Montesquieu Cannibales

Montesquieu (1689-1755) Lettres Persannes (1721) I / Un roman épistolaire: Le Roman de Montesquieu est une œuvre épistolaire, en effet c'est un recueil de lettres fictives composé de 161 lettres, les intrigues et les incidents qui le composent font du roman une sorte de roman enchâssé. Poussés par la curiosité et la soif de connaissances et de sagesse, deux Persans, Usbek et Rica, quittent Ispahan et leur harem pour rejoindre la France et sa capitale. Pendant leurs huit

siècle insiste sur la notion d’éveil de l’esprit humain: Voltaire s’est battu en particulier pour la tolérance (le respect de toutes les religions, et pour un droit à la dignité humaine, contre le l’esclavagisme). 3-4 Auteurs & Bibliographie Montesquieu, (1689-1755), homme de lettres et philosophe français. Il fut notamment l'auteur De l'esprit des lois. (1748). Diderot (1713-1784), philosophe et écrivain français. Il fut le maître d'œuvre de l'Encyclopédie (1751-1772) et l'un des principaux représentants

métaphorique désignant les penseurs du XVIIIe siècle qui par leurs questions et leurs critiques voulaient « éclairer la raison ». Or la fiction leur permettait d’échapper à la censure tout en critiquant la société dont ils étaient les contemporains. Montesquieu, Les lettres Persanes, 1721 : Usbek, un philosophe persan, accompagné de son ami Rica, fait un voyage en Europe jusqu'à Paris. En tenant à jour une correspondance avec des amis rencontrés dans les pays traversés, il dépeint d'un œil faussement

l'individualisme. L'intrt de l'individu. Le rle de l'tat, c'est de protger les intrts individuels. Ce que l'tat ne fait pas. Il y a une contestation intellectuelle d'abord, les rvolutions commencent toujours de la mme manire. En france des gens comme Montesquieu (sparation des pouvoirs), Voltaire (l'indpendance), Diderot (l'Encyclopdie), Rousseau (origine de la dictature, Prof ne l'aime pas). Le pouvoir politique ne comprend pas ces inspirations au changement, et va mme renforcer les privilges. Cela

l’indépendance de la justice. L’indépendance de la justice est un principe qui découle du principe de la séparation des pouvoirs. Le pouvoir judiciaire doit être indépendant des autres. Le principe de séparation des pouvoirs que l’on doit à Montesquieu est un principe d’organisation politique selon lequel chaque pouvoir doit être conféré à un organe distinct et indépendant des deux autres. Le but est d’éviter que l’un de ses organes abuse du pouvoir dont il dispose. Les révolutionnaires ont consacrés

contre la venue d’un de ces gouvernements, les institutions d’une démocratie doivent être intégrées dans un système complexe qui tend à préserver l’abus d’un des membres élus de l’organe politique; les principes de séparation des pouvoirs cher à Montesquieu prenant ici son sens. Citation : « lorsque, dans la même personne ou dans le même corps de magistrature, la puissance législative est réunie à la puissance exécutrice, il n’y a point de liberté ; parce qu’on peut craindre que le même monarque

dans l'état: législatif, exécutif et fédératif qui conduit les relations internationales. Ce n'est pas une séparation des pouvoirs mais plus une hiérarchisation avec législatif > exécutif. Les fonctions sont gérées par des organes distincts. Montesquieu (1689-1755): 3 fonctions de l'état: législatif, exécutif et juridictionnel. Ces 3 fonctions doivent être séparées afin d'assurer la liberté. Une même fonction peut être répartie sur plusieurs organes pour que les pouvoirs collaborent entre eux.

l'œuvre fut d'ailleurs difficile et dut affronter la censure. La réalisation de l'Encyclopédie a nécessité l'intervention d'environ deux cents collaborateurs. De nombreux écrivains célèbres du siècle collaborent à cette entreprise, tels Voltaire, Montesquieu ou Rousseau. 5. Quelles stratégies d'écriture les philosophes des Lumières ont-ils employées pour mieux toucher leur public ? Les œuvres des philosophes des Lumières ont pour but d'éclairer et de convaincre, sans pour autant choquer ni rebuter

liberté, vie et biens du peuple. Il faut une loi, une force et une justice. § 4) Le libéralisme politique Montesquieu et Benjamin Constant défendent le libéralisme politique. M. défend l’Etat légal qui consiste à faire les lois. B.C défend l’idée d’un Etat gendarme, il faut un minimum d’Etat possible pour garantir la liberté des hommes. I – Montesquieu et l’Etat « légal » Montesquieu écrit l’Esprit des lois. La liberté et le bonheur sont les buts de la vie. L’Etat qui exerce le pouvoir politique

effet, la mise en place de régimes totalitaires ou de dictarures, au cours de l'histoire, a permis aux philosophes de réflechir à un moyen politique d'empêcher que l'autorité nécessaire de l'Etat ne tombe dans un autoritarisme et dans un despotime. Montesquieu dans De l'esprit des lois parvient, en étudiant les gouvernements dit "modérées", à trouver que la séparation des trois pouvoirs - législatif, judiciaire et éxécutif - exclut la possibilité de despotisme. Mais, on peut se demander : la place