Morceaux choisis

sucre, soit 44 Kcal rien que pour l’apport en sucre. Quand vous lisez la composition d’un aliment, les composants apparaissent par ordre d’importance. Si vous trouvez de la matière grasse dans les premiers ingrédients, le produit sera très gras. Les morceaux les plus maigres de viande sont : • Filet mignon de porc : 2 à 5 g de lipides pour 100 g • Faux filet de bœuf : 6 g de lipides pour 100 g • Rosbif : 2 g de lipides pour 100 g • Escalope de veau : 3 g de lipides pour 100 g • Pigeon rôti : 3 g de lipides

cigarettes et il insiste avec le terme "en particulier", tout au long du texte il voudra les récupérer puis vers la fin n'en n'aura plus besoins. Ligne 3 " j'ai demandé qu'on me les rende", ligne 4 "les premiers jours ont été très durs", "Je suçais des morceaux de bois que j'arrachais de la planche de mon lit" ligne 5, "cette punition n'en n'était lus une pour moi" ligne 9. Dans chacun des textes l'auteur utilise un point de vue interne, car nous connaissons les pensées et tous ce qui touche au personnage

"Une anthologie est un recueil de morceaux choisis, en prose ou en vers. Son principal intérêt est que les différents extraits de textes présentent une certaine cohérence dans les thèmes développés ou le style employé." C’est la définition donnée par le dictionnaire en ligne Wikipédia. J’ai constitué une anthologie et n’y ait vu que de la diversité. J’ai constaté qu’elle s’étalait sur quatre siècles : XVIe, XVIIe, XIXe, XXe ! Quatre siècles durant lesquels les mouvements, en poésie, se sont suivis

société. Cet auteur, qui a passé vingt-cinq ans a étudié les quartiers et bourgades, est aussi linguiste, ce qui explique certaines incursions vers l’origine étymologique du vocabulaire lié aux cafés. On tentera tout d’abord de revenir sur la démarche choisie par l’auteur et sa réflexion autour des cafés, avant de mettre en perspective cet ouvrage au vu d’autres contributions sociologiques liées elles-aussi à la vie des cafés. Partie 1. Résumé de l’ouvrage A) La démarche de l’auteur La démarche

descriptions ! Rien n’est comparable au néant de celles-ci ». Il les juge comme « une superposition d’images de catalogue ». Il est vrai que l’auteur coupe la narration pour intégrer une description et peut tout à son aise s’attarder pour former des morceaux choisis, « Les meubles en bois jaune, étaient tous très vieux ». Ainsi la description est arbitraire, elle peut être de toute les tailles et couper le lecteur de la narration aussi longtemps que l’auteur le décide. Elle permet cependant de compenser

départ, cette idée de créer des jardins-concepts avait dû germer de la nécessité de maintenir ou d’augmenter le nombre annuel de visiteurs dans les Jardins de Métis. Rentabilité et marketing. Des mots si longtemps étrangers à ces jardins. On avait choisi l’art pour y arriver. Elsie n’aurait pas été contre. 17 Extrait de la publication Ces jardins révélaient toutes sortes d’imaginaires: ici, on avait élevé un mur gazonné et on y avait encastré une télé. Le visiteur pouvait s’asseoir devant

Questions : 1. Le titre « Verdun : la guerre d’usure » est très bien choisi pour ce texte, car après l’avoir lu : on remarque qu’il colle parfaitement avec le sujet. Effectivement dans le texte, on voit la dureté des tranchées lors de la bataille de Verdun : on y lit même que les soldats doivent « feindre la mort quand passe un avion allemand ». L’usure mentionnée dans le titre est quant à elle marquée par la description des conditions de vie des soldats : « grelotter sous la pluie, sous la neige

la cohorte issue du baby-boom, difficultés économiques générant de sentiments d’insécurité, perte des repères traditionnels… L’Ifop a interrogé 4500 personnes en 2010 sur la période à laquelle elles aimeraient vivre : seules 32% des personnes ont choisi notre époque, 22% une époque future et 46% une époque passée. Parmi celles-ci, 36% opteraient pour les années cinquante-soixante et 50% pour les années soixante-dix ou quatre-vingt. On qualifie parfois de rétro-marketing, le marketing qui vise à susciter

comme un porc », Mais le cochon, dans le nord, Change de peau quand il sort ! On dit ci et on dit ça, Tantôt couci, puis couça Et patati et patata : Vraiment, on dit n’importe quoi ! » 2) Pourquoi ce poème plutôt qu'un autre J'ai choisi cette « chantefable » de Jean-Luc Moreau car elle m'a fait rire - ou plutôt sourire , un tel texte n'équivalent point l'humour des jeunes de ma génération -, par le fait que l'auteur nous explique que certaines expressions disent n'importe quoi,

processus de codification de la culture. Une classification s'opère, effectuée tantôt par les érudits et les professeurs, tantôt par les vulgarisateurs dispensateurs du modèle culturel et, naturellement, par la scolarité. Histoires littéraires, morceaux choisis, manuels, « résumés », « aide-mémoire» condensent les choix culturels d'une société et l'image qu'elle prétend se faire de son propre passé. Par leur canal se transmettent images et stéréotypes, expressions de cette société et des valeurs qu'elle