Montrer La Réflexion Intérieure Des Personnage

AVEU elle avoue qu’elle ne sait plus pourquoi elle meurt. Son action (rendre les honneurs à son frère) n’a plus de sens pour elle, elle a plus peur. l.18-19 : dernière conséquence : renoncer au projet de famille « notre petit garçon » : ellipse qui montre ses émotions. L’aveu est répété l.24 « je ne sais plus » et l.27 « j’ai peur » b) La seconde lettre (l.24 à la fin) l.27 « je paye tout cela » - Tout ce qu’elle a dit est

mort des insurgés Incipit de « Tchen tenterait-il… » à « C’était toujours à lui d’agir » : Situation: Incipit Organisation: Enonciation: Registre: Sens : Problématiques : quelles perceptions du personnage a le lecteur à travers ce début de récit ? Annonce du plan : 1) un personnage plongé dans l'action 2) Une situation et une atmosphère angoissante INTRO : Homme politique et homme d’action, Malraux fut officier à la légion d’honneur et acquis la médaille de la résistance. Ces évènements

de petites réflexions qui se succèdent (sans forcément de lien entre chacune), traitant aussi bien de la question du cadrage, que celle de l'instant, du rapport peinture-photographie, du détournement, de l'expression, de la beauté, du punctum, … etc. De grands noms de photographes y sont cités, tels que ceux d'Atget, Friedlander, Wall... et aussi de théoriciens : Danto, Barthes, etc. A travers la grande diversité de problématiques susmentionnée, nous nous focaliserons sur une réflexion particulièrement

(narratif et descriptif en particulier). Connaissance de la notion de focalisation. Reconnaissance des marques de l’énonciation. Connaissance du conte merveilleux et du conte fantastique : un récit clos, plutôt bref, une seule intrigue, peu de personnages (intéressants surtout par leur fonction dans le conte de fées), une histoire à interpréter, existence du merveilleux ou irruption du surnaturel. Remarque : les élèves ont tous une représentation du conte de fées ; s’ils ont étudié en 3ème ou

(narratif et descriptif en particulier). Connaissance de la notion de focalisation. Reconnaissance des marques de l’énonciation. Connaissance du conte merveilleux et du conte fantastique : un récit clos, plutôt bref, une seule intrigue, peu de personnages (intéressants surtout par leur fonction dans le conte de fées), une histoire à interpréter, existence du merveilleux ou irruption du surnaturel. Remarque : les élèves ont tous une représentation du conte de fées ; s’ils ont étudié en 3ème ou en

v Brně Filozofická fakulta Ústav románských jazyků a literatur Magisterská diplomová práce 2009 Helena Kalábová Masarykova univerzita Filozofická fakulta Ústav románských jazyků a literatur Helena Kalábová La vie intérieure dans les œuvres de Nathalie Sarraute et Virginia Woolf Magisterská diplomová práce Vedoucí práce : prof. PhDr. Petr Kyloušek, CSc. BRNO 2009  Prohlašuji, že jsem diplomovou práci vypracovala sama a čerpala jsem pouze z uvedených pramenů

d’ignorance, Socrate n’enseigne rien à personne, mission divine (voir dialogues de jeunesse de Platon). Socrate réfutateur (dialogues de jeunesse) et Socrate accoucheur : la réfutation (elenchos) a pour but de montrer à celui qui se croit savant qu’il est ignorant et la maïeutique a pour but de montrer à celui qui se croit ignorant qu’il est en fait savant. Voir la théorie platonicienne de la reminiscence : accoucher les âmes serait alors leur faire se ressouvenir des connaissances qu’elles avaient avant

Monet, il se montre alors impressionné par la représentation d’une meule de foin, qui lui montre la puissance de la couleur utilisée presque indépendamment de l’objet lui-même15. Épanouissement artistique (1896-1911) Le temps que Kandinsky a passé à l’École des Beaux-Arts est facilité par le fait qu’il est plus âgé et plus expérimenté que les autres étudiants16. Il commence une carrière de peintre tout en devenant un véritable théoricien de l’art du fait de l’intensité de ses réflexions sur son propre

pudeur même en est effrayée ; il y a là quelque chose qui la menace, qui l'étourdit, et qui prend déjà sur elle. On se demanderait volontiers dans ces instants-là : que vais-je devenir ? Car, en vérité, l'amour ne nous trompe point : dès qu'il se montre, il nous dit ce qu'il est, et de quoi il sera question ; l'âme, avec lui, sent la présence d'un maître qui la flatte, mais avec une autorité déclarée qui ne la consulte pas, et qui lui laisse hardiment les soupçons de son esclavage futur. Direction

une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat mort…), et accentuées par la déformation de l’ensemble des personnages ; Au deuxième plan : Des architectures intérieures alternent avec des vues extérieures, des portes, des fenêtres, des flammes, des toits, un dallage, une colombe). La visée