Montaigne Le Portrait Physique

Problématique : Montrez la nature destructrice du sentiment amoureux éprouvé par la présidente de Tourvel. I. La fonction émotive a. Une visée pathétique tournures exclamatives et interrogatives directes + coté morbide b. Une souffrance morale et physique champ lexical + thème de la solitude c. Une théâtralisation de la souffrance présent d'énonciation qui renforce le cote émotif II. La figure changeante de l’être aimé a. Valmont : amitié à amour b. Elle rejette la faute sur son mari c. Son

difficile à décrire. Mais nous distinguons si peu ce que la Nature seule nous a donné de ce que l’éducation, l’art et l’exemple nous ont communiqué, ou nous le confondons si bien, qu’il ne serait pas étonnant que nous nous méconnussions totalement au portrait d’un sauvage, s’il nous était présenté avec les vraies couleurs et les seuls traits naturels qui doivent en faire le caractère. Un sauvage absolument sauvage [... serait] un spectacle curieux pour le philosophe, il pourrait en observant son sauvage

Sartre. PLAN (problématique à chercher) I- Amour fraternel a) reconnaissance réciproque Dans un premier temps, on a l’impression qu’il se découvre sous une forme d’émerveillement : « mon bien aimé », « chère main » (idée de l’union) Contact physique : « donne-moi... », « elle le prend dans ses bras », « elle lui prend sa main et l’embrasse ». Contact visuel : « j’ai besoin de te voir », « il faut que j’éclaires ton visage »... b) des liens de sang Union par le sang : « le sang nous unis doublement

l'entoure, du macrocosme (c'est-à-dire l'univers) au microcosme (l'homme). Dans sa plus célèbre peinture, la Joconde, il saisit l'occasion d'un portrait pour travailler sur le rapport entre l'univers (le paysage de l'arrière-plan) et le détail qu'il en extrait (la femme dont il fait le portrait). Tout le monde s'entend pour dire que ce célèbre portrait au sourire énigmatique représente Mona Lisa, la femme d'un marquis italien. La Joconde de Léonard de Vinci (1503-1507) est conservée au musée du

section « Variations ». 2. Les trois portraits de Jean le Bon, Charles VII et François Ier Daté de la deuxième moitié du XIVe siècle, le portrait de Jean le Bon constitue le premier portrait connu au Nord des Alpes qui soit autonome et affranchi de tout contexte religieux ou cérémoniel. L’homme n’est plus ici, comme par le passé, une figure abstraite et symbolique qu’on ne se souciait pas de peindre ressemblant, mais un individu, doté de particularités physiques. Signe des temps, ce changement dans

morale, toujours associée à la recherche du « beau langage ». III/ Un essai anthropologique et philosophique D'abord, la première partie des Pensées constitue une étude de l'Homme qualifiée par certains d' « Anthropologie », comprenant d'une part un portrait de la condition humaine et de la société, d'autre par une comparaison des biens auxquels l'Homme aspire avec ceux qu'il connaît effectivement. D'autre part, l'ensemble de l'œuvre effectue une démarche de recherche de la vérité – même si celle-ci

m’attends à voir mes rêveries devenir plus froides de jour en jour jusqu’à ce que l’ennui de les écrire m’en ôte le courage.». En fait, il entendait encore infliger à ses adversaires un démenti formel, irrécusable, en léguant à la postérité ce dernier portrait de lui, car, dans la ‘’Seconde promenade’’, il annonça son «projet d’écrire la suite de [ses] ‘’Confessions’’». Comme il rêvait toujours un certain temps à ses ouvrages avant de les composer ; comme, désormais, il était incapable d’un effort prolongé

renaissance sont tous abordés : l’éducation selon les critères humanistes, la critique de l’institution religieuse, l’absurdité de la guerre… Rabelais veut en même temps faire réfléchir son lecteur et le faire rire. [pic] Outre ses écrits scientifiques : physique, sciences naturelles, astronomie, mathématiques, etc. , Léonard de Vinci rédige à partir des années 1490 une multitude de notes relatives à la peinture, dans l’idée de constituer un Traité de la peinture (Tratatto della pitura) **LES GRANDES DECOUVERTES

montrer que le français est aussi digne que le grec ou le latin Pierre de Ronsard, Poésie amoureuse Maurice Scève, Délie, objet de plus haute vertu Louise Labé, féministe, Œuvres Humanisme  on doit maîtriser le plus de matière possible Michel de Montaigne, pour le suicide (c’est ma vie), contre les médecins, contre le colonialisme, « Tout home porte la forme entière de l’humaine condition » ; (tous ont les mêmes possibilités d’arriver aux mêmes buts dans la vie), la vérité absolue échappe à l’être

plus vaste du sensible et de l’intelligible, qui va ici nous intéresser. Du moins, la manière dont elle est perçue par le regard. La période temporelle que délimitent le mythe de Narcisse, écrit par Ovide au début de l’ère chrétienne, et Le Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde, paru en 1890, est extrêmement vaste. Mais bien que produites dans des contextes géopolitiques, artistiques et philosophiques distincts, ces deux oeuvres présentent de nombreuses similarités dans les problématiques