Montrer Malgré Les Réel Atouts Le Commerce Extérieur Demeure Fragile

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS ET RAPPORTS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL LE TOURISME D'AFFAIRES : UN ATOUT MAJEUR POUR L'ÉCONOMIE 2007 Avis présenté par M. Bernard Plasait Année 2007 - N°15 NOR : C.E.S. X07000115V Jeudi 5 juillet 2007 MANDATURE 2004-2009 Séance des 26 et 27 juin 2007 LE TOURISME D'AFFAIRES : UN ATOUT MAJEUR POUR L'ÉCONOMIE Avis du Conseil économique et social présenté par M. Bernard Plasait, rapporteur au nom de la section du cadre de vie (Question

vœux du citoyen. En tenant compte des reproches qui lui sont faits pour transformer ses menaces en avantages A2- Comment influence la globalisation à votre entreprise (*)? Vous la considérez comme une opportunité ou une menace ? La Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso (CCI-BF), est une institution consulaire qui de par son essence et ses statuts est chargée de faire la promotion du secteur privé et de défendre l’intérêt général des entreprises devant les pouvoirs publics. De ce fait

mais il risque de se détruira après l’entrer en vigueur de l’accord avec les états unis. La faiblesse de l’économie marocaine dans plusieurs domaines importantes renforce son dépendance à l’étranger, et rendre l’économie national très sensible et fragile au perturbations internationales, par exemple, la flambée des cours du pétrole qui ont augmenté de plus de 50% en une année a eu un effet négatif sur les finances publiques et sur une balance commerciale déjà structurellement déficitaire Le monde

de la pauvreté uniquement fondées sur l’observation du niveau et de l’évolution du revenu. Ce pour mettre l’accroissement des « capacités » de l’individu au cœur du processus de développement humain. Les capacités étant un ensemble de libertés réelles qui lui permettent d’exploiter ses capacités et d’améliorer son état de santé, son savoir, sa formation et par là son niveau de vie. L’œuvre met l’accent sur le développement local comme un vecteur du développement humain. Ainsi l’Etat, depuis le

d’Asie mineur avec un nombre d’atouts assez signifiants. En effet, il se trouve à un carrefour stratégique. Ainsi, elle bénéficie d’une ouverture sur l’Europe, l’Asie et l’Afrique. Cette position aurait du lui conférer une place privilégier dans le commerce mondial. Cependant le placement géographique n’est pas une garantie nécessaire pour assurer à un pays de devenir une puissance économique. En plus de cela, il doit être doté d’une population dynamique et créative, il doit avoir une maitrise de

apports totaux d'IDE des membres de l'OCDE aux pays non membres allant à l'Asie et à l'Amérique latine. A l'intérieur de chaque région, observe une forte concentration sur un petit nombre de pays, par exemple la Chine et Singapour dans le cas de l'Asie. Malgré cela, l'IDE constitue un apport important pour beaucoup de pays en développement, atteignant, pour plusieurs d'entre eux - compte tenu de la dimension de l'économie locale - un niveau largement supérieur à celui observé dans les plus grands pays de

l'instauration et la multiplication de rapports de production de type esclavagiste. Chez les Dioula et les Malinké, les esclaves sont redirigés vers les vastes domaines agricoles tandis que chez les Akans, ils servent à l'extraction de l'or et au portage. Le commerce des produits naturels remplace alors celui des esclaves et l’agriculture est de nouveau dynamisée. Les échanges commerciaux s'accroissent sous la poussée de la demande aussi bien européenne qu'africaine, entrainant par leur ampleur l'émergence et

|1 821,7 | |Holding |815,9 | |Grands travaux |466,0 | |Commerce |300,0 | |Assurances |21,3 | |Agriculture |3,9 | |Autres

% (2006) 1 45 % raffinage de pétrole, cacao, café, bois et produits en bois, produits alimentaires, boissons, assemblage de camion et d'autobus, textiles, engrais, matériaux de construction, électricité, construction de bateau et réparation Commerce extérieur Taux de chômage Principales industries Exportations Biens exportés Principaux clients Importations 10,5 milliards $ (est. 2009) 1 cacao, café, bois, pétrole, coton, banane, ananas, huile de palme, poisson Allemagne 9,6%, Nigeria 9,1%

l’économie béninoise a connu une reprise en 2006 qui s’est poursuivie en 2007 grâce à l’amélioration de la production cotonnière, au rétablissement des relations commerciales avec le Nigéria et à la relance des activités portuaires. Le taux de croissance réel est passé de 2.9 pour cent en 2005 à 3.8 pour cent en 2006 et 4.2 pour cent en 2007. Toutefois, cette croissance a été moins forte que prévue en raison de la crise énergétique, qui a fortement affecté les activités productives au début de l’année 2007