Montrer Malgré Les Réel Atouts Le Commerce Extérieur Demeure Fragile

s'affranchir de la pluviométrie et du prix du baril de pétrole. Cependant, en regard des contraintes structurelles qui la faiblesse des investissements caractérisent encore l'économie nationale, dont surtout celles liées au secteur bancaire, le commerce continue à être considéré par les milieux d'affaires comme étant un créneau favorable, et ce à la défaveur de l'investissement. L'Algérie qui n'a à l'évidence pas les moyens financiers requis pour conduire à elle seule les remises à niveau aussi

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS ET RAPPORTS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL PME ET COMMERCE EXTÉRIEUR 2007 Avis présenté par M. Jean-François Roubaud Année 2007. - N° 16 NOR : C.E.S. X07000116V Mercredi 18 juillet 2007 MANDATURE 2004-2009 Séance des 10 et 11 juillet 2007 PME ET COMMERCE EXTÉRIEUR Avis du Conseil économique et social présenté par M. Jean-François Roubaud, rapporteur au nom de la section des relations extérieures (Question dont le Conseil économique et

solution pour plusieurs problèmes économiques et déficits sociaux (chômage, inflation, pauvreté…) qui hypothèquent son avenir. En dépit de la progression de l’économie marocaine en terme réel entre 1960 et 2002, avec un taux annuel moyen de 4.2%, sa performance reste de loin insuffisante comparée aux potentialités réelles du pays et comparée également à celles des autres pays ayant été au même niveau de développement que le Maroc, La Malaisie, la Corée du Sud, la Tunisie et même le Botswana qui ont pu

ces deux expressions est l’élargissement de Marseille, de la construction d’une agglomération. Mais Grand Marseille du CG pas réalisé et métropole marseillaise de SDAMM n’a pas eu d’effet. Question : Que s’est-il passé étant donné qu’il y a eu un réel processus d’urbanisation ? Marseille n’a pas généré d’agglomération  début de l’analyse A l’heure d’aujourd’hui, la région de Marseille est en voie de métropolisation mais Marseille n’est toujours pas une agglomération. La situation propre à Marseille

dollar ? Le dollar n’est certes plus tout à fait ce qu’il était mais il ne faudrait pas pour autant l’enterrer trop vite pour une simple et bonne raison, il n’est pas [encore] mort. Cette phrase pourrait résumer la situation actuelle dans laquelle, malgré les crises, les faiblesses et les concurrences, le dollar conserve la place de premier ordre qu’il occupe sans partage dans l’économie mondiale depuis la fin de la Seconde guerre mondiale. Selon la phrase d’un responsable américain [J.Connally], le

commercial. La grande distribution contrôle de plus en plus et est de plus en plus exigeante (audits, certifications) La moindre crise alimentaire est médiatisée Science : on peut détecter de plus en plus de microorganisme de plus en plus rapidement Malgré tout cela il y a toujours des toxi-infections alimentaires en France La réglementation en matière d’hygiène alimentaire est de plus en plus stricte Ex : la vache folle / listéria/ salmonelle / dioxine (micro organisme pathogène) La sécurité alimentaire

technique, qualité de vie, proximité d’investisseurs financiers… La qualité de tels facteurs dans la région ne sera relevée dans le diagnostic que si elle impacte les atouts ou les handicaps de la région. • Attractivité exogène et attractivité infra-régionale. En règle générale, l’attractivité s’exprime à l’égard de ce qui est extérieur à la région (qu’il soit question d’entreprises, de manifestations internationales, d’étudiants étrangers, d’organismes nationaux ou internationaux). Mais, en raison

des échanges mondiaux (entre 6 et 7% l’an en 1996 et 1997) en raison de l’ouverture accrue des pays en transition et de nombreux pays en développement, de la diversification croissante de la production à l’échelle internationale, et de l’essor du commerce entre pays en développement et particulièrement entre l’Asie et l’Amérique Latine. • des perspectives globales dynamiques pour le tourisme et notamment pour les activités sportives et de loisir et les produits touristiques valorisant le désert et

particuliers ………………………………………………………………………………………… 12 III. La sphère réelle de l’économie Française ………………………………………………. 13 A. Contribution à la croissance du PIB …………………………………………………………………….. 13 a) La consommation ……………………………………………………………………………………………………….. 15 b) L’investissement ………………………………………………………………………………………………………….. 18 c) La politique budgétaire ………………………………………………………………………………………………..19 d) Le commerce extérieur ……………………………………………………………………………………………….. 21 B. Les variables de

organisations internationales.................................11 C - UNE ACTIVITÉ INSUFFISAMMENT RECONNUE CAR MAL ÉVALUÉE .........................................................................................11 II - UNE OFFRE ABONDANTE, DIVERSIFIÉE ET FRAGILE.......13 A - UNE OFFRE IMPORTANTE MAIS VIEILLISSANTE ..................13 B - DES RÉGIONS PHARES QUI DOIVENT S’ADAPTER ................14 1. Paris-Île-de-France : le prestige ne suffit plus !..............................14 2. L’attrait de la Côte