Monument Aux Morts

trouve sont paroxisme avec le génocide des arméniens, minorité chrétienne de l'empire Ottoman, victime de déportation et de massacres. Bilan humain: 10 millions de morts, 20 millions de blessés ( France : 1,5 million de morts), 3 millions de veuves et orphelins, véritable traumatisme qui débouche sur un un temps de deuil( monument aux morts à partir de 1920 dans chaque commune, célébration nationale, jour de recueillement du 11 novembre), « brutalisation des sociétés »(Georges Mossé) =>culture de

le sacrifice de leur vie. Et pas simplement ceux qui sont morts au combat et dont les noms sont gravés sur le monument aux morts du plus humble de nos villages, mais aussi tous les autres, tous ceux qui sont revenus portant dans leur corps et dans leur âme la trace ineffaçable de douleurs indicibles : je pense à la foule innombrable des mutilés, des défigurés, des gazés, de ceux qui toute leur vie ont été hantés par le souvenir des morts piétinés au moment de l'assaut, des cris atroces des blessés

chimiques que l'on démantèle ou que l'on fait pétarder sans précautions suffisantes. À ceci s'ajoutent de graves séquelles psychiques et sanitaires ; gueules cassées, trauma psychologiques, choc et contre-choc de la grippe espagnole qui a fait plus de morts (40 à 100 millions selon les estimations) que 4 ans de guerre, non-dits notamment quant aux répressions des mutineries de 1917 chez les Français, les Allemands et les Anglais (ex : mutinerie d'Étaples). En quatre ans, 2 400 « poilus » auront été condamnés

s'enferme dans un mutisme rompu par la seule prononciation du nom de l'amant. Les cheveux repoussent et l'été, elle est envoyée à Paris en bicyclette par sa mère. Au même moment à Hiroshima, une bombe atomique est larguée, provoquant quatre-vingts mille morts et un traumatisme pour le Japon et l'humanité toute entière. Des musées sont créés, la vie revient dans cette ville qui renaît de ses cendres; avec un tourisme croissant, Hiroshima s'assure une prospérité économique. C'est dans cette ville reconstruite

d’autres artistes n’auraient pas osés faire Un peu plus d’ordre serait mieux. II- Biographie ?? III- Contexte de ce tableau ?? IV- DESCRIPTION Cadrage : au premier plan on distingue ces soldats morts gisant au sol on voit que la guerre est passée par là, au second plan on voit ces fils de barbelé qui tiennent grâce à des morceaux de bois et en arrière-plan on peut observer ce ciel gris symbole d’orage et d’apocalypse. Les soldats sont étendus au

et disparues de STOSSWIHR.. Les décédés durant les deux guerres sont 25 militaires de 14-18 et 8 civils . 28 militaires de 39-45 et 4 civils , 1 déporté et 9 non rentrés. La plaque comportant ces noms fut inaugurée le 11 Novembre 1953 au monument aux morts . Grace à la construction de la salle des fetes, la section à put organiser les bals de l’armistice du 8 Mai et du 11 Novembre. C’est sous la présidence de Charles MEYER que la section connut son apogée en matière d’effectifs 115 membres en

désignait à l’époque dans le langage familier ou argotique quelqu’un de courageux, de viril. Le terme « poilu » désigne pour le civil « le soldat combattant » qui défend notre sol. Statue de poilu (soldat de la guerre 1914-1918) faisant partie du monument aux morts de Saint-Nolff (Morbihan). On vous présente cette statuette car pour nous, c'est une belle façon de rendre hommage à ces poilus décédés . Photographie de soldat français du 43eme régiment , le photographe est anonyme. Pourquoi cette oeuvre

de certaines de ces victimes ayant vécu à Rouen à cette période et à qui on a pris la vie sous motif d'être juif. Dans le but de découvrir davantage d'informations sur ces personnes, nous nous sommes rendus dans un premier temps devant le monument aux morts du lycée Pierre Corneille afin de relever les noms que nous pensions et catégorisions «à consonnance juive», en laissant parler notre instinct ainsi que nos préjugés. Puis, nous avons vérifié la liste que nous avions rédigé sur le site du Mémorial

guerre », la « der des ders » ? Ce conflit a d’ailleurs conservé longtemps un statut particulier (et encore aujourd’hui même si le souvenir s’est estompé avec la disparition des derniers « poilus ») : construction de « lieux de mémoires » - les monuments aux morts -, rôle considérable joué par les anciens combattants qui s’explique le souvenir indélébile des années de souffrance et de la fraternité du front et des combats où, pendant un temps, les différences sociales s’effacèrent. Pourtant, tout ceci

de l'héroïne; force d'âme exceptionnelle qui fait d'un homme un héros, ou d'une femme une héroïne. "le combattant n'a de reconnaissance publique que s'il est martyr" C’est juste au sortir du conflit que sont érigés partout en France des monuments aux morts de la Grande Guerre ; dans chaque ville, chaque village, là où ces hommes vivaient et travaillaient. Sur les champs de batailles, là où ils sont tombés, leurs restes reposent dans de grands cimetières et ossuaires. Ces marques de mémoire et