Montaigne Le Portrait Physique

plus bas, à la limite de la vulgarité. Cette entreprise de déconstruction des modèles vise sans doute un monde dont la cohérence, au XIIIème siècle, fait cruellement défaut, mais elle consacre avant tout le triomphe de la littérature. 14 MONTAIGNE, ESSAIS, LIVRE III, « De l’expérience » Or je trete mon imagination le plus doucement que je puis et la deschargerois, si je pouvois, de toute peine et contestation. Il la faut secourir et flatter, et piper qui peut. Mon esprit est propre à ce

expérience de première main, personnelle, et je dirais même charnelle. N'attendez pas avril pour écrire, peindre, composer de la musique, sculpter...). Le cours sur la conscience réfléchie et l'existence permettait de distinguer entre la "mort", état physique définitif de non-existence après une période de vie, et le "décès", interruption des processus métaboliques (également appelée "mort" dans la langue courante). La mort s'oppose à l'existence, à la vie, mais aussi à l'inerte (une pierre n'a jamais

personnages (fonctions, caractères…) : * Figgins est un docteur, il apparaît comme étant un homme éloquent, énervé et fatigué, il se demande si c'est un homme ou un singe, c'est celui des trois qui connaît plus la science, et qui a des avis basées plus sur le physique de l'individu. Il est ironique, pragmatique et sec. * Dougles Templemore est serein, calme, il ne dit pas au docteur et à l'inspecteur si c'est un homme ou un animal, mais il leur demande leur avis indirectement en leur montrant l'individu.

Pour J-P Sartre, dans la vie il n’y a que deux choses que l’on ne choisit pas : la condition humaine (liberté, conscience, mortalité..) et sa situation (être né dans tel contexte politique, économique et social, son corps, sexe, santé, apparence physique, sa famille..). Il est donc tout à fait conscient que nous ne choisissons pas tout. Néanmoins, il soutient que nous sommes totalement libres car il nous appartient de nous positionner par rapport à cette situation. Je peux toujours choisir entre

et, à travers eux, celui des lecteurs du temps, s’en accommodent assez volontiers pour que le récit puisse en paraître agréable. Il n’en va pas de même quand le désir et la hardiesse à le satisfaire sont le propre d’une femme ». Pas ou peu de portraits de séducteurs : ce qui compte, c’est l’action, les calculs, les attaques. Cf. N4 : on a 2 mouvements : - une intrigue de séducteur où la machination nous est décrite (circonstances, accessoires etc.) - un dialogue d’analyse où la femme

poètes de « la pléiade » Pierre de Ronsard (1524-1585) les odes : « mignonne allons voir si la rose » *(mise en musique) Joachim du Bellay (1522-1560) les regrets « heureux qui comme Ulysse François Villon, Clément Marot (1496-1544) Michel de Montaigne (1533-1592) « les essais » de l’institution des enfants Rabelais (1494-1553) « le garguantua », » le Pantagruel » http://www.renaissance-france.org/rabelais/pages/lesoeuvres.html Arts du son : Clément Janequin (les cris de Paris * le chant

analytique : « Je n’ai plus que les os… », Derniers vers, de Ronsard Vers 1 : « Je n'ai plus que les os, un Squelette je semble »   *Ronsard évoque de manière douloureuse sa maladie et sa fin de vie : il prend conscience de  la dégradation de son état physique : la déchéance est décrite dans le premier vers, de manière assez abrupte, pour mieux surprendre le lecteur, par deux propositions que sépare une virgule à la césure. La formulation restrictive  « Je n'ay plus que les os » rappelle dans sa simplicité

des renseignements précis et très utiles, mais il serait sage de les compléter par des lectures de poèmes, par exemple dans une anthologie de la poésie du XVIe siècle). Plusieurs gravures et des tableaux nous permettent de nous faire une idée du physique de Ronsard ; par ailleurs, contrairement aux faibles renseignements dont nous disposons sur Louise Labé, de nombreux témoignages écrits sur la vie de Ronsard nous permettent de cerner sa personnalité (les renseignements biographiques figurant en

a une visée critique sociale qui paraît assez explicite. Conclusion : →l’article n’a rien à voir avec celui d’un dictionnaire car ici c’est un texte qui relève davantage de l’essai relevant de l’argumentation. Si on le rapproche du texte de Montaigne, il paraît plus polémique. → argumentation indirecte avec l’emploi de l’ironie → mais une argumentation directe avec l’omniprésence de la représentation horrible des pratiques de la torture. → Ici, deux moyens d’argumentation sont

lorsque l’on aborde le terme de civilisation d’un point de vue scientifique, l’homme « civilisé » va justifier sa supériorité sur le « sauvage » par sa maitrise technologique et scientifique. L’homme « civilisé » par les mathématiques et les sciences physiques connait les mécanismes rationnels de son environnement et s’applique à un « désenchantement du monde » (Weber). Il va chercher à élucider tout les phénomènes naturels pour mieux les maîtriser. Il va aussi avancer le fait que, contrairement au sauvage