Mort aux rats

une guerre totale, toutes les forces y sont mobilisées, Si le soldats n'est pas le seul facteurs , il est celui qui paie le plus lourd tribut à la guerre. Comment le soldat vit-il l'expérience du front ? De quelles façons, cette proximité avec la mort , avec la peur des combats , modifie-t-elle les hommes ? Pour la première guerre mondiale , il y a 21 millions de soldats mobilisées dont 12,5 millions pour l'entente , En effet ces 12,5 millions de soldats proviennent de différents

rapport sexuel selon Dora 85 8 - Lacan et la signification du phallus : la « jeune homosexuelle » 89 - La jeune homosexuelle 93 - La tromperie dans le transfert 96 - L’inconscient n’est pas le rêve 99 9 - L’homme aux rats 101 - le « délire » de l’homme aux rats 105 - La parenthèse structuraliste 106 - La dette 109 - Interprétation : vraie ou fausse ? 114 - Bonnes interprétations, mauvais transferts… 120 - La lecture américaine : la faute de frappe ou le contre-transfert

des corps de soldats allongés sont visibles ainsi que des rats dans ce qui ressemble à un tombeau collectif un caveau ou un abri. 12) La chronologie, présente dans le tableau, implique un cercle vicieux : 13) Le matin (panneau de gauche), les soldats partent au front. Dans la journée (panneau central), ils subissent l'horreur. Le soir (panneau de droite), les soldats blessés rentrent au camp. La prédelle peut indiquer la nuit ou la mort. 14) Les couleurs sont contrastées et oscillent entre le gris

derrière des centaines de murs crépitants de chaleur, pendant qu’à la même minute, toute une population, au téléphone ou dans les cafés, parle de traites, de connaissements et d’escompte. On comprendra ce qu’il peut y avoir d’inconfortable dans la mort, même moderne, lorsqu’elle survient ainsi dans un lieu sec. Ces quelques indications donnent peut-être une idée suffisante de notre cité. Au demeurant, on ne doit rien exagérer. Ce qu’il fallait souligner, c’est l’aspect banal de la ville et de

retrouve les 2 corps enlacés).Mais le véritable amour c'est aussi l'amour maternel. Cet amour-là aussi est totalement désintéressé. Enfermée depuis 15 ans dans le trou aux rats par désespoir d'avoir perdu sa fille, Paquette la retrouve miraculeusement et est alors prête à tout sacrifier jusqu'à la mort. ( un extrait)Ensuite Victor Hugo nous fait aussi voir un aspect beaucoup moins éthéré de l'amour. C'est le désir fou qui ravage tout et mène les les victimes à leur perte.

Pourtant celle-ci y est très pauvre, manque et pratiquement immangeable. Mais puisque la fin tiraille les soldats, ils mangent tout de même, et vont parfois voler ailleurs, afin d’avoir un minimum vital et avant que les rats dévorent tout. En effet, particulièrement au front, les rats ravagent les campements et tranchées et sont si nombreux qu’ils courent sur les hommes qui ne peuvent alors plus dormir. Les poux, de corps comme de cheveux, sont l’autre fléau des hommes. Tout est infesté, rien n’y résiste

predelle mesure 60cm/204cm. L’œuvre rappelle la forme des retables. OTTO DIX : (1892-1969) : C’est un peintre Allemand , il fait partie du mouvement expressioniste et la à la nouvelle objectivité . Il est né près de Gera le 2 décembre 1891 et mort a Singen le 25 juillet 1959 en Allemagne. Il est entré à l'École des arts appliqués de Dresde de 1909 à 1914. Il a été soldat volontaire . Ce qu’il voit chaque jour le hante alors lors d’’un entretien il dit : « C'est que la guerre est quelque chose

reconnaissant toute sa vie, et bien des années plus tard, un peu avant sa mort, il lui dédiera les Discours de Suède. Plus tard, il décroche un diplôme d'études supérieures en Lettres, section philosophie. C'est également à cette époque que se manifestent les premiers symptômes de la tuberculose, maladie que Camus traînera de façon chronique et qui l'affaiblira toute sa vie. Le contexte morose de la pauvreté, de la mort de son père à la guerre et de la maladie ancre chez Camus le sentiment vicéral

« d'asile sûr ». De ce fait, cette scène provoque un renversement avec l'incipit qui lui confère des qualités presque prémonitoire. Incipit de CC => pauvre locataire endetté, peur maladive, famim )> motif de la maladie, de la folie. Présence de rats. La vielle pas décrite mais décrite à travers son logement. Atmosphère urbaine. Tension dans la description : indice voilé. Chambre, lieu de l'intimité où germent ses idées, monologue, effroi, cauchemars La mise en éprouvette du criminel

« Fin de partie » *PB : Quelle est la spécificité de l’espace dans « Fin de partie » ? 1/ Les différents espaces au sein du même espaces : a) L’ espace de Clov : -Cuisine, annexe de l’autre pièce , espace minuscule, insalubre (rats & puces). -Sert juste a Clov pour s’isoler car, plus rien a manger, donc pas de cuisine a faire. -Espace inconnu du publique . -Clov est le seul a y pénétrer. -P.24 «  Je regarde le mur » / « Je vois ma lumière qui meurt . »