Morale Les Obséque De La Lionne

Les obsèques de la Lionne : 1678, Fable 14, Livre VIII On peut la voir comme une petite pièce de théâtre, un petit-drame. C'est une fable audacieuse, car la fabuliste s'attaque directement au Roi & à sa cours, il dénonce les abus de pouvoir, la corruption des courtisans. Vision pessimiste sur l'humanité de l'auteur, même si il garde une certaine joie dans chaque fable. → Le petit théâtre des Fables : distribution des rôles, dialogue. Pouvoir incarné par le Lion Brutalité :

ou de pluie, ou d’excessive ardeur, Languissante elle meurt feuille à feuille déclose : Ainsi en ta première et jeune nouveauté, Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté, La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. S1 LE DEUIL D’ORPHÉE - TEXTE 2 Demain, dès l'aube... Victor HUGO, Les Contemplations

s'amenuise (se réduit) III – LA LECON DE LA FABLE a) L'alexandrin initialb) « Nous l'allons le montrer » (preuve/image) c) Le loup : prédateur → l'image d'un simulacre de justice Lecture Analytique n°2 « Le Loup et l'agneau » La morale s'exprime dans le 1er vers qui est un alexandrin. Le 2ème vers annonce le récit dans un futur proche (« montrer » => à le sens de démontrer, expliquer). On remarque que c'est le loup qui attaque et qui a le dernier mot. LE LOUP = 4 REPLIQUES

d'Yonville. L'église, les halles et la mairie, la pharmacie, l'auberge du Lion d'Or. Madame Lefrançois, patronne de l'auberge, prépare le dîner : on attend les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien, est là ; il bavarde inlassablement. Entrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arrive : les Bovary descendent en même temps que Lheureux, le marchand d'étoffes et de nouveautés. Chapitre 2 / Un dîner au Lion d'Or Pendant que le pharmacien et l'officier de santé s'entretiennent

L'église, les halles et la mairie, la pharmacie, l'auberge du Lion d'Or. Madame Lefrançois, patronne de l'auberge, prépare le dîner : on attend les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien, est là ; il bavarde inlassablement. Entrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arrive : les Bovary descendent en même temps que Lheureux, le marchand d'étoffes et de nouveautés. Chapitre 2 / Un dîner au Lion d'Or Pendant que le pharmacien et l'officier de santé s'entretiennent

cultivée) et la culture de masse, essentiellement consacré au divertissement. I. La culture anthropologique Toutes les sociétés humaines possèdent une culture anthropologique, c'est l'ensemble des coutumes, des convictions religieuses et morales qui organisent a vie d'une société. Ces coutumes concernent l'organisation du pouvoir, la religion, le rapport avec la mort, les relations entre les hommes et les femmes, la nourriture... L'anthropologie, c'est l'étude savante de ces coutumes et

Paris. Dans la première partie, l'enfance, la transposition est de peu d'importance : on y trouve d'abord, fidèlement notés, l'ennui, l'exil d'une famille méridionale dans la brume lyonnaise, ce changement d'une province à une autre, cette distance morale que les facilités de communications ne suppriment pas. Daniel Eyssette, l'élève méprisé, c’est bien Daudet qui fut obligé de gagner sa vie à seize ans et subit alors les basses humiliations du pauvre. Daniel fait l’apprentissage de la vie sociale

quatre ans à Tostes, dut se résoudre, pour « la changer d'air », à déménager à Yonville-l'Abbaye, gros bourg où se tenaient des comices agricoles renommés. Il espérait que la vie à cet endroit distrairait sa femme alors enceinte. À l'auberge du ‘’Lion d'Or’’, la patronne, Madame Lefrançois préparait le dîner : on attendait les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien progressiste et athée, tout à fait pédantesque mais n’émettant que des idées reçues, était là, bavardant inlassablement. Entrèrent ensuite

quatre ans à Tostes, dut se résoudre, pour « la changer d'air », à déménager à Yonville-l'Abbaye, gros bourg où se tenaient des comices agricoles renommés. Il espérait que la vie à cet endroit distrairait sa femme alors enceinte. À l'auberge du ‘’Lion d'Or’’, la patronne, Madame Lefrançois préparait le dîner : on attendait les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien progressiste et athée, tout à fait pédantesque mais n’émettant que des idées reçues, était là, bavardant inlassablement. Entrèrent ensuite

Compagne45 II, 8 L'Aigle et l'Escarbot46 II, 9 Le Lion et le Moucheron47 II, 10 L'Ane chargé d'éponges, et l'Ane chargé de sel48 II, 11 Le Lion et le Rat49 II, 12 La Colombe et la Fourmi50 II, 13 L'Astrologue qui se laisse tomber dans un puits51 II, 14 Le Lièvre et les Grenouilles52 II, 15 Le Coq et le Renard53 II, 16 Le Corbeau voulant imiter l'Aigle54 II, 17 Le Paon se plaignant à Junon55 II, 18 La Chatte métamorphosée en femme56 II, 19 Le Lion et l'Ane chassant57 II, 20 Testament expliqué