Mort subite

relatif de contracter une maladie du fait de son tabagisme Maladie | Risque non fumeur | Risque chez fumeur | % des décès attribuables au tabac | BPCO | 1 | 6 | 80-90% | Artérite des MI | 1 | 9 | 68-98% | K poumon | 1 | 10 | 80-85% | Mort subite cardiaque avant 45 ans | 1 | 5 | 75-80% | Décès tout cancer | 1 | 2 | 30% | Maladie des coronaires | 1 | 2 | 25-43% | Tabagisme et risque cardiovasculaire : * Substances concernées : CO, nicotine * Augmentation du risque relatif :

Jean Racine, né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, est un poète tragique français considéré, à l'égal de son aîné Pierre Corneille, comme l’un des deux plus grands dramaturges classiques français. Je vais faire le commentaire de la scène 1 de l’acte V de la pièce de théâtre d’Andromaque. Cette scène ce situe dans le dernier acte de la pièce. C’est une solitude d’Hermione pendant que se célèbre le mariage de Pyrrhus, son amant qui est tombé amoureux d’Andromaque

TEXTE 2 : LA CHARTREUSE DE PARME, 1839 « FABRICE A WATERLOO » Une scène épique sans majesté. a) Une boucherie « héroïque » Champ lexical du sang, de la mort. On est dans l’antithèse de l'euphémisme, on est dans le réalisme cru, rien n'est atténué : les corps ne sont pas héroïques ils sont sanglants. Personnification l.8 « les habits rouges vivaient encore » nous sommes ici dans l'aspect le plus cru d'une scène de guerre. Les détails sont morbides « les pieds dans les entrailles »

d’angoisse que je qualifierai d’existentielle mêlé à l’exaltation de ce que j’étais en train de vivre et que je considérais comme l’aboutissement d’une quête. Mon angoisse était surtout due à ces murs noirs. Noirceur qui me rappelle les ténèbres, la mort. La mort, voila le mot est lancer et c’est bien là, le sujet de ma préoccupation. Le cabinet de réflexion symbolise un lieu de calme, favorisant le retour de la pensée sur elle-même dans le but de s’examiner plus en profondeur et d’affronter ses ténèbres

d'état de nature : genre les mecs qui décident d'aller vivre dans la forêt sans culture, l'existence d'un tel projet montre bien que l'homme peut vouloir se passer de culture. 3) La nature (au sens ordre naturel) est le premier déterminisme que subit l'homme : à la base le déterminisme le plus absolu qui règne sur notre existence est le déterminisme naturel : l'homme est, dans son essence, naturel. ex : spinoza : l'homme n'est qu'une aprtie de "Dieu ou la nature" : ni sa raison ni son corps ne

Le suicide peut-il être un choix ? Le mot « suicide » vient du latin « se tuer soi-même », cet acte a donc pour but mettre fin à sa propre vie. Ce qui motive cette action est souvent une grande souffrance, et la mort est vue comme préférable à la vie. Cela peut aussi pour défendre des idées. Poser cette question sous-entend qu’il est possible que le choix n’existe pas. Le choix résulte de la décision d’un ou plusieurs individus confrontés à une situation offrant plusieurs options. Cette notion

marque l'évolution et les différentes étapes que subit quelque chose qui suscite l'intérêt des gens. La première strophe montre la crainte que les gens ont face à l'inconnu, la deuxième strophe montre que une fois la première étape passée, les gens deviennent assez vite a l'aise et prennent assez vite la confiance. La troisième strophe montre la lassitude des gens face a cette chose tandis que la quatrième montre le désintérêt qui est finalement subit par celle-ci. on remarque également la répétition

cette apparente contradiction entre noirceur et innocence s’explique-t-elle à la lecture de la pièce ? Pour reprendre l’ordre de la citation racinienne, Phèdre n’est « [pas] tout à fait coupable » : petite-fille du Soleil par sa mère Pasiphaé, elle subit la vengeance de Vénus, furieuse qu’Hélios ait révélé ses amours avec Mars. Phèdre a donc fait tout ce qui était humainement possible pour se soustraire à cet amour : elle a supplié Vénus, lui a construit des temples, offert des sacrifices ; elle a

exige un complément d'enquête et fasse soumettre Jean Calas à la Torture2. L'étranglement est infligé à Jean Calas après le verdict du procès par le parlement de Toulouse. Ce dernier le condamne à mort le 10 mars 1762, sans que le jugement ne soit motivé. Calas est condamné au supplice de la roue. Il subit la question, une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Exilé, un autre fils de

mentor pervers qui se sert de jeunes gens influençables et en colère pour condenser son message de haine. Dans mon esprit il est le reflet d’Adolf Hitler. 3) Le premier élément est le meurtre du père qui le conduit au racisme. Ensuite le viol qu’il subit par des blancs, c’est ce qui lui permet de remettre en cause son racisme, ses valeurs humaines. On constate ici qu’il ne base plus ses idées sur le fait d’être noir ou blanc mais sur l’aide que les gens lui apporte ou non. L’élément qui le fera changer