Montfermeil

de cela. Comme le temps passe ! Nous avons été bien heureux. C’est fini. Mes enfants, ne pleurez pas, je ne vais pas très loin. Je vous verrai de là. Vous n’aurez qu’à regarder quand il fera nuit, vous me verrez sourire. Cosette, te rappelles-tu Montfermeil ? Tu étais dans le bois, tu avais bien peur ; te rappelles-tu quand j’ai pris l’anse du seau d’eau ? C’est la première fois que j’ai touché ta pauvre petite main. Elle était si froide ! Ah ! vous aviez les mains rouges dans ce temps-là, mademoiselle

Accomplissement de la promesse faite à la mort : p.90 à 99 Situation : Le passage se situe au début du livre, on a appris que Jean-Valjean, un forçat est tombé à la mer et c’est noyé. La situation se déroule à Montfermeil au début et à Paris à la fin. Résumé : Pour commencer il y a une description de la ville de Monfermeil. On dit que c’est un endroit calme et paisible, que c’était bon marché mais que l’eau y était rare. Ensuite Victor Hugo parle aux lecteurs, on nous rappelant Cosette

Fantine quitte Paris et porte dans ses bras la petite fille qu'elle a eu de Tholomyès, et pour laquelle elle a tout sacrifié, Cosette. Elle souhaite retourner à Montreuil sur Mer, sa ville natale, où elle espère trouver du travail. En chemin, à Montfermeil, elle fait la connaissance d'un couple d'aubergistes, d'allure plutôt accommodante, les Thénardier. Très vite Cosette joue avec les petites filles des aubergistes. Fantine y voit là un signe du ciel et propose de leur confier quelque temps la garde

voulait. -Cent francs, songea Fantine ! Mais où y a-t-il un état(18) à gagner cent sous par jour ? 45 -Allons ! dit-elle, vendons le reste. L'infortunée se fit fille publique(19). (10) : deux napoléons : pièces d'or. (11) : Montfermeil : village où habitent les Thénardier avec Cosette. (12) : cellule : petite chambre. (13) : galetas : logement misérable et sordide sous les toits. (14) : corset : gaine lacée en tissu résistant, qui serre la taille et le ventre des femmes. (15)

retournant dans sa ville natale. Mais, avant d'arriver à Montreuil, elle doit rapidement trouver une pension pour Cosette afin d'obtenir un emploi, car, à cette époque, une mère célibataire était rejetée par la société. Un couple d'aubergistes de Montfermeil, les Thénardier, accepte de garder Cosette moyennant un versement mensuel de 7 francs et, séparée de sa fille, Fantine arrive la mort dans l'âme à Montreuil. Elle est immédiatement embauchée comme ouvrière à la fabrique de verroterie créée l'année

l’autre homme. Il aide les autres Le père Madeleine (Jean Valjean) Montreuil-sur-Mer 1823 Arrestation de Jean Valjean et mort de Fantine Il reste juste Jean Valjean Toulon 1823 Jean sauve la vie à un homme et meurt noyé Il reste juste Jean Valjean Montfermeil 1823 Jean n’est pas mort mais il ayant crée une diversion pour s’échapper, il récupère Cosette (fille de Fantine) comme il l’avait promis Il reste juste Jean Valjean Paris 1823 Jean Valjean se refugie au couvent du Pic-Picpus

Lorsque Cosette naquit, Fantine l'éleva pendant trois ans. Elle la mit en pension chez les Thénardier Cosette vécut chez les Thénardier pendant cinq ans. Elle fut maltraitée. Elle fut leur servante. Elle dormait dans l'écurie. Le soir de Noël, à Montfermeil, M. Madeleine l’a rencontre dans une forêt. Il prend Cosette aux Thénardier en leur donnant une somme d’argent. Elle développera des liens quasiment familiaux avec M. Madeleine. Elle est ensuite élevée au couvent du petit Picpus, où M. Madeleine

Dix mois après que Felix Tholomyès l’ai abandonnée, Fantine quitta Paris avec sa fille, Cosette pour aller chercher du travail dans sa ville natale. Alors qu'elle passait devant l'auberge Thénardier à Montfermeil, Fantine aperçut Mme Thénardier et ses deux filles. Les deux femmes se mirent à discuter pendant que les trois enfants jouaient. En voyant que les trois petites filles s’entendaient bien, Fantine décida de confier Cosette aux Thénardier, en échange

|Fantine, fille-mère abandonnée par son mari, est contrainte de laisser | | | |sa fille Cosette en garde chez des aubergistes de Montfermeil, les | | | |Thénardier, afin de pouvoir trouver du travail. | |Cosette |[pic] |[pic]

couple de gens malhonnêtes et rusés, les Thénardier. Pour payer les frais d’une maladie inventée par ces derniers, Fantine doit vendre ses cheveux, puis deux dents. Les deux dents étaient arrachées. Elle envoya les quarante francs à Montfermeil[1]. Du reste c’était une ruse des Thénardier pour avoir de l’argent. Cosette n’était pas malade. Fantine jeta son miroir par la fenêtre. Depuis longtemps elle avait quitté sa cellule[2] du second pour une mansarde fermée d’un loquet