Morale Claude Gueux

l’injustice et l’inefficacité du châtiment. Selon lui, les vrais coupables sont la misère et l’ignorance, et l’exécution a sur le peuple l’effet contraire de celui espéré. Elle le rend cruel, avide de sang et de ce "spectacle" public, bien loin de l'exemple moral, lui enlevant ainsi toute sensibilité. Il s'indigne que la société se permette de faire de sang-froid ce qu’elle reproche à l’accusé d’avoir fait, comme l'illustre très bien cette phrase qu'il prononcera pendant un de ses nombreux plaidoyers contre

Jaquiéry Loïc La réalité des vies à Mayotte 15.10.2021La réalité des vies à Mayotte Natacha Appanah est née le 24 mai 1973. En 1998, elle finit sa formation de journaliste et commence à travailler dans l’édition. En 2008 elle s’en va vivre à Mayotte pour deux ans. Là-bas elle commence à écrire ses premières lignes concernant la vie sur l’ile de Mayotte. Elle quittera l’ile et y retournera en 2015 afin de mieux s’imprégner de l’environnement et de la vie à Mayotte afin de finir son roman

conducteur » du récit. J’étais captivée par l’histoire, car j’étais impatiente de connaitre le dénouement de l’histoire. On peut s’attacher à un personnage sans pour autant s’identifier à lui. Par exemple, dans le petit roman de Victor HUGO CLAUDE GUEUX, nous éprouvons de la pitié, de la compassion, pour ce pauvre homme victime de la pauvreté et de l’acharnement de son « bourreau », on comprend que s’il est en prison, c’est qu’il a volé parce qu’il avait faim, et s’il a tué le directeur de la

Ces trois textes écrits entre 1830 et 1867 expriment chacun une vision divergente du meurtre mais il existe quelques ressemblances notables. Nous avons ici à faire aux textes de l’auteur romantique Stendhal avec son œuvre Le rouge et le noir, à Claude gueux de Victor Hugo du même mouvement littéraire et enfin au naturaliste Émile Zola avec son roman Thérèse Raquin. Nous verrons ici quelles visions du meurtre présente ces trois textes. Nous débuterons par conséquent avec des meurtres mis en scènes

MEDIAS Année scolaire 2014/2015 Introduction Le terme «éthique», du grec «ethikos» qui signifie «moral», de «ethos» qui signifie «mœurs», est la science de la morale et des mœurs. C'est une discipline philosophique qui réfléchit sur les finalités, sur les valeurs de l'existence, sur les conditions d'une vie heureuse, sur la notion de "bien" ou sur des questions de mœurs ou de morale. L'éthique peut également être définie comme une réflexion sur les comportements à adopter pour rendre le

française, Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné ou Claude Gueux. C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L'auteur lui-même accorde une grande importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur

(expliquer brièvement que c’est l’ancêtre de l’Assemblée nationale, entre 1814 et 1848), à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention en faveur de condamnés. Dans Le Dernier Jour d’un Condamné (1829), et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, Victor Hugo souligne à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. En écrivant, à vingt-sept ans, Le Dernier Jour d’un condamné comme un journal, à la première personne, Hugo interpelle

française, Victor Hugo décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné ou Claude Gueux. C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et ceux de Victor Hugo concernant la nature humaine. L'auteur lui-même accorde une grande importance à ce roman et écrit en mars 1862, à son éditeur

Ainsi, Victor Hugo fait-il dire à son personnage « Qu’est-ce que la douleur physique près de la douleur morale ? » (p.73) et insiste dans ce chapitre VI sur l’importance de ce que subit le prisonnier « cette lente succession de tortures que renferme la formule expéditive d’un arrêt de mort » (p.72). De plus, Hugo ne s’arrête pas à un seul récit portant sur cette même lutte et écrira donc Claude Gueux (1834). Cependant, dans ce roman, ce dernier ne s’y prendra pas de la même manière que dans sa précédente

utilise aussi des procédés qui font appel aux émotions des lecteurs dans son roman Claude Gueux l'histoire d'un condamné à 5 ans de prison pour avoir voler du pain pour nourrir sa fille, il insiste sur le fait que cet homme est « capable, habile, intelligent, sachant penser », « travailleur et honnête », par opposition Victor Hugo dresse un portrait satirique du directeur des ateliers et future victime de Claude Gueux en le qualifiant « d'homme bref, tyrannique, autoritaire, ferme, en un mot, pas méchant