Monument de la Renaissance africaine

disposent du pouvoir législatif qu'ils exercent collectivement en se réunissant lors des conciles. Ce droit est un droit essentiellement conciliaire, il constitue l'unique source du droit canonique. On peut distinguer les règles issues des conciles africains et/ou orientaux, des règles issus des conciles gauloises IVème siècle. La matière diffère selon les lieux : en gaule, c'est surtout les devoirs et les privilèges des moines, ce sont ces conciles qui édictent les sanctions en cas de pêché, c'est donc

beaucoup plus reculée que dans le moyen âge occidental – dès le VIIe siècle, nous l’avons vu –, qu’il faut assister au passage de l’homogène qui caractérise le moyen âge à l’hétérogène qui caractérise l’esprit des temps où nous vivons, et dont la Renaissance et la Réforme ont marqué l’heure la plus dramatique chez nous. C’est d’ailleurs qu’au Japon comme en Chine – et surtout en Chine, car tous les artistes japonais, peintres, sculpteurs, architectes et même graveurs, potiers, laqueurs, jardiniers,

et la fraternité islamique pour loi : ces préceptes, on les retrouvera toujours intacts, jusque dans le Mouridisme sénégalais, grâce à l’extraordinaire esprit de continuité, et à la profonde unité, qui marquent la naissance, l’évolution, ou la renaissance éventuelle, des confréries musulmanes. Les principes directeurs de la Qâdiriyya se retrouvent également dans toutes les autres voies, jusqu’à nos jours. Ce sont la primauté et l’infaillibilité des cheikhs « soumis à Dieu » et dûment « autorisés

supérieure de Paris. La première version du poème est publiée en 1939, mais l'auteur ne cessera de la reprendre, de la corriger en y ajoutant des passages entiers jusqu'en 1956, date à laquelle il remet le dernier état du manuscrit à Présence Africaine qui publie la même année cette version définitive du poème. Autobiographique comme le mot « cahier » dans le titre le laisse entendre, évoquant quelque carnet ou journal intime, cet ouvrage raconte en effet un parcours initiatique qui conduit

communauté. L’architecture doit aussi tenir compte des saisons, des cycles (pour semer par exemple). Les premières sociétés sédentaires ont besoin d’un calendrier. Compter le temps (avec les astres) est la première invention scientifique. Ces monuments inutiles ont donc quand même une fonction utile. Les bâtiments utiles, tels que les maisons d’habitation, sont très rudimentaires (les maisons d’Athènes sont en terre). La révolution néolithique se fait avec le réchauffement climatique. : la

archaïque => cession des échanges , retour au troc, le pouvoir est entre les mains des grands propriétaires fié fieu. 1050 - 13e s.: période de la Renaissance urbaine, c’est la période des croisades. Elle se caractérise par l’émergence de la bourgeoisie, une nouvelle classe sociale, la reconstruction des villes, la réouverture des routes, c’est la renaissance du commerce, de nouvelles institution économique. Moitié 13e s.- 1337: c’est la période de la reconstruction de l’Etat avec un redéploiement

modernité ». L’auteur y explique que nos sociétés contemporaines européennes diffèrent sur bien des points des sociétés du passé. En effet, nous ne valorisons plus les traditions archaïques comme le faisaient nos prédécesseurs. Les humanistes de la Renaissance par exemple exaltaient les valeurs et les traditions de la Rome antique. Ce n’est absolument plus notre cas et notre rapport au passé a donc considérablement évolué. L’Histoire et la mémoire auraient donc perdu de leur prestige. Ceci s’explique

naissance à une discipline autonome : l’histoire du droit. 1eres manifestation 17 et 18ème siècle mais c’est au cours du 19ème siècle que se développera un véritable enseignement du phénomène du Droit. 1.1. 16 et 17ème siècle. Durant la Renaissance (16ème siècle) les humanistes revendiquent la méthode historique : Souhaitent retrouver les textes antiques ds leur formulation d’origine débarrassés des annotations des juristes du moyen-âge. Ils font admettre que la valeur d’1 texte est relative

de grands hommes ayant révélé mystères et fondé lois civiles et morales de la communauté à présent dans le ciel = quid des extraterrestres ?). Homme toujours fait avec de l’argile, et âme lui est insufflée. Dieux célestes chez les andamans, les africains etc. Archétype du dieu céleste créateur qui s’est retiré dans les cieux. Traces en Afrique d’un tel dieu à peu près disparu car remplacé par culte des ancêtres. Les Ba-Ilas, tribu bantoue de la vallée du Kafue par exemple, croient en un dieu céleste

que les arts libéraux soient visés par l'emploi du mot non qualifié « ars », on est encore bien loin du sens contemporain ; l'astronomie était un « art libéral » tandis que le spectacle de « theatrica » restait un « art mécanique ». Jusqu'à la Renaissance, il n'y a pas de différence précise entre l'artiste et l'artisan : on appelle « artiste » un artisan dont la production est d'une qualité exceptionnelle. La différence ne commencera à devenir plus précise que lorsque les artistes commenceront à