Moralement Acceptable Selon Kant

société, les hommes n’ont rien trouvé de mieux que de se doter de règles communes, instituées par eux, en vue de concilier au mieux les intérêts particuliers des individus et l’intérêt commun de tous, d’assurer la coexistence des libertés (comme disait Kant ) et de faire pièce autant que possible à la violence, de la juguler : ces règles sont les règles du droit. N.B. dans les civilisations traditionnelles de la Chine ou du Japon, on méprise le droit tenu pour vulgaire et inutile et signe de décadence

progresse puis décroît jusqu’à en faire un homme ordinaire : « le petit homme de Saturne ». Style fleuri : Micromégas le lui reproche > discours + dépouillé. Insatisfaction : trop peu de sens, vie trop courte. Débuts du spleen, « vapeurs anglaises » selon Diderot. Chapitre III : Voyage de 2 habitants de Sirius et de Saturne La maîtresse du Saturnien lui reproche de l’abandonner, et va se consoler avec un autre. Ils partent avec de nombreux instruments mathématiques, et avec leur suite. Passent une

déclarer l’enfant (l’acte de naissance), et même le nom qu’il portera lui est attribué conformément à certaines règles. L’éducation et l’instruction de l’enfant se déroulent selon certaines règles. Le mariage, le travail, les soins médicaux, le règlement des conflits, la gestion des institutions… tout cela se déroule « selon » le droit. Pourtant, quoique conscients de cette importance et omniprésence du droit, et quoique capables d’appliquer et parfois même de produire des règles, nous sommes souvent

En opposition avec Homère. Il décrit les choses pour ce qu'elles sont. C'est un savoir démythifié. On peut reconnaître d'autres pères des RI comme Rousseau ou Kant. C'est une idée de paix perpétuelle qui devient l'idée centrale. Rousseau, 1756, jugement du traité de paix perpétuelle de l'abbé de St-Pierre. Kant développe l'idée selon laquelle le problème de l'édification d'une société civile parfaite ne peut se résoudre sans l'établissement de relations extérieures et durables, dans « l'idée

d’état, il y a aussi la souffrance permanente ressentie par les familles, le personnel médical et par les malades eux-mêmes : difficultés motrices, impossibilité fréquente de communiquer dans les derniers moments de vie, détresse psychologique etc. Selon Paul Ricœur, lorsque la souffrance n'est pas soulagée, c’est « le moi » qui est menacé de dissolution.[13] Assurément, la douleur est totale et ne se limite pas aux seules sensations corporelles, elle transcende le corps du malade pour s’étendre au

L’éthique vient répondre aux problèmes liés aux caractères particuliers des situations. Différenciation avec d’autres disciplines Les rapports entre morale et éthique sont délicats, car la distinction entre ces deux termes eux-mêmes est différente selon les penseurs. Dans un sens « ordinaire», le terme éthique est synonyme de morale, et désigne une pratique ayant pour objectif de déterminer une manière conforme de vivre dans un habitat en correspondant aux fins ou aux rôles de la vie de l'être humain

De même que les billets de banque et les cartes de crédit, celles-ci n’ont aucune réalité en dehors du cadre purement symbolique qui les sous-tend et qui fut élaboré et institué par les hommes. On comprend ainsi pourquoi l’argent, comme la langue selon Esope, est « la meilleure et la pire des choses ». De façon générale, ce que les hommes ont inventé pour leur propre usage tout au long des siècles comporte la fâcheuse tendance à se retourner contre eux, suivant ce processus bien connu que Hegel,

comme en mal. Même si celle-ci est susceptible de nous faire éprouver du remords ou de la «  mauvaise conscience  », elle fait pourtant notre dignité. La conception kantienne de la morale pose la question du devoir  : « Que dois-je faire? ». Kant énonce le principe de l’impératif catégorique qui se présenterait tel une loi universelle d’actions, guidée par des impératifs moraux. C’est ce qui détermine sa formule : « Agis de façon telle que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne

actions en bien comme en mal. Même si celle-ci est susceptible de nous faire éprouver du remords ou de la « mauvaise conscience », elle fait pourtant notre dignité. La conception kantienne de la morale pose la question du devoir : « Que dois-je faire? ». Kant énonce le principe de l’impératif catégorique qui se présenterait tel une loi universelle d’actions, guidée par des impératifs moraux. C’est ce qui détermine sa formule : « Agis de façon telle que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que

avant tout rapport social. Attributs subjectifs de tout homme en tant qu’il est un homme, se rapportant à un être isolé, prépolitique et présocial, ces droits sont donc nécessairement individuels : ils sont ceux que l’individu peut mettre en œuvre selon sa seule volonté ; ils constituent les privilèges dont peut jouir l’agent qui les possède. Apanage de tous les êtres humains, supposés affranchis de l’espace et du temps, valables en tous temps et en tous lieux, indépendamment des conditions personnelles