Morale De La Fable Les Obseques De La Lionne

HISTOIRE DES ARTS J. de La Fontaine, « Le Loup et les Bergers » Florian, « La Fable et la Vérité » 57 57 59 59 60 61 62 63 64 64 64 65 65 66 Paraboles et allégories J. Goujon, Fontaine des Innocents E. Le Sueur, Clio, Euterpe et Thalie Exercices d’approfondissement 1 J. de La Fontaine, Fables, « Le Pouvoir des fables » 2 J.-P. Claris de Florian, Fables, « Le Lierre et le Thym » 3 V. Hugo, Les Châtiments, « Fable ou Histoire » 4 J. de La Fontaine, dédicace des Fables Prolongements Séquence

mythe et histoire La fonction des décors n’était pas seulement ornementale ou décorative. Le plus souvent les décors avaient une visée politique. Cela passait par la métaphore qui exaltait les vertus et les actions du prince sous le voile de la fable ou par comparaison avec les héros et divinité de l’Antiquité. Cela passait aussi par l’histoire et la chronique : on mettait en scène les hauts faits du prince ou de sa famille. La grande galerie de François Ier présentait une longue et subtile apologie

Rimbaud, Lettre à G. Izambard du 13 mai 1871, in Oeuvres, La Pléiade, Gallimard, 1954, p.267. (9) L'Oeuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Age et sous la Renaissance, trad.fr., Paris, Gallimard, 1970. (10) P. Nicole, Essais de morale, Paris, 1714-1715, tome IV, p. 281. (11) H. Murger, Scènes de la vie de bohème, Paris, Michel Lévy, 1852, p. XIII. (12) Diderot, Le Neveu de Rameau, Paris, GF-Flammarion, 1983, p.46. (13) Les Règles de l'art, p.211. (14) Ueber den Prozess

de l'érudit Marc-Antoine Muret, des poètes Salmon Macrin (qui l'initia à la poésie néo-latine), et Peletier du Mans (la légende voulant qu'ils se soient rencontrés dans la cathédrale où étaient célébrées, par René Du Bellay, évêque du Mans, les obsèques de Guillaume Du Bellay ; ils auraient pu aussi y rencontrer Rabelais qui, au chapitre 27 du ''Quart livre'', évoque de façon saisissante l'émotion provoquée par la mort de ce «héros» dont il était le protégé). Partageant leur ferveur humaniste

considère comme un traître. Antigone, qui a tout de même tenté de l’enterrer et qui a été prise sur le fait s’oppose à Créon : elle lui reproche de violer les lois divines au nom des lois établies. Selon la justice divine (de Zeus) Polynice a droit à des obsèques, mais selon l’édit de Créon ce droit lui est interdit. Antigone refuse d’obéir aux lois de Créon, qui sont écrites mais précaires et relatives, au nom des lois divines, non écrites mais intangibles. Elle sera finalement condamnée à être enterrée

considère comme un traître. Antigone, qui a tout de même tenté de l’enterrer et qui a été prise sur le fait s’oppose à Créon : elle lui reproche de violer les lois divines au nom des lois établies. Selon la justice divine (de Zeus) Polynice a droit à des obsèques, mais selon l’édit de Créon ce droit lui est interdit. Antigone refuse d’obéir aux lois de Créon, qui sont écrites mais précaires et relatives, au nom des lois divines, non écrites mais intangibles. Elle sera finalement condamnée à être enterrée

mystification. Plus le personnage est affabulateur, plus il est sincère. Ici, personne ne ment par égoïsme, par lâcheté ou par intérêt, mais par bonté, par gentillesse, par tendresse, par respect humain. Émile Mosca ment sans cesse pour entretenir le moral de sa troupe. Carême fait des rapports mensongers pour être agréable à qui le lui demande ; Émile ment encore pour les clients de la call-girl, à la fois pour plaire à Sandra et pour offrir un peu d'humanité à ces hommes seuls. On ment pour faire plaisir

sentiront trahis par la royauté, et commencent alors des confrontations contre la patrie française. Mais dans cet univers le beau doit vaincre le mauvais, donc même si ces vassaux ont des bonnes raisons, le modèle de comportement est dicté par la morale chrétienne, le vassal ne peut donc pas gagner, cela est impossible. Ces vassaux meurent à la fin ou se repentissent et s’adonne à la vie monacale. On y trouve une exagération de la violence chrétienne, le héros chrétien est dégradé et ses ennemis

tragique des amants; ces poèmes étaient chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal sont typiques de ce genre littéraire. Le long poème Le Roman de la Rose, best-seller datant du début du XIIIe siècle est l'un des derniers écrits portant sur le thème de l'amour

tragique des amants; ces poèmes étaient chantés à la cour des princes par les trouvères et les troubadours. Chrétien de Troyes (1135 ?–1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal sont typiques de ce genre littéraire. Le long poème Le Roman de la Rose, best-seller datant du début du XIIIe siècle est l'un des derniers écrits portant sur le thème de l'amour