Mort Shuman

ça ! Mais qu’ais-je fait à Dieu pour mourir ainsi ? Moi qui me suis toujours comporté en bon chrétien ! Sans compter la fois où j’ai, malencontreusement, tué le chien de la voisine –en lui donnant des croquettes périmées, depuis il n’hurle plus à la mort –et les quelques dessous de tables que j’ai faits aux envoyés du fisc. Bon Dieu, mais que t’ai-je fais pour mourir ainsi ? La semaine avait pourtant merveilleusement commencé : ma voisine étant absente on avait déposé à sa porte un mystérieux colis

ne sens lasse pas par exemple le jour de la mort de sa mère il doit se rendre a Marengo qui se trouve a 2h d’Alger et cela le gène beaucoup a cause de son patron. Dernièrement Meursault est un personnage sans émotion et sentiment quand il apprend que sa mère est morte il ne verse aucune larme mais pense au trajet qu’il va faire sous un soleil de plomb la société ne le comprend pas et il va être condamné a mort parce qu’il n’a pas eu d’émotions à la mort de sa mère, par ailleurs Marie Cardona lui

Une mort bizarre ( Alphonse Allais) Structure d'une nouvelle Il y a dans cette nouvelle deux narrateurs: un narrateur dont on ne connat pas le nom (dsign par la 1re personne du singulierje). Il s'adresse au lecteur. Le peintre Axelsen dont le rcit s'adresse au narrateur. Il existe dans cette nouvelle une narration dans la narration (la narration d'Axelsen est enchsse dans la narration de la nouvelle.) 1.Etat initial Le narrateur dcrit la ville du Havre o il se trouve. 2.L'action a)

qui parlaient la même langue qu'eux. La suisse est par la suite devenue une fédération et à adopter une constitution. Les E U ont d'abord existé sous la forme d'une confédération. 1777=> les E U vot se constituer des colonies distinctes. Peine de mort => le président des E U n'a pas le pouvoir d'abolir la cette sentence. Ordre juridique fédéral. Taxe fédérale votée par le congrès. Il y a toujours eu un rejet de l'Etat fédéral. Du plus grand au plus petit chaq etat est représentés par 2 prefets

conservateurs ». Affaiblies les droites ne parviennent pas à mobiliser contre la politique de laïcité, sauf dans quelques départements de l'ouest. Elles bénéficient du soutien de la très grande majorité du clergé catholique. Mais elles sont divisées. Après la mort du comte de Chambord tous les légitimistes ne se rallient pas au comte de Paris. Les bonapartistes se divisent aussi à la suite du décès du prince impérial en 1879. Ils perdent leur électorat populaire. Les hommes de droite conservent cependant une

fatal sablier, Plus ma torture était âpre et délicieuse ; Tout mon coeur s'arrachait au monde familier. J'étais comme l'enfant avide du spectacle, Haïssant le rideau comme on hait un obstacle... Enfin la vérité froide se révéla : J'étais mort sans surprise, et la terrible aurore M'enveloppait. - Eh quoi ! n'est-ce donc que cela ? La toile était levée et j'attendais encore.

pris la vie en haine, et ma flamme en horreur. Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire;, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats ; Je t'ai tout avoué ; je ne m'en repens pas, Pourvu que de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.

« correction ». La Fontaine reste bien plus fidèle à l’ordre choisi par Esope, mais il effectue des ajouts : il introduit son récit par une dizaine de vers : « Toute puissance est faible […] tous ses enfants ». Il invente ensuite un épilogue : on assiste à la mort du vieillard et aux péripéties de sa succession. Les discours sont également différents : Esope et Bierce les utilisent pour faire passer la morale mais La Fontaine donne beaucoup la parole au vieillard et même à l’un de ses fils, créant ainsi de

de cruauté qu'il ne lui connaissait pas. Il commence alors à soupçonner que son souhait insensé pourrait s'être réalisé. Le lendemain, il apprend par Harry le suicide de Sibyl. Étonnamment, il ne ressent qu'une peine superficielle à l'annonce de la mort de la jeune fille : « Cependant je dois reconnaître que cet événement ne m'a pas ému autant qu'il l'aurait dû. Il m'apparaît comme le dénouement sublime d'une pièce étonnante. Il a toute l'effrayante beauté d'une tragédie grecque, une tragédie où j'ai

pouvoir de donner la mort ou de veiller sur les défunts. Par cela, elles concouraient au renouvellement des cycles. Ainsi un des dieux de l'antiquité, le dieu celte /Sucellos/ (prononcé« /Sukellos/ »),« le bon frappeur » ou « celui qui frappe fort » y était représenté à la fois comme Dieu du monde visible et de l’Autre Monde, mais surtout, comme Dieu du Passage pouvant donner aussi bien la vie que la mort. (au Moyen Age et jusqu’au XIXe, on utilisait encore le « maillet de la bonne mort » quand un vieillard