Montlignon

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Institut médico éducatif Le clos du Parisis - APEI 49 rue Fortuné Charlot 95370 MONTIGNY-LES-CORMEILLES 01 39 97 58 20 ime@leclosduparisis.fr Principaux handicaps accueillis : déficience intellectuelle MONTLIGNON Institut de rééducation thérapeutique Mutuelle la Mayotte 165 rue de Paris 95680 MONTLIGNON 01 34 27 15 40 itep.lamayotte@wanadoo.fr Principaux handicaps accueillis : troubles du caractère et du comportement OSNY Institut médico éducatif La Ravinière - GALEI 14 rue du Général de Gaulle 95520

meurent en sursaut ! Villequier, 4 septembre 1845. 17 IX Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! Doux rayon triste et réchauffant ! – Lorsqu’elle était petite encore, Que sa sœur était tout enfant... – Connaissez-vous sur la colline Qui joint Montlignon à Saint-Leu, Une terrasse qui s’incline Entre un bois sombre et le ciel bleu ? C’est là que nous vivions. – Pénètre, Mon cœur, dans ce passé charmant ! – Je l’entendais sous ma fenêtre Jouer le matin doucement. Elle courait dans la rosée

que plusieurs ne me prennent pour Lucifer lui-même, comme dit M. de Soubirane dont c'est un des bons mots, incarné tout exprès pour leur mettre martel en tête. » Octave racontait ces étranges idées à sa cousine en se promenant dans les bois de Montlignon, à quelques pas de Mmes de Bonnivet et de Malivert. Ces folies occupèrent beaucoup Armance. Le lendemain, après que son cousin fut parti pour Paris, l'air libre et enjoué qui allait souvent jusqu'à la folie fut remplacé par ces regards attendris

en sursaut !   Villequier, 4 septembre 1845.   IX.   Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! Doux rayon triste et réchauffant ! – Lorsqu’elle était petite encore, Que sa sœur était tout enfant… –   Connaissez-vous sur la colline Qui joint Montlignon à Saint-Leu, Une terrasse qui s’incline Entre un bois sombre et le ciel bleu ?   – C’est là que nous vivions. – Pénètre, Mon cœur, dans ce passé charmant ! – Je l’entendais sous ma fenêtre Jouer le matin doucement.   Elle courait dans la

meurent en sursaut ! Villequier, 4 septembre 1845. – 250 – IX. Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! Doux rayon triste et réchauffant ! – Lorsqu’elle était petite encore, Que sa sœur était tout enfant… – Connaissez-vous sur la colline Qui joint Montlignon à Saint-Leu, Une terrasse qui s’incline Entre un bois sombre et le ciel bleu ? – C’est là que nous vivions. – Pénètre, Mon cœur, dans ce passé charmant ! – Je l’entendais sous ma fenêtre Jouer le matin doucement. Elle courait dans la rosée, Sans

OISE PONTOISE MAGNY EN VEXIN GROSLAY ERMONT SARCELLES MONTMORENCY TAVERNY BEAUMONT SUR OISE MERY SUR OISE PRESLES ST LEU LA FORET PONTOISE EAUBONNE DOMONT HERBLAY SURVILLIERS ARGENTEUIL MERIEL MONTSOULT CHAMPAGNE SUR OISE FRESNEAUX MONTCHEVREUIL MONTLIGNON VILLIERS LE BEL TAVERNY ARNOUVILLE LES GONESSE BOUFFEMONT 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 095 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 200 201 201 201 201 201 201 201 201 201 201