Montaigne Rabelais

de conscience et de raison : un homme. * En France, Rabelais fait l’apologie du savoir dans son œuvre Gargantua. Ses personnages qui sont des géants, sont la métaphore de l’appétit du savoir à la Renaissance. Il dit : « Le rire est le propre de l’Homme »_ce qui se contredit au sérieux de l’Eglise. « Sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme »_tout individu doit se soumettre à l’instinct de la raison de l’Humanisme. * Montaigne, un individu qui se forme lui-même, et puis dans les Essais

Sujet : Étude de l’Ironie dans l’œuvre de François Rabelais L’Ironie est certes un trope en ce qu’elle opère une substitution de terme mais n’est Ironie qu’en ce qu’elle peut être identifiée comme telle en relation avec un contexte particulier. En effet hors de celui-ci il est souvent impossible et même vain d’essayer de la repérer (contrairement à une métaphore qui peut se suffire assez aisément à elle-même.) Ainsi, si on affirme « Ah quelle belle ville » sans préciser qu’il s’agit d’une ville

GARGANTUA : Prologue (texte n°1) Introduction : Au moment où Rabelais écrit Gargantua (1532-33), l’Evangélisme triomphait mais il subissait aussi ses premières persécutions. Comme marguerite de Navarre, sœur d’Henri IV, avait choisi un évangéliste pour prêcher le Carême, la Faculté de théologie, gardienne de l’orthodoxie catholique, réagit et déclencha une campagne de prédication menée par Noël BEDA. (celui ci sera exilé par le roi, dès 1533). Toutefois la Sorbonne ne plie pas et multiplie

latin et le grec. Une grande activité de traductionvoit le jour. Amyot (1513-1593) traduit les œuvres de Plutarque. * La lecture des textes anciens irrigue la littérature du XVIe siècle qui défend le principe de l’imitation. C’est ainsi que Montaigne écrit (Essais, I, 26) : Les abeilles pillotent deça delà les fleurs, mais elles en font après le miel qui est tout leur ; ce n’est plus thym ni marjolaine ; ainsi les pièces empruntées d’autrui, il les transformera et confondra, pour en faire un

Pantagruel Rabelais ; Michel-Ange peint la chapelle Sixtine. | | |1533 : Introduction du Sonnet en France. Maurice Scève reprend l’œuvre de | | |Pétrarque et met en vogue le genre du sonnet. | | |1534-1535 : Gargantua Rabelais

développement des qualités de l'homme Erasme ->éloge de la folie Machiavel->Prince Montaigne (penseur)-> Saut et à gambades (essai) Pour eux, l'humain doit aspirer à l'idéal de la sagesse par sa raison et la connaissance : ils prônent également la philosophie du Carpe Diem (vivre le jour présent, traduction littérale : saisir le jour) et des vertus épicuriennes. L'Orfeo de Monteverdi (opéra) Gargantua, Pantagruel Rabelais (romans) Botticelli La naissance de Venus  L'homme doit s'épanouir intellectuellement

du XVIe siècle à nos jours. Michel De Montaigne Essais, livre III (1580-1595). 1533-1592 Chapitre IX : « De la vanité » : l’art de voyager. Montaigne est issu d’une famille noble. Il fut d’abord politicien avant de commencer l’écriture des Essais en 1572. En 1580, il en publie une 1ère version. Il est un humaniste recherchant les caractères de la condition humaine. En 1595 (après sa mort) sort une dernière version de ses Essais. Durant ce passage, Montaigne analyse la vanité humaine. Il évoque ainsi

ébranle les principes mis en place par l’Eglise Catholique, qui a eu pendant le Moyen Âge un « monopole » des idées, où Dieu était le centre de Tout et met, à sa place, l’Homme. Les Humanistes, parmi lesquels on pouvait compter des savants comme Montaigne, Joachim du Bellay, de Vinci ou Erasmus de Rotterdam, ont alors consacré leur temps et à l’étude de l’Homme. Ayant comparé le passé lointain de l’antiquité avec le passé proche du Moyen Âge, Erasmus assigne à l’Humanisme la tâche de « restaurer

triomphe de l’amour. De nombreux écrivains engagent une réflexion sur l’homme et la société, tandis que les guerres de religion bouleversent la fin du siècle. | * Clément Marot * François Rabelais * Joachim Du Bellay * Pierre de Ronsard * Louise Labé * Etienne Jodelle * Michel de Montaigne * Agrippa d’Aubigné | Epoques | Histoire littéraire | Les grands auteurs | L’âge classique--) Le Classicisme(XVIIe siècle) | Après une période de troubles politiques Louis XIV impose son

»). Le barbare est celui qui décide de laisser la vie ou d’exécuter. MARCO POLO (1254-1324) Le Dévissement du monde (1298), LXII, CXCII (Trad.de l’ancien français par Violette d’Aignan, « La bibliothèque Gallimard »n°I). RABELAIS (v.1483-1553) Tiers Livre(1546) Chapitre I , « Comment Pantagruel transporta une colonie de Utopiens en Dipsodie » (modernisation par Christine Bénévent) LAS CASAS (1470-1566) Histoire apologétique des Indes (cité par S.Zavala