposent à Ulysse un certain nombre de monstres, qu’Homère décrit en déployant les talents de son imagination fertile. Quel rôle l’évocation des monstres joue-t-elle alors dans le texte ? Au-delà de leur fonction descriptive, en quoi ces créatures servent-elles de faire valoir à l’homme grec qu’est Ulysse, et de repoussoir pour le lecteur ou l’auditeur de l’épopée ? Les monstres ont tout d’abord une fonction narrative certaine. Leur évocation laisse tout

on peut dire que ce passage est une représentation symbolique du Cyclope car celui-ci, Polyphème, nous est présenté comme une figure extrême de la violence et de la sauvagerie. En effet, on assiste à une scène d’horreur où l’antagoniste est ce monstre d’un seul œil. Dès la rencontre d’Ulysse avec Polyphème, notre narrateur nous prévient de ce qu’il arrivera à nos personnages : « il repartit d’un cœur cruel » (v. 272), « Ce cœur cruel ne me répondit rien. » (v.287). Il est déjà présenté comme cruel

A/ La fonction narrative Charybde et Scylla sont deux monstres. Dans le récit, cela implique une pause, un temps de répit pour les décrire « physiquement » et les définir en tant que tels. Charybde, elle, « engloutit la saumure de la mer » (chant XII, v. 240) et la « vomit » (v.237) « trois fois d'un jour,/ terriblement » (v.105-106), menaçant d'engloutir « l'équipage tout entier » (v.110). Son statut de monstre est indubitable, il est évident. Scylla est plus ambiguë car elle possède

cours d’une sorte de jeu entre amis : écrire un conte « terrifiant ». De conte, c’est devenu un roman. Mary Shelley est marquée par la mort et le malheur. Le monstre est une projection de sa prédestination au macabre et à la réprobation. Le roman rompt avec le fantastique gothique : les décors sont différents, pas de surnaturel, le monstre est un être vivant. En voulant dépasser les limites de la connaissance, Frankenstein crée son double qui peu à peu l’isole en faisant le vide autour de lui. C’est

Les monstres dans l’Odyssée a. Les Cyclopes Les Cyclopes (IX vers 106 107) dont le nom signifie “oeil rond” et renvoie à l’image du cratère d’un volcan. La mythologie situe d’ailleurs ces géants dans des zones volcaniques, peut-être proches de l’Etna ou du Vésuve, près de l’actuelle Naples. Dans la mythologie, ces cyclopes sont trois : Brontis, Argis et Steropis. Ils travaillent avec Héphaïstos dans sa forge souterraine. La tradition leur attribue la construction des murailles de Mycènes

ces chaussures sont de plus en plus malheureuses au fil du temps ? Ces belles créatures vivent en solitaire de leur naissance jusqu’à ! Ce coup de foudre instantané de leur opposé. De ce jour elles ne veulent plus se quitter jusqu’à ! Ce qu’un monstre vient les chercher pour se protéger les pieds. Le calvaire commence pour ses petites personnes sans défense ou elles seront obligées de suivre cette créature. Ces petites qui n’ont jamais vu le jour vont connaitre le calvaire des saisons qui amène

et l'art. Le mot monstre a de nombreuses signification : Il peut autant désigner Sens 1 Être fantastique de la mythologie populaire Comme il peut aussi indiquer : Sens 2 Animal, personne ou objet de très grande taille ou effrayant. Et enfin il signifie aussi : Sens 3 Personne effrayante, inhumaine, qui suscite l'horreur [Figuré] Pour résumer un monstre c'est en général tous ce qui s'éloigne de ce que l'homme considère comme normal, ou ordinaire. Un monstre est quelque chose d'extraordinairement

mettent un homme dans une assez triste position ; car alors il faut qu’il se résigne aussi à expliquer de la même manière les Hippocentaures, ensuite la Chimère ; et je vois arriver les Pégases, les Gorgones, [229e] une foule innombrable d’autres monstres plus effrayants les uns que les autres, qui, si on leur refuse sa foi, et si l’on veut les ramener à la vraisemblance, exigent des subtilités presque aussi bizarres qu’eux-mêmes, et une grande perte de temps. Je n’ai point tant de loisir. Pourquoi 

docteur moreau effectue des expériences sur les humains et qu’il lui réserve le même sort Prendick décide de s’échapper. Mais il prend son courage à deux mains et décide d’aller au fond de cette expérience et de comprendre ce qu’il se passe. Les monstres le prennent pour un des leurs alors ils se mettent à parler ou à chanter leur loi qui consiste à se comporter comme des hommes et non comme des animaux : « ne pas marcher à quatre pattes c’est la loi, ne sommes-nous pas des hommes ?... » (p71).